Jacques Maurice Robert alias Denis - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Jacques Maurice Robert alias Denis



Naissance : 2 avril 1914 - Paris 17e

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en juin 1941

Affectation principale : Résistance intérieure / CND Castille

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2

Décès à 83 ans - 8 février 1998 - Neuilly-sur-Seine (92)

Frère de Suzanne Robert 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 295661

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 44612


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"... Pour constituer sa centrale, Denis s’entoure d’une équipe qu’il spécialise à cet effet. Son adjoint Tom est compromis chaque jour depuis l’occupation totale de la France. Il doit gagner l’Angleterre. À sa place, Denis recrute le dessinateur Chancel, qui devient Coty, puis Charles. Après lui, un industriel du Nord, Antoine Mazurel, met à la disposition du réseau toutes ses ressources et toute son activité. Enfin, un dernier personnage complète ce noyau directeur: comme en retrait, au courant de toute la vie du réseau, mais sans rencontrer jamais des agents, pouvant ainsi, en cas d’alerte ou d’accident, assurer immédiatement la continuité du travail, le médecin colonel Lormeau, dit Reine. Ce noyau dispose évidemment d’un groupe de secrétaires et dessinateurs pour assurer la frappe et l’établissement du courrier. Toutes les communications entre la centrale et les différents secteurs passent par un centre de liaison, dirigé à Lyon par Jean Roccofort, alias Calendeau. Celui-ci ne communique avec les chefs de secteur que par boîte aux lettres. Enfin, pour assurer au maximum la sécurité du réseau, une centrale de repli est prévue, dont seuls les chefs de sous-réseaux ont l’adresse: s’ils se trouvent pendant un temps donné sans nouvelles, ils se rendent à ce point, où ils doivent trouver une personne absolument indépendante de toute action et chargée simplement de leur donner une adresse pour retrouver le contact avec Londres. Les premiers rapports parvenus à Londres de Denis montrèrent l’importance du réseau qu’il était en train d’installer. Il fallait évidemment lui envoyer des postes et des opérateurs. Le 2 septembre, par un parachutage organisé par Phalanx, arrive le radio Trifol (Lot). Malheureusement, au bout de quelque temps, il était arrêté avec l’autre radio du réseau, qui se trouvait ainsi coupé de contact. Il fallut recourir à l’organisation radio Persée. À la fin de 1942, le réseau Phratrie est définitivement organisé. Dès le mois de janvier 1943, commencent à parvenir à Londres les courriers mensuels du réseau. C’est aussi à cette date que Tom, après 2 vaines tentatives d’enlèvement par mer, gagne l’Espagne, d’où il rejoint l’Angleterre. Il est remplacé par Charles. ..."

Le Livre blanc du BCRA

www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr 

Laurent Laloup le jeudi 02 décembre 2021 - Demander un contact

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Histoire de la Résistance en France (2): L'armée de l'ombre : juillet 1941 ...De Marcel Degliame-Fouché, Henri Noguères, Jean-Louis Vigier



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Laurent Laloup le dimanche 26 juillet 2020 - Demander un contact

