Louis Prosper Maury - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Louis Prosper Maury



Naissance : 2 juillet 1912 - Vancouver, Canada

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en janvier 1943

Affectation principale : Résistance intérieure / Turma Vengeance

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P1

Décès à 88 ans - 30 janvier 2001 - Paris 14e

Epoux d'Yvette Thézard 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 406168

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 35142


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Louis Prosper Maury - son Livre ouvert !
 

Le voyageur égaré - De Bernard Morey

GR 16 P 531018 | SAINTENAC (Etienne Jean) | 1916-02-15 | Marseille | Bouches-du-Rhône | FRANCE | FFi DIR
GR 16 P 307250| JAUBERTIE (Marius)| 1922-05-09| Prigonrieux| Dordogne| FRANCE| DIR



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Laurent Laloup le vendredi 26 août 2022 - Demander un contact

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Louis Maury

Laurent Laloup le jeudi 26 mai 2022 - Demander un contact

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" CHAUVIN Henri. Par lui-même.

Je suis entré dans la Résistance un dimanche matin de mai 1943. J’étais dans ma classe pour préparer les tableaux et le travail de la semaine lorsque j’ai eu la visite de Roland HUET, qui me demanda si je voulais entrer dans un mouvement de Résistance qui avait besoin d’hommes expérimentés.

Il avait appris que j’avais fait la guerre comme aspirant et sous-lieutenant et que je pourrais être très utile. Après avoir réfléchi un instant - car si j’avais le droit d’exposer ma vie, j’exposais aussi celle de mon épouse, de mon fils d’un an et de ma famille - j’acceptais, ma haine des nazis et de leur comportement en France fut la plus forte. Je ne voulais pas non plus que l’on puisse me reprocher plus tard de n’avoir rien fait.
Je fis la connaissance de MAURY et PASCO qui me mirent au courant de ce que je pourrais faire. Ils me confièrent le secteur de la vallée de l’Iton entre Normanville et Amfreville sur Iton.

De 1940 à 1942 la Résistance fut peu active. Elle se limita à quelques abotages, à des inscriptions contre l’occupant, à l’établissement de faux papiers pour les prisonniers évadés.
Le réseau de renseignements du mouvement Vengeance fut créé dans l’Eure en décembre 1942 sur l’initiative de Bernard LAUVRAY, interne des hôpitaux de Paris comme étudiant en pharmacie. Il s’implanta dans la région d’Évreux sous la direction de Louis MAURY, professeur à Évreux, et du séminariste Alphonse PASCO. Ce réseau avait pour mission de collecter des renseignements sur le potentiel de guerre allemand : effectifs et mouvements de troupes, transports spéciaux, mouvements d’avions, emplacement des batteries de D.C.A., transports de munitions ...

Ces renseignements étaient transmis à Londres par radio. Les destructions effectuées par l’aviation alliée à la suite de ces rapports ont montré leur importance.
Pour toute la région nord d’Évreux, Brosville fut le cœur de ces activités et quatre points de la commune devinrent les lieux stratégiques : la ferme du château des Angles avec la famille PASCO, la ferme de Pennette avec la famille LEMARIÉ, le moulin Heulin avec la famille PICHERIT et la filature de laine cardée dirigée par M. Fernand LEMARQUE.
Une des premières actions de Turma-Vengeance fut l’établissement de fausses cartes d’identité pour les réfractaires et le placement de ceux-ci dans des fermes. Ce fut surtout l’œuvre de M. PICHERIT.

À partir de juin 1943, la R.A.F. (Royal Air Force) dont le nombre des avions a fortement augmenté, fait de plus en plus de raids sur notre pays et la Normandie est un point de passage.
Les aviateurs touchés par la D.C.A. sautent en parachute. Les résistants bien organisés les récupèrent, les hébergent et s’occupent de leur rapatriement. Cette récupération était très importante car il faut beaucoup de temps pour former un pilote d’avion et ceux-ci pouvaient reprendre la lutte dès leur retour en Angleterre. Le groupe MAURY avec Alphonse PASCO a sauvé une soixantaine d’aviateurs alliés.

À Brosville c’est Maurice ANNE qui hébergea le premier parachutiste en juin 1943, il fut pris en charge par le Front National.

Le 4 octobre 1943 le capitaine William MILDREN dont l’avion fut abattu au Mesnil Fuguet fut sauvé par Paulette GIRARD avec son père qui travaillaient dans un champ de betteraves. Ils cachèrent son parachute et elle le conduisit à la ferme des Angles. Il fut hébergé par la famille PICHERIT et HUET, et conduit à Paris par Mme MAURY, le 9 décembre 1943.

