André Octave Beaudouin - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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André Octave Beaudouin



Naissance : 7 octobre 1900 - Saint-Germain-en-Laye (78)

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : BCRA /

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : commandant

Décès à 73 ans - 6 décembre 1973 - Asnières-sur-Seine (92)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 41213

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 4015

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André Octave Beaudouin - son Livre ouvert !
 

Bulletin municipal janvier 2021 - Commune de THUMERIES  ou 

" Voici les noms des volontaires féminines présentes sur cette photo publiée sur le net.
Betty Loynes, Jacqueline Jost, Mrs Kidd, Monique de Rottschild, jeanne Lévêque, Suzanne kidd, Renée Mankel, Betty Mellors, CECILE FACQ, Jacqueline Baticle."

Source photo cadetfrancelibre.fr 

" Au 1er rang: Le Médecin-Lieutenant ROZENZWEIG, le Lieutenant BACONNAIS, L’aspirant LEHRMAN, le Sous-lieutenant TARAVEL, le capitaine FAURE, le chef d’escadron de CABROL, le chef de bataillon BEAUDOUIN, le capitaine de LAJUDIE, le lieutenant SOURIEAU, le lieutenant MOULIE, le lieutenant PICHON, le R.P. O’HARA

Au 2ème rang: L’adjudant CHADRIN, les auxiliaires féminines, le lieutenant MASSON"



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Laurent Laloup le samedi 20 janvier 2024 - Demander un contact

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www.ordredelaliberation.fr 

"... En avril 1939, les Hackin repartent pour Kaboul et reprennent avec Jean Carl architecte de la DAFA et Jacques Meunié, les fouilles à Begram. Très attachée à l’Afghanistan Marie qui s’intéresse aux légendes et coutumes locales en prépare un recueil avec Ahmad Ali Kohzad, traducteur de la DAFA, qui paraîtra en 1953.

En septembre 1939, Joseph Hackin est mobilisé comme capitaine, puis comme commandant, attaché à la Légation de France à Kaboul. Refusant l’armistice, après avoir adressé, le 5 juillet 1940, un message d’adhésion au général de Gaulle, les époux Hackin avec Jean Carl et André Beaudouin quittent Bombay à destination de Londres, où ils parviennent en octobre 1940.

Marie participe à la mise sur pied Corps féminin de la France libre dans lequel elle sert comme sous-lieutenant, avec les premières volontaires dès le 7 novembre. Elle est une des trois volontaires nommé officier avec Gioia Burdet et Simonne Matthieu qui en prend le commandement. Elle reçoit une formation militaire à l’OCTU (Officer Cadet Training unit)..."

Laurent Laloup le lundi 18 novembre 2019 - Demander un contact

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tenue de diplomate

je suis heureux d avoir acquis ce jour une tenue de diplomate et un képi militaire de monsieur andré beaudoin récupéré dans un appartement d aubervilliers suite a son décès.

Ayant bien discuté avec la personne qui le posséder et maintenant sachant son origine je suis très fier de posséder cette tenue d un si grand homme ayant surement été un des premiers compagnons de la libération a avoir écouté l appel du 18 juin du Général de Gaulle .

Merci a madame Sabine d avoir fait un heureux ce jour

schuhmacher cyril le samedi 15 août 2015 - Demander un contact

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Réponse :

C'était un Français libre mais pas un Compagnon de la Libération


Cadets de la France libre : l'école militaire. : CASALIS André



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Laurent le dimanche 17 janvier 2010 - Demander un contact

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Réponse :

Peut être GR 16 P 449321 O'HARA ( Vincent ) 1912-03-23 Salford ROYAUME-UNI


Andre Beaudouin

Cadets de la France libre, l'École militaire / André Casalis :

Laurent le samedi 02 janvier 2010 - Demander un contact

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Cadets de la France libre, l'École militaire / André Casalis

André Beaudouin est présent à Rake-Manor dès le 15 novembre 1940. Arrivé de Kaboul quelques semaines auparavant, engagé dans les F.F.L. comme simple soldat, il est rapidement nommé adjudant. Son ordre de mission pour Rake-Manor est daté du 26 octobre 1940.