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www.pierrebrossolette.com 

"... Patrick Chatelin 3 juin 2015 at 18:23 - Reply

Opéation PYTHON. Vous reprenez une erreur assez fréquente : Si Brossolette a bien été parachuté en compagnie de Jacques ROBERT dans la nuit du 3 au 4 Juin 1942 près de Saint Albain en Saône et Loire sans avoir subi d’entraînement, ils n’ont pas été parachutés en « blind » . Il y avait bien un comité de réception dirigé par RONSARD et mon frère François CHATELIN (pseudo Lecomte) qui les ont convoyé vers LYON. Outre le témoignage de mon frère toujours vivant la principale référence est : PASSY : Mémoires du Chef des services secrets de la France Libre » Nous organisâmes avec notre agent Ronsard un parachutage qui fort heureusement se passa bien » page 341 de l’édition de 2000 chez Odile Jacob. Gilberte Brossolette elle même écrit » Il avait fini par arracher l’autorisation d’effectuer en novice et « blind » sa tentative » mais elle ajoute « on avait alerté dans la région un « comité de réception » page 146 de « Il s’appelait Pierre Brossolette ». Guy PERRIER reprend l’erreur de date de Gilberte Brossolette : « le 7 juin » mais précise aussi « l’équipe de réception le récupère et l’évacue » mais ne donne pas se sources. C’est Noguères qui fait l’erreur dans son Histoire de la résistance ( éd de 1969) qui dit simplement » ont été parachutés en « blind ». Piketty reprend cette erreur.
Par ailleurs si vous consultez un calendrier lunaire vous constaterez que en 1942, la pleine lune était le 30 mai et donc le dans la nuit du 3 au Juin on était encore quasiment en pleine lune.
Après un peu de repos les 2 parachutés sont partis avec Ronsard et Chatelin par le premier train pour Lyon. Ils sont descendus à la Gare de VAISE. moins surveillée que PERRACHE et Brossolette est parti se reposer dans la chambre de mon frère avant de repartir le soir même sur Paris. C’est la même équipe Ronsard – Chatelin qui a assuré le départ maritime lors de l’opération LEDA 2. ..."

Laurent Laloup le lundi 28 octobre 2019 - Demander un contact

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Beau frère de Jean Charbonneaux

" En juin 41, [Jean Charbonneaux] avait épousé Suzanne Robert (1920-1996), elle-même résistante à Vengeance, qui lui donna deux fils : Hubert et Didier.
Sa belle mère Anne Robert, connu sous le pseudonyme de Zoé dans un autre réseau, fut décorée de la Légion d’Honneur en 1946 au titre des services rendus à la Résistance, et son beau-frère, Jacques Robert, qui avait pu rejoindre Londres, fut fait Compagnon de la Libération à la fin de la guerre."

Jean Charbonneaux 

Jacques Ghémard le samedi 09 janvier 2010 - Demander un contact

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Le Colonel Passy Et Les Services Secrets De La France Libre de Guy Perrier

" Ainsi, l'ordre de bataille de la Wehrmacht, de la LuftwafFe et de la Kriegsmarine, depuis le secteur de Brest « couvert » par Hilarion jusqu'à celui de Bordeaux du ressort d'Espadon, est connu en détail par Londres, avec autant de précision que par l'état-major allemand. Rémy prend d'autres contacts ; il recrute François Faure, dit Paco, fils de l'historien d'art Elie Faure, Jacques Robert, alias Denis, grand gaillard, taillé tel Hercule, lieutenant de chars valeureux, R. Dumont, alias Pol, offi­cier de réserve de l'armée de l'air, Max Petit, dit Poucet, et bien d'autres... Cet afflux d'adhésions inquiète quel­que peu Rémy : tous ces agents sont compétents, chacun dans son domaine et selon la méthode révolutionnaire inaugurée par Passy, ils récoltent, chacun, des renseigne­ments appréciables. Un exemple vaut la peine d'être relaté. Le 31 octobre, de Gaulle, sur les ondes de la BBC, prescrit aux Français d'observer « un garde-à-vous natio­nal » de cinq minutes. A Bordeaux, dans une usine de la SNCASO travaillant pour la LuftwafFe, les ouvriers aban­donnent leur travail à l'heure dite, tous sauf un, René Dugrand. René, agent d'Espadon, a reçu de son chef l'ordre de se procurer à tout prix un échantillon d'un métal spécial fabriqué pour les appareils nazis. En restant à son poste, il profite de cette opportunité exception­nelle, la grève, pour découper un morceau de métal large comme deux timbres-poste et les loge dans une de ses chaussures. Sous les huées de ses camarades, jugé comme un traître, René sortira aussi de l'usine des plans complets ultra-secrets du Messerschmitt 109 en cours de fabrication. Le tout sera ramené à Londres par Rémy en personne."

laurent le vendredi 14 août 2009 - Demander un contact

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DST Police Secrète, Roger Faligot, Pascal Krop

" Le 13 juin 1943, Peretti s'envole pour Londres avec Jacques Robert, du réseau Ali, qu'il a fait évader grâce à la complicité du commissaire Dubois de Nice. C'est alors que le résistant corse rencontre Passy, Wybot et Haas-Picard, le futur préfet de la Seine, alors chargé d'exploiter les informations données par AJAX à Londres."