Les parachutistes qui furent rapatriés le furent avec beaucoup de stratagèmes. Un jour un groupe d’ecclésiastiques sous la conduite d’Alphonse PASCO prit le train pour Paris avec des habits prêtés par l’abbé ÉLIOT.

Au début de mai 1944, un avis de la Kommandantur arrive en mairie. Les postes de T.S.F. déposés par les habitants qui n’ont plus le droit d’écouter la radio seront ramassés. M. QUARRÉ, secrétaire de mairie me prévient. J’alerte aussitôt Alphonse PASCO, Raymond PICHERIT, René VILCOQ, l’abbé ROCHARD et André BIAUX qui décident, la nuit suivante, de camoufler les postes dans le grenier de l’école en simulant un cambriolage. Il n’y a pas d’escalier, le grenier n’est accessible qu’avec une échelle accrochée sous le préau de l’école. Les postes furent cachés sous les fagots qui servaient à allumer le feu dans les classes. Lorsque les Allemands en retraite ont occupé l’école, ils voulurent savoir ce qu’il y avait dans le grenier : mon beau-père avait cassé des barreaux de l’échelle pour la rendre inutilisable. Ils ne purent trouver une échelle dans le pays et ainsi les propriétaires des postes purent les retrouver à la libération.
Moi j’avais gardé le poste de Mme DOUDARD avec son accord et je le cachais dans la cheminée pour écouter Londres et les messages. Pour le parachutage de notre secteur c’était « Les lions attendent Icare ». Avant mon arrestation, je n’ai pas eu l’occasion d’avoir un parachutage.

Et voici les derniers faits de la Résistance dans le secteur. Au moment de la débâcle allemande, la voie ferrée Évreux-Louviers était la dernière voie de repli vers la Seine. Il fallait la rendre inutilisable. Après deux tentatives infructueuses à Amfreville et Hondouville, le déraillement fut organisé dans la courbe de Brosville sous les Belles Roches, endroit choisi pour la proximité de la rivière. L’action fut couronnée de succès. Au passage d’un train, les deux locomotives quittèrent les rails déboulonnés et s’abîmèrent dans l’Iton. Les Allemands investirent les lieux les plus proches : la ferme de Pennette et la filature. La Gestapo ne trouva rien dans l’usine, l’équipe radio étant partie opérer sur le plateau. À la ferme il n’y avait que quelques personnes occupées à fabriquer des brassards F.F.I. Mme LEMARIÉ avec un sang froid admirable expliqua qu’il s’agissait de brassards pour une fête religieuse. Les Allemands acceptèrent l’explication et ne trouvèrent rien d’autre. La veille, une vingtaine de résistants étaient rassemblés à la ferme.

Quelques jours plus tard tout Brosville pouvait pousser un ouf de soulagement, c’était la Libération. Le mouvement Turma-Vengeance a payé lourdement son engagement. En 1943, en décembre, Vic DUPONT, chef national de Vengeance est arrêté à Paris. En janvier 1944, Bernard LAUVRAY est arrêté par la Gestapo. Torturé, il ne parlera pas et sera déporté au camp de Neuengamme et mourra quelques jours avant la libération de Hambourg.
Le 19 mai 1944 Louis MAURY et Jules OVERLACK sont arrêtés sur dénonciation d’un agent de police faisant partie des corps francs. Le 20 mai André BIAUX est arrêté à son travail chez M. JOACHIM. Le 22 mai au matin ce sont Maurice LEGOUX à Quittebeuf et l’abbé ÉLIOT de Bérengeville, l’après-midi vers 15 heures 15, je suis arrêté par la Gestapo dans ma classe au milieu de mes élèves. Ils me fouillent pour voir si je suis armé et me disent « Police allemande, on vous arrête ». Ils me font sortir et ne permettent pas que j’embrasse ma femme qui tient mon fils dans ses bras, me passent les menottes et me font monter dans la traction garée devant la porte. Ils me demandent de les conduire chez Roland HUET. Je déclare ne pas le connaître. Ils démarrent vers Évreux et s’arrêtent à la maisonnette du Moulin Heulin où demeurait André BIAUX arrêté le 20 mai. Deux policiers descendent pour fouiller la maison, le troisième me garde avec sa mitraillette. Après quelques minutes ils ressortent, sans avoir rien trouvé. Ils interrogent Mme SELLIER qui remplace la mère de BIAUX partie dans la famille LEBAS où le père est décédé. Je n’ai pas entendu la conversation. Celui qui parle français me demande de les conduire dans un petit hameau de Brosville. Je sais que Roland HUET demeure à Carcouet. Je pense tout de suite à les emmener aux Collets qui se trouve à l’opposé. Dans la plaine entre les Collets et Bérengeville ils s’arrêtent pour interroger un ouvrier agricole : Paul DAMIENS qui a dû leur dire qu’il travaillait à la ferme ENFANT.

