André Charles Auguste Lehrmann - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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André Charles Auguste Lehrmann



Naissance : 6 novembre 1919 - Paris 8e

Activité antérieure : ouvrier / artisan

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : Terre - Londres / affectation spéciale

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : adjudant

Décès à 62 ans - 4 novembre 1982 - Brest (29)

Epoux de Janine Kidd 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 358029

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 31301


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André Charles Auguste Lehrmann - son Livre ouvert !
 

Bulletin municipal janvier 2021 - Commune de THUMERIES  ou 

" Voici les noms des volontaires féminines présentes sur cette photo publiée sur le net.
Betty Loynes, Jacqueline Jost, Mrs Kidd, Monique de Rottschild, jeanne Lévêque, Suzanne kidd, Renée Mankel, Betty Mellors, CECILE FACQ, Jacqueline Baticle."

Source photo cadetfrancelibre.fr 

" Au 1er rang: Le Médecin-Lieutenant ROZENZWEIG, le Lieutenant BACONNAIS, L’aspirant LEHRMAN, le Sous-lieutenant TARAVEL, le capitaine FAURE, le chef d’escadron de CABROL, le chef de bataillon BEAUDOUIN, le capitaine de LAJUDIE, le lieutenant SOURIEAU, le lieutenant MOULIE, le lieutenant PICHON, le R.P. O’HARA

Au 2ème rang: L’adjudant CHADRIN, les auxiliaires féminines, le lieutenant MASSON"



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Laurent Laloup le samedi 20 janvier 2024 - Demander un contact

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Article publié dans le Télégramme de Brest en juillet 2020



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LE BRETON Thierry le lundi 27 juillet 2020 - Demander un contact

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Article publié dans le Télégramme de Brest le 22/07/2020



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LE BRETON Thierry le lundi 27 juillet 2020 - Demander un contact

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Le Télégramme juillet 2020

"... Le Guipavasien Paul Vourch au milieu de ce side-car en compagnie de son instructeur à l’école des Cadets de la France libre, André Lehrman, lui aussi de Guipavas...."

Paul Vourch est un Guipavasien né en juin 1923. Il est le fils d’Antoine Vourch, né à Guipavas et médecin à Plomodiern. En étude à Quimper, Paul et ses amis n’entendent pas l’Appel du Général de Gaulle, le 18 juin 1940. On raconte que ce sont les curés de leur école qui leur ont appris la nouvelle. Alors, Paul quitte le lycée Saint-Yves pour rejoindre l’Angleterre.

« Il demanda que l’armée ne tire pas sur les femmes »

Outre-Manche, il intègre, en 1942, la promotion « Bir-hakeim » de l’école des Cadets de la France libre. Cette école, créée un an plus tôt par le Général de Gaulle, a pour objectif de former de jeunes officiers. Dans cette seconde promotion, Paul n’est pas le seul Finistérien : ils sont cinq sur les seize cadets. Preuve que le Finistère était terre de résistance. Il sort de la Seconde Guerre mondiale avec le grade de lieutenant et poursuit sa carrière militaire en Indochine. Dans le Pacifique, il se distingue : « Il a demandé là-bas que l’armée ne tire pas sur les femmes dans la rue », explique sa sœur, Anne Vourch.

Une famille engagée dans le réseau Johnny

Mais Paul Vourch n’est pas le seul de cette famille de neuf enfants à s’être engagé dans la Résistance : son père, Antoine, son petit frère Yves, sa mère Marguerite ont fait partie du réseau Johnny, groupe de résistants bretons. Dans la fratrie, Guy a participé au débarquement avec le commando Kieffer. Il y fut gravement blessé. Jean, un autre des frères, fut blessé lors de la libération de Paris en août 1944. Il mourut cinq jours plus tard au Mans. Il était adjudant.

Les filles aussi

Les filles n’étaient pas en reste. La sœur de Paul, Marie-Antoinette, aidait le réseau Shelburn. Elle participait au rapatriement des parachutistes et des aviateurs anglais, dont les avions avaient été abattus au-dessus de la France.

Anne Vourch, l’autre sœur de Paul, a des souvenirs très précis de cette période. Notamment de ce jour de février 1944. Alors que sa mère était sortie en mission pour le réseau Johnny, Anne fut interpellée par les Allemands : « Ce jour-là, ils m’ont interrogée toute la journée. Ma mère a été prévenue de mon interrogatoire et elle a pu s’enfuir à Paris où elle est restée jusqu’après la Libération ».

Paul Vourch décéda d’une tumeur au cerveau en 1953. Il repose dans le caveau familial, à Plomodiern."