laurent le lundi 20 juillet 2009 - Demander un contact

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Pierre Sonneville. Les Combattants de la liberté

" sont-ils connus? je n'en sais rien; probablement par les Chantiers de Jeunesse. Toujours est-il que Petit, officier de l'armée d'armistice, maintenant dans la clandestinité, préparait l'Ecole de Saint-Cyr à Sainte-Geneviève à Versailles, lorsque j'y étais moi-même en première année de préparation navale; il se rappelle parfaitement que j'étais dans les derniers, mais tout cela est bien loin maintenant.
Un autre ami de passage a le physique d'un héros de roman d'espionnage; cela ne devrait pas lui faciliter les choses, mais Rewez, alias Jacques Robert, avec sa belle gueule de baroudeur et son physique de parachutiste, n'est pas de ceux que l'on attrape facilement; après le départ de Rémy, il a pris la direction du réseau « Confrérie Notre Dame » en zone Sud. Normalement, nous n'aurions jamais dû entrer en contact, mais les fonds dont je disposais à mon arrivée arrivent à épuisement et c'est Jacques Robert qui «e chargera de me dépanner à Cannes où nous nous retrou­verons le 16 février."

Laurent Laloup le lundi 15 juin 2009 - Demander un contact

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" À son apogée, la CND compta sans doute 2 000 agents. D’autres réseaux importants virent le jour. Certaines branches du réseau de Fourcaud survécurent à son arrestation et donnèrent naissance à de nouveaux réseaux, tels que celui de Maurice Andlauer (Antoine, Ali) et celui d’André Boyer (Brutus), bien implanté dans les milieux socialistes. En 1942, le BCRA chargea Christian Pineau, le chef du mouvement Libération-Nord, d’en constituer deux – Phalanx et Cohors – en s’appuyant sur les milieux syndicalistes. Jacques Robert, un membre de la CND, mit sur pied en zone sud le réseau Phratrie, qui devint l’un des réseaux les plus importants du BCRA."

rha.revues.org 

Laurent Laloup le lundi 05 janvier 2009 - Demander un contact

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www.deols-tourisme.fr 

" Commune de Primelles
Dans la nuit du 26 au 27 janvier 1943 le Lysander du lieutenant-colonel Charles Pickard se pose dans le cadre de l’opération ATALA sur le terrain “Marabout ” à l’est d’Issoudun, à trois kilomètres du Grand Malleray, au lieu-dit “La Pièce des Usages ” en bordure de la départementale 99, face à la ferme de Maurepas sur le territoire de la commune de Primelles dans le département du Cher.
Arrivent deux agents : Pierre Brossolette (conseiller politique du Général de Gaulle) et Jacques Robert (alias “Denis ”). Partent : René Massigli et André Manuel, l’adjoint de Passy.
Dans la nuit du 24 au 25 février 1943, puis dans la nuit du 26 au 27 février 1943 Hugh Verity à bord de son Lysander D comme Dog aurait dû ramener Jean moulin sur le terrain “Marabout ” (le nom de code de la mission était ECLIPSE). Mais la première fois il ne put atterrir à cause d’un brouillard trop épais et la seconde à cause de la non perception du signal correct, suivie immédiatement du signal de danger.
Après une première tentative dans la nuit du 20 au 21 mai 1943, c’est dans la nuit du 21 au 22 mai 1943 que le capitaine John Bridger pose son Lysander sur le terrain “Marabout ”. La tentative précédente ayant échoué à cause du brouillard au-dessus de la zone d’atterrissage, le comité de réception utilisa cette fois un phare de voiture pour guider l’avion dans le brouillard. Furent déchargés de l’avion cinq colis (des armes, des émetteurs-radio et une forte somme d’argent). Embarquèrent le colonel aviateur Français René de Vitrolle et l’inspecteur de police Fernand Clément et peut-être également le lieutenant Silva."

Laurent Laloup le mardi 02 septembre 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le jeudi 02 décembre 2021

 

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