Ils font demi tour et vont à la ferme. Dans la cour il y a un ouvrier qui charge du fumier dans un tombereau. Ils l’interrogent et je crois entendre le mot cousin. Je fais signe à celui qui parle français en lui disant que c’est un prisonnier de guerre qui vient d’être relâché car il est fou. Il lui demande ses papiers et je croyais qu’il allait l’embarquer. À ce moment-là, Mme LENFANT est sortie et a dû donner la même explication. Il lui a rendu ses papiers et nous sommes partis pour la prison d’Évreux.

Lorsque j’ai été libéré, j’ai appris que la Gestapo était retournée directement au domicile de Roland HUET qui avait été prévenu peu de temps avant par M. TOURNATORI et il avait pu se sauver dans le bois avec un chef de la Résistance et un opérateur radio avec son poste émetteur.

Pendant ce temps, les réfractaires, l’abbé ROCHARD et Claude TASSEL, prévenus par mon épouse ont alerté la ferme de Pennette évitant ainsi d’autres arrestations.
Tous les résistants de Vengeance recrutés dans la vallée d’Eure ont joué un grand rôle dans la Libération en guidant et en renseignant les troupes alliés sur la position des Allemands."

lycee-marc-bloch.spip.ac-rouen.fr 

GR 16 P 298245 | HUET (Roland Clovis) | 1911-08-30 | Sacquenville | Eure | FRANCE | FFi ?
GR 16 P 360305 | LEMARQUE (Fernand) | 1910-06-09 | Brosville | Eure | FRANCE | FFc
GR 16 P 356268 | LEGOUX (Maurice Léon) | 1891-11-14 | Evreux | Eure | FRANCE | FFi DIR

Laurent Laloup le mercredi 05 janvier 2022 - Demander un contact

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"... LE 19 AOÛT 1944

Dénoncés par l'agent de police Dubois, les résistants Louis Maury et Jules Overlack, du mouvement Vengeance, sont arrêtés et conduits à la prison d'Évreux. ..."

www.evreux-histoire.com 

Laurent Laloup le lundi 20 décembre 2021 - Demander un contact

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Libération de la Normandie De Marcel Baudot

Laurent Laloup le lundi 27 juillet 2020 - Demander un contact

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"... MORIN Henriette, épouse CODERCK.
Par elle-même.
Une de mes mission : sauvée par l’Angélus !
Entrée dans la Résistance en 1941, inscrite au groupe Turma-Vengeance en 1942 avec Marcel BAUDOT, Louis MAURY, et mon chef direct Hubert RENAUDIN habitant les Tuileries aux Baux Sainte-Croix (Eure).
Hubert RENAUDIN arrive vers le soir et dit à mon mari Charles CODERCK qu’ils iraient très tôt le lendemain matin à vélo, munis de pioches et de pelles creuser dans une prairie située à Prey (tout près de Saint-André de l’Eure) pour cacher les armes qui se trouvaient dans la camionnette d’Hubert qui possédait un laisser-passer permanent lui permettant de ravitailler tous les boulangers d’Évreux en fleurage et en sel.
Renée RENAUDIN et moi devions les rejoindre avec le repas de midi et le chargement d’armes parachuté quelques jours auparavant.
Presque arrivées à Prey, nous vîmes deux camions dont un allemand arrêtés sur la route. Un Allemand nous fit signe d’arrêter sur le côté et il repartit à son camion.
Renée et moi étions certaines d’être fusillées ou déportées, il fallait cacher notre détresse.
L’heure passait trop lentement : midi moins cinq minutes, le premier camion allemand démarre, deux Allemands s’avancent vers nous alors que l’angélus de midi sonne à l’église de Prey. L’Allemand consulte sa montre et nous fait signe de partir ; notre camionnette gazogène ne démarre pas. Avec la force du désespoir, j’ai poussé notre voiture, nous avons fait demi-tour et sommes rentrées chez Hubert et Renée RENAUDIN aux Tuileries.
Nous avons mis notre voiture au garage en prenant bien soin de refermer la porte à clef !, puis sommes rentrées dans la maison, le chauffage était éteint. Renée nous servit alors deux grands verres de Calvados, et bien qu’ennemies de l’alcool, nous les avons bus d’un trait, et nous nous sommes endormies à table.
Inquiets, nos maris frappent à la porte et Hubert dit : « il me faut ma voiture demain matin ».
J’ai eu une idée, mes parents possédaient une grande prairie avec un bâtiment occupé par plusieurs tonnes de pommes de terre pour l’alimentation des porcs.
De 22 heures à 6 heures le matin, nous avons œuvré pour déplacer les pommes de terre, déposer les armes et les recouvrir avec les pommes de terre. Vers 7 heures une bonne odeur de graines d’orge grillées nous attendait, le breuvage fut bienvenu.
Mes parents ignoraient tout de mes activités. Ce n’est qu’en 1945 que le commandant STOULS fit chercher le chargement.
Je ne sais pas ce qu’il est devenu."

