Emile Auguste Jean Maheo - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Emile Auguste Jean Maheo



Naissance : 6 novembre 1915 - La Rochelle (17)

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en juillet 1940

Affectation principale : FNFL / marine de guerre

1er BFM, marine Pointe-Noire

Matricules : 1235 L33, 10338 FN40

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : Second maître électricien

Décès à 95 ans - 23 novembre 2010 - Kervignac (56)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 383994

Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 9533

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 33336


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photo

Port-Gentil - 10.1942
MAHEO, ABALAIN (Popaul), LE BOUDER, GRATIOT



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Jean Quinquis le samedi 26 janvier 2019

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Réponse :

François Marie Maheo  ou Emile Auguste Jean Maheo  tous deux affectés à Marine Pointe-Noire, Paul Abalain  , Yves Le Bouder  , Albert Auguste Gratiot  ou Louis Gratiot 


Revue de la France Libre - Décembre 2010

Décès :
MAHEO Emile (FNFL),
le 23 novembre 2010 à Kervignac (56)

laurent le dimanche 07 février 2016 - Demander un contact

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"Les Français libres sortent de l'ombre" 15 janvier 2004

www.letelegramme.com 

"Contrairement aux membres de la Résistance intérieure, les hommes qui s'étaient engagés dans les Forces françaises libres (FFL) sous les ordres du général De Gaulle, combattant aux côtés des armées alliées, n'étaient pas des hommes de l'ombre. Mais jusqu'à présent, le concours national de la Résistance ne les avait pas concernés.

«Bien sûr, nous avions été sollicités. Mais pour parler de la Résistance, nous n'étions pas bien placés. Cette année, le thème du concours est «Les Français libres» et c'est avec plaisir que nous avons répondu à l'invitation des professeurs», explique Emile Mahéo, président de l'amicale départementale de la France Libre, tout heureux de venir à la rencontre des collégiens et lycéens pour parler de leur aventure.

Cinq vétérans témoignent

Hier, à Saint-Joseph, où ils avaient été conviés par une équipe d'enseignants, ils ont donc parlé de leur guerre, de leurs motivations, de l'idéal de liberté qu'ils avaient choisi de défendre, à une trentaine d'élèves de 3 e et de lycée professionnel ayant décidé volontairement de participer à ce concours. Emile Mahéo était accompagné de quatre autres Français libres de la région lorientaise : Robert Saerens, ancien du commando Kiefer qui débarqua le 6 juin 1944 avec la première vague d'assaut à Ouistreham; Joseph Dinard, ancien des Forces navales françaises libres (FNFL); Jean Waitzman, ancien parachutiste et Guy Le Citol, lui aussi parachutiste faisant partie du bataillon du colonel Bourgoin, lâché dans la nuit du 5 au 6 juin 1944 sur Plumelec.

Entretenir le souvenir

Emile Mahéo avait, quant à lui, rejoint l'Angleterre dès le 18 juin 1940 à bord de l'aviso dragueur de mines sur lequel il servait en Manche. «Nous sommes partis de Cherbourg lorsque les Allemands y sont arrivés. Il n'y avait pas de radio à bord, nous n'avons donc pas entendu l'appel du général De Gaulle». Mais en Angleterre, alors que certains choisissent la démobilisation et le retour en France, il reste avec les volontaires pour continuer le combat et s'engage dans les fusiliers marins. Il servira en Afrique jusqu'à la libération. «Nous sommes là pour entretenir la mémoire auprès des jeunes. Il ne faut pas oublier la France Libre. Nous sommes ceux qui n'ont jamais déposé les armes».

Cinq ans d'exil

A 88 ans, il garde cet esprit de liberté bien ancré. «Dix ans plus tôt, nous aurions été plus nombreux à pouvoir témoigner. Mais l'essentiel est que ce concours nous permette aujourd'hui de rappeler cette épopée à laquelle nous sommes fiers et heureux d'avoir participé, même si cela a représenté cinq années d'exil, sans nouvelles de nos familles»."

laurent le samedi 12 septembre 2009 - Demander un contact

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Cinq Français libres face aux collégiens - Lorient - jeudi 15 janvier 2004

" Dans le cadre du concours national de la résistance

Mercredi 14 janvier, cinq résistants des Forces Françaises sont venus rencontrer une trentaine de collégiens de l'établissement Saint-Joseph. Pour la première fois, le thème de la France Libre a été sélectionné pour le Concours National de la Résistance et de la Déportation.

Dans la petite salle du collège Saint-Joseph aucun bruit ne vient perturber le récit émouvant de Joseph Dinard et de ses quatre amis, des anciens militaires devenus résistants pendant la seconde guerre mondiale. Pour la première fois, les inspections académiques ont retenu le thème de la France Libre pour le Concours de la Résistance et de la Déportation.

C'est aussi la première fois que Joseph Dinard, Jean Waitzmann, Robert Saerens, Emile Mahéo et Guy Le Citol viennent raconter ce qu'ils ont vécu à des élèves. Comment ils ont rejoint les Forces Françaises à l'appel du 18 juin 1940 ? Quelles ont été leurs actions de résistants, entre autre ?

Etre considérés comme des témoins de l'histoire n'est pas toujours facile. Joseph Dinard témoigne de ce qu'il a vécu il y a maintenant 45 ans : « Les gens sont attentifs à nos histoires mais c'est du passé, ça use de raconter. J'ai 82 ans je vis avec mes souvenirs, mes rhumatismes et des médailles. ». Malgré tout il confie son souvenir le plus fort : « le 1er novembre 1942, pour mes 20 ans, notre navire à couler un sous-marin ennemi. »

Emile Mahéo, président de l'Amicale de la France Libre du Morbihan : « C'est la première fois, depuis la guerre, que l'on nous demande de témoigner, c'est peut-être notre faute, car en rentrant en France à l'époque, après des années d'exil. Nous devions tout reconstruire. J'ai quitté la marine pour le civil. De second maître électricien, je suis devenu ingénieur électricien. »."

www.ouest-france.fr 

Laurent Laloup le mercredi 25 juin 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 26 janvier 2019

 

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