Laurent Laloup le vendredi 24 juillet 2020 - Demander un contact

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" André Lehrmann est né le 6 novembre 1919 à Paris. Dès 1938, il s’engage dans le corps des chasseurs alpins. En avril 1940, le bataillon, devant prendre la mer pour rejoindre Narvik en Norvège, fait escale à Brest. Pour les sous-officiers, l’étape se fera à Guipavas, dans une maison au centre-ville. Ce sera pour André le premier contact avec cette ville qui deviendra la sienne et celle de ses enfants plusieurs années plus tard.
Une école synonyme d’amour et de blessure

Au gré d’une nouvelle escale, c’est la Grande Bretagne qui s’offre à lui et avec quelques autres soldats, il y reste en s’engageant pour la France libre. Affecté à la formation, il devient instructeur à l’école des Cadets de la France libre pour deux promotions : celles nommées « Libération » et « Bir-Hakeim ». Cette école aura été pour lui synonyme de blessures. En effet en 1942, il est blessé au visage, lors d’un exercice avec une grenade. Mais l’école est aussi synonyme d’amour puisque parmi les femmes volontaires présentes, il rencontra celle qui allait devenir son épouse en juin 1943. Janine Kidd, jeune française née à Boulogne-sur-Mer et d’origine britannique, est employée de service dans l’école. Elle est sous les ordres de sa mère, elle aussi engagée pour les Forces françaises libres. Et la sœur de Janine est conductrice sur le camp. Toutes les trois participaient ainsi à l’effort de non-reddition et à la reconstruction des forces de guerres.

Installé à Coataudon

Suite à ses blessures, André Lehrman ne pouvait plus reprendre un service actif, mais cela ne l’empêcha pas de faire une longue carrière en tant que militaire. C’est en 1958, qu’il vint s’installer à Guipavas, dans le quartier de Coataudon. Sa famille y resta, mais André quittait régulièrement la ville, suite à des affectations à l’étranger. Comme en Algérie, où il a été mobilisé jusqu’en 1964.

André Lehrman est décédé en 1982, lors d’une opération à cœur ouvert. Janine décède quelques années plus tard, en 1989. Ils sont tous les deux enterrés au cimetière de Guipavas."

www.letelegramme.fr 

Laurent Laloup le mercredi 22 juillet 2020 - Demander un contact

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Famille

Je ne vous oublie pas tous les deux
De gros bisous s'envolent vers vous dans les étoiles

Annick le dimanche 13 octobre 2019 - Demander un contact

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Registres de nationalité ouverts par les Forces françaises libres à Londres

KIDD, Janine

Naissance : 12 janvier 1924, Boulogne-sur-Mer, France. Résidence : lieu non indiqué. Type d'acte : acquisition de la nationalité française par mariage. Date de déclaration : 2 mai 1943. Conjoint : LEHRMANN, André, sergent-chef dans les Forces françaises. Mariage : 2 juin 1943, Kidderminster, Royaume-Uni.

Laurent Laloup le mercredi 09 octobre 2019 - Demander un contact

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André Charles Auguste LEHRMANN

Né le 4 novembre 1919 - Paris, 75
Décédé le 4 novembre 1982 - Brest, 29019, Finistère, Bretagne, FRANCE , à l’âge de 63 ans
Retraité Colonel de l'infanterie de Marine



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Laurent Laloup le samedi 25 novembre 2017 - Demander un contact

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Cadets de la France libre : l'école militaire. : CASALIS André

" Un exercice de tir de grenade à fusil est organisé pour la section Saindrenan.
R. Mouliè, commandant de compagnie et A. Lehrmann, officier d'armement y assistent. C'est au tour de Charles Hessenbruch et de Jean Digo de tirer. Le premier, couché sur le dos tient l'arme et doit presser la détente. Le second, agenouillé à gauche de lui, est chargeur. Par malheur, il introduit l'engin à l'envers et avant que quiconque puisse intervenir, la cartouche à blanc chargée de la propulsion est mise à feu.
La grenade explose à la sortie du tube.
On se précipite. R. Mouliè constate que Digo est mort d'un éclat au coeur ; le tireur est très sévèrement touché aux deux jambes. Bernard Blouin et un camarade (A. Schiltz) ont le réflexe de lui poser immédiatement des garrots. A. Lehrmann, placé tout près, est également très sérieusement blessé au cou et à la face.
Le lieutenant embarque immédiatement tout son monde dans une camionnette qui se précipite vers l'hôpital américain où l'on ne peut que confirmer la mort de Digo. On opère immédiatement Hessenbruch qui a perdu beaucoup de sang : il y laisse malheureusement les deux jambes. Lehrmann touché par un éclat qui a manqué la carotide de peu et un autre qui lui a brisé les dents, donne des inquiétudes pendant deux semaines, puis se rétablit heureusement.
L'émotion des Cadets est profonde. Lajudie, estimant qu'une reprise en mains s'impose, improvise fort opportunément un parcours en tenue de campagne.