Laurent le vendredi 01 janvier 2010 - Demander un contact

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André Casalis : " Cadets de la France Libre - Louis Le Roux 1923-1951"

" Trop jeune pour rejoindre l'Armée de terre aux yeux de la loi britannique, le groupe est dirigé sur le pays de Galles où il passe l'été dans un camp de style scout. Ils ont un chef remarquable, le capitaine Lescure.
Arrive l'automne et ses frimas. Ils sont alors installés dans un cantonnement vaguement militaire dans le Surrey. Au passage, Louis et quelques-uns de ses camarades passent les épreuves du baccalauréat à Londres, sous les bombes nazies. Il faudra attendre la fin de l'année, la seconde inspection du Général de Gaulle et l'arrivée d'un nouveau chef non moins remarquable, André Beaudouin, pour que le projet d'une École de cadres se matérialise. Louis, Jean Briand et moi même faisons partie de la llesection d'instruction de ceux que l'on connaîtra désormais comme « les Cadets de la France Libre ».
Nous nous retrouvons, avec une cinquantaine d'autres jeunes Français, à Malvern, dans le Surrey, hôtes du collège de cette ville jusqu'en novembre 1941. L'instruction militaire et la « pompe » ont alors atteint un niveau suffisant pour que le Général, lors de sa troisième inspection, décide que cette École naissante formera désormais des chefs de section. Elle verra dès lors de nouveaux officiers, dont une majorité d'anciens saint-cyriens, prendre en mains l'instruction militaire.
Louis et ses vingt-six camarades - eh oui ! nous n'étions guère nombreux - présentent le concours de sortie pendant les premiers jours de mai 1942. Il est reçu dans un bon rang, nommé aspirant et choisit de servir en théâtre d'opérations extérieures. C'est la seule option offerte qui nous rapproche d'éventuels combats. Les Japonais, en effet, se rapprochent dangereusement de la Nouvelle-Calédonie. Louis quitte la Grande-Bretagne le 19 juin en compagnie de Gérard de Carville, Jacques Duchêne, Hervé de La Ménardière et moi même. Jean Briand suivra plus tard. Notre temps d'exil a duré ici presque deux ans : il n'a pas été trop court pour estomper la honte de l'armistice de 1940 dans notre esprit et nous donner la fierté de servir à un poste de responsabilité."

Laurent le dimanche 05 juillet 2009 - Demander un contact

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UNIFORMES N°78

"Louis de Cabrol interroge un cadet en présence du Lu Beaudouin"

Laurent Laloup le dimanche 14 septembre 2008 - Demander un contact

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Extrait d'UNIFORMES N°78

" LES CADETS DE LA FRANCE LIBRE
Le 20 octobre 1940, le ca­pitaine Lescure ayant quitté son commandement, est remplacé par le capitaine Mondot. Le Prytanée réorga­nisé passe ensuite sous les ordres du sous-lieutenant Beaudouin qui vient de Ka­boul, assisté du sous-lieute­nant de Cabrol, directeur de l'instruction, et des sous-offi­ciers Delahousse, Fèvre et Le Guével.
Le peloton"

Laurent Laloup le dimanche 14 septembre 2008 - Demander un contact

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L'Ecole militaire des cadets de la France libre

" Initialement installé, en février 1941, dans l'un des bâtiments du collège, cet établissement improvisé s'inscrit dans la grande tradition de Saint-Cyr, dans l'esprit du Général. C'est bien là le sens de sa troisième visite, au mois de novembre, au cours de laquelle l'Ecole reçoit son fanion de ses mains. Elle est dirigée par le chef de bataillon André Beaudouin, secondé par le chef d'escadron Louis de Cabrol et René de Lajudie (promotion de Bournazel), directeur de l'instruction.

La première promotion de l'Ecole des Cadets sort en mai 1942, après seize mois de formation concentrée. Elle prend le nom de Libération et compte quinze aspirants : un effectif à l'échelle des unités combattantes de la France Libre d'alors ! C'est l'époque de la bataille de Bir-Hakeim ; Charles de Gaulle, souffrant, est remplacé par le général Paul Legentilhomme pour le baptême de la promotion.

L'Ecole se transforme après ce premier succès. Elle s'installe à Bewdley (Worcs), dans le cadre du prestigieux manoir de Ribbesford où elle sera chez elle. Elle a en effet besoin d'espace car, réputation aidant, elle se développe de mois en mois. Elle doit son excellence et son efficacité à un groupe de lieutenants-chefs de section où figurent Jacques Chambon (de la Plus Grande France), Jean Fèvre (de Libération), André Lehrmann (de Fezzan-Tunisie), Pierre Saindrenan (de la Charles de Foucauld), Robert Moulié, Louis Pichon (du Soldat Inconnu), Jean Sourieau (de la Plus Grande France) et Marius Taravel (de Libération)."

www.france-libre.net 

Laurent Laloup le jeudi 27 mars 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 20 janvier 2024

 

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