TURMA VENGEANCE
en Eure

Laurent Laloup le lundi 20 juillet 2020 - Demander un contact

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J'étais pensionnaire au Collège technique Modeste Leroy à la fin des années 50. P'tit Louis, était notre prof de Français. Un homme délicieux et tant compétent. Je garderais à vie en mémoire sa perpétuelle bonne humeur, ses arrivées au collège à bicyclette après avoir gravit une côte de 15 ou 16 %, plus peut être, pour y parvennir.
Louis Maury à marqué mon existence. Paix à son âme.

Michel leroux

Leroux Michel le mercredi 16 octobre 2019 - Demander un contact

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They came from Burgundy: A study of the Bourgogne escape line
Par Keith Janes

Laurent Laloup le mardi 10 octobre 2017 - Demander un contact

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Louis Maury & le général de Lattre

Carte de visite de Louis Maury signée par le maréchal de Lattre de Tassigny

Testart le jeudi 24 août 2017 - Demander un contact

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Louis etait le cousin de mon pere Claude THOMAS

Respect à mon Grand Oncle...qui a quitté ce monde il y a presque 15 ans.

THOMAS le lundi 10 juillet 2017 - Demander un contact

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Madame Maury Yvette était dentiste à Evreux (27) où j'habitais.
Sa fille France a été responsable au collège Ferdinad Buisson à Elbeuf (76).

cathy le jeudi 15 juin 2017 - Demander un contact

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à J-M R
J'ai qq infos de ces personnes.
Mr Mercier son petit fils a écrit sur ce site.
C.

cathy le jeudi 15 juin 2017 - Demander un contact

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Réponse :

Je suppose que vous parlez d'Erik LERCIER qui nous dit un peu plus bas "Louis MAURY a eu une fille unique, France, née le 09 octobre 1939, dont je suis le fils." et que vous vous adressez à J-D R


Ancien élève à Evreux

A Jean-Denys ROBERT, avez-vous essayer par l'intermédiaire de l'amicale des déportés de Neuengamme : siteweb@campneuengamme.org

CLERGEOT le jeudi 15 juin 2017 - Demander un contact

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Mon oncle

J'aimerais beaucoup retrouver sa fille France surnommée youyou, ma cousine germaine.
J'ai toujours entendu dans ma famille, des récits de Louis de son courage ainsi que ma tante Yvette. Ce serait super qu'on puisse se retrouver. Merci.

Jean-Denys ROBERT le mercredi 14 juin 2017 - Demander un contact

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souvenir et mémoire

Après recherches infiniment heureux d'apporter mon témoignage au livre d'or de Mr Louis MAURY mon ancien professeur de Français ,histoire et géographie au collège technique de EVREUX . Souvenir impérissable d'un homme d'une grande humanité qui m'a également été révélée dans son livre "quant la haine élève ses temples" livre que je recherche activement .Son surnom P'tit Louis reste gravé également dans son exploit "cycliste" dans l'émission "la tête et les jambes" qu'il remporta et donna une leçon d'histoire et géographie à "Mr CHAMPAGNE" époustouflé par son savoir !!
Qu'elles leçons vous nous avez données MONSIEUR LOUIS MAURY
Guy COLLET

COLLET Guy le dimanche 23 avril 2017 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le vendredi 26 août 2022

 

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