« Le 29 sera pour l'Ecole une triste date : notre premier accident mortel. ...Explosion prématurée d'une grenade antichar à fusil. Je suis d'ailleurs persuadé que c'est l'accident stupide, dû à une maladresse (la grenade à l'envers). Mais ce qui est inouï c' est que cela ait pu arriver à Lehrmann, de loin le meilleur et le plus prudent des officiers en la matière... En attendant, c'est épouvantable et celui qui a eu les deux jambes broyées est encore en équilibre, bien que faisant l'admiration de tout l'hôpital par sa lucidité et son courage ...
Jeudi, nous avons eu notre petite cérémonie, toute simple, mais émouvante, où Beaudouin a prononcé quelques mots épatants, puis nous avons été à l'hôpital décorer le petit Hessenbruch dont c'était l'anniversaire (dix neuf ans). Il a la Médaille Militaire, surtout pour récompenser son attitude depuis l'accident. Il fait vraiment l'admiration de l'hôpital, pour qui il est d'ailleurs un cas médical... Les américains ont été admirables » "

Laurent le dimanche 17 janvier 2010 - Demander un contact

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Cadets de la France libre, l'École militaire / André Casalis

" La famille Kidd n'a pas moins de trois représentantes qui oeuvrent pour l'Ecole. La mère de famille a repris les fonctions que Lise Brandin exerçait à Malvern : elle supervise l'ensemble du personnel de service, les cuisiniers etc. L'aînée de ses fille; Jeanine  , travaille sous ses ordres et devient l'épouse d'André Lehrmann, récemment promu aspirant avec « Fezzan-Tunisie » ; Suzanne, la cadette, est conductrice."

Jacques Ghémard le dimanche 10 janvier 2010 - Demander un contact

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Cadets de la France libre, l'École militaire / André Casalis

" Beaudouin, commande désormais l'Ecole, il est assisté de Mlle Abrahams, dactylographe, L. de Cabrol, ancien du Cadre Noir de Saumur, est son adjoint, responsable du « Mili », J. Le Guével doit achever notre initiation aux finesses de l'ordre serré et seconder Cabrol. Voilà pour ceux qui nous accompagnent depuis Rake Manor. Deux sergents nouveaux venus, Marius Taravel, ancien alpin de Narvik et André Lehrmann complètent l'effectif des cadres en uniforme. Ils n'ont guère que six ou sept ans de plus que nous et auront parfois de la peine s'imposer."

Laurent le samedi 02 janvier 2010 - Demander un contact

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VANITES OU LES SOUVENIRS DE GUERRE D'UN JEUNE FRANCAIS LIBRE de TRITSCHLER LOUIS

" II n'est donc pas tenu compte de l'instruction ni du niveau intellectuel pour constituer les unités, sinon peut-être pour leur assurer un certain équilibre. Les liens de parenté jouent aussi et, contrairement à ce que l'on pourrait penser, les frères restent souvent ensemble. Ainsi Jean et moi sommes-nous affectés au même groupe de combat, le premier groupe commandé par le sergent Frank avec pour chefs d'escouade, le caporal-chef Lehrmann et le caporal Tiolaire. Le sous-officier adjoint de la section est le sergent-chef Schmidt"

Laurent Laloup le jeudi 16 octobre 2008 - Demander un contact

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L'Ecole militaire des cadets de la France libre

" Initialement installé, en février 1941, dans l'un des bâtiments du collège, cet établissement improvisé s'inscrit dans la grande tradition de Saint-Cyr, dans l'esprit du Général. C'est bien là le sens de sa troisième visite, au mois de novembre, au cours de laquelle l'Ecole reçoit son fanion de ses mains. Elle est dirigée par le chef de bataillon André Beaudouin, secondé par le chef d'escadron Louis de Cabrol et René de Lajudie (promotion de Bournazel), directeur de l'instruction.

La première promotion de l'Ecole des Cadets sort en mai 1942, après seize mois de formation concentrée. Elle prend le nom de Libération et compte quinze aspirants : un effectif à l'échelle des unités combattantes de la France Libre d'alors ! C'est l'époque de la bataille de Bir-Hakeim ; Charles de Gaulle, souffrant, est remplacé par le général Paul Legentilhomme pour le baptême de la promotion.

L'Ecole se transforme après ce premier succès. Elle s'installe à Bewdley (Worcs), dans le cadre du prestigieux manoir de Ribbesford où elle sera chez elle. Elle a en effet besoin d'espace car, réputation aidant, elle se développe de mois en mois. Elle doit son excellence et son efficacité à un groupe de lieutenants-chefs de section où figurent Jacques Chambon (de la Plus Grande France), Jean Fèvre (de Libération), André Lehrmann (de Fezzan-Tunisie), Pierre Saindrenan (de la Charles de Foucauld), Robert Moulié, Louis Pichon (du Soldat Inconnu), Jean Sourieau (de la Plus Grande France) et Marius Taravel (de Libération)."

www.france-libre.net 

Laurent Laloup le jeudi 27 mars 2008 - Demander un contact

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Source : Les Cadets de la France libre de E. Bergot



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Laurent Laloup le vendredi 27 avril 2007 - Demander un contact

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Réponse :

Jacques Duchene est le quatrième à partir de la gauche de la photo, au deuxième rang. André Casalis

Dernière mise à jour le samedi 20 janvier 2024

 

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