Ferdinand Le Dressay - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Ferdinand Le Dressay



Naissance : 9 novembre 1920 - Vannes (56)

Activité antérieure : agriculteur

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / train

101ème Cie Auto

A participé à la bataille de Bir Hakeim

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : 2c

Décès à 21 ans - 11 juin 1942 - Bir Hakeim

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 352200

Dans la liste de Bir Hakeim : ligne 2914

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 29766ligne 31006


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Ferdinand Le Dressay - Fondation de la France Libre

Sa citation : « Jeune conducteur ayant rejoint l’un des premiers, en Angleterre, le mouvement de la France Libre. A pris part aux campagnes d’Érythrée et de Libye au cours desquelles il se fit remarquer par son moral élevé et la bonne humeur qu’il mettait dans l’accomplissement de son travail. Faisant partie de la colonne de ravitaillement qui parvint à pénétrer le 6 juin 1942 dans la position encerclée de Bir-Hacheim. Mort pour la libération de la France, le 11 juin 1942 à Bir-Hacheim (Lybie) au cours de la sortie ».

Florence Roumeguere le dimanche 27 mars 2022 - Demander un contact

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Laurent Laloup le jeudi 26 septembre 2019 - Demander un contact

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Détails sur Ferdinand et Jean Marie Le dressay

Ferdinand est effectivement né à Kermain près de Vannes de Ferdinand Jean Marie Le Dressay né en 1894 et Anne Marie Le Rohellec.
Je déduis qu'on lui a donné le nom de l'ancienne rue du Commerce (rue Basse de Calmont auparavant) car il s'était embarqué de Vannes pour rejoindre le Général de Gaulle.

Le Jean-Marie Le Dressay, né à Vannes le 1er juin 1890 sous le nom Le Derf, a pour parents Patern Marie Le Dressay, né en 1864, et Jeanne Marie Le Derf. Ce Patern était cousin germain du père de Ferdinand Jean Marie, Ferdinand Le Dressay né en 1864.
Ferdinand est mort à Bir-Hakeim le 11 juin 1942.

Jean-Marc Le Dressay le vendredi 24 février 2012 - Demander un contact

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Un oncle ? tué en 1914

Le seul portant ce nom dans la liste des tués de 14-18 

Séné, son dernier domicile civil, est à environs 3 km au sud de Kermain

Notons que sur le drapeau des fusiliers marins est brodé :

Dixmude (1914)
Yser (1914-1915)
Longewaede (1917)
Hailles (1918)
Moulin de Laffaux (1918)
Bir Hakeim (1942)
Garigliano (1944)
Montefiascone (1944)
Toulon (1944)
Vosges (1944)
L'Ill (1945)

Jacques Ghémard le dimanche 08 novembre 2009 - Demander un contact

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Il existe à Vannes, une rue Ferdinand le Dressay, anciennement rue Basse de Calmont. (mais pas de justification de ce nom trouvé sur Internet)

Par ailleurs je trouve "M. Le Dressay, de Kermain en Vannes" et comme une autre fiche situait son lieu de naissance à "Kermain En Casse", je suppose qu'il est né au lieu dit Kermain, à Vannes, au sud de la ville, sur la route de Rosvelec.

Jacques Ghémard le samedi 07 novembre 2009 - Demander un contact

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Ferdinand Le Dressay

"Louis Goudon connaît Ferdinand Le Dressay, l’un des conducteurs des camions du Train. Ce jeune Vannetais, ne manque jamais de venir saluer son voisin de Noyalo lorsqu’il en a la possibilité. Courageusement, il pilote chaque jour son véhicule à travers les champs de mines disséminés dans le désert. Louis Goudon ne reverra plus son ami Ferdinand qui est tué le 11 juin au retour d’une mission de ravitaillement, alors qu’il participe à l’évacuation du camp retranché de Bir-Hakeim."

www.francaislibres.net 

Laurent Laloup le jeudi 15 janvier 2009 - Demander un contact

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Souvenirs de guerre de Pierre Capucin

" J’ai eu des camarades blessés à mes côtés, mais aucun qui y soit mort.

Moi-même, je n’ai jamais été blessé. J’avais récupéré en Érythrée un casque italien. J’ai toujours pensé que c’était cela qui m’avait sauvé : parce que les casques anglais, eux, ne couvraient pas la nuque.

Je me souviens de certains qui sont morts : Yves Lebon est mort en juin 1942, à Bir Hakeim, comme Ferdinand Le Dressay, qui était breton. Il y a eu aussi Pierre Le Gourrierec qui a disparu au cours de cette bataille, dans la tourmente. Il y a même eu un de nos camarades qui a disparu au même moment, qui a été fait prisonnier par les Italiens et qu’on a retrouvé bien plus tard, en Italie, lors de notre passage dans ce pays.

Il y a eu plusieurs camarades qui ont été fait prisonniers dans les mêmes circonstances et qui sont morts plus tard, noyés lors du naufrage du bateau italien qui les ramenait en Italie. Paul Grech, mort en juin 1944, venait lui de Médéa (en Algérie). Dans l’ensemble on a eu moins de morts dans le Train que dans les autres unités car on n’était pas une unité combattante au sens classique.

Je me souviens aussi d’Hervé Quemeneur, de Louis Worms et d’un troisième encore dont j’ai oublié le nom. Ils ont récupéré des obus et ont voulu en extraire l’enveloppe en cuivre pour en faire des souvenirs, comme ma grand-mère en avait gardé de la guerre de 1914. Ils ont commencé à taper dessus ; on leur a gentiment dit de ne pas faire les cons mais ils ont continué. Deux minutes après, tout a sauté, et ils sont morts !

Sur la photo, on a, de gauche à droite, Paul Grech, André Nicolas, Henri Le Goïc, Jules Dupièce (qui n’est pas mort, lui, pendant la guerre) et un frère noir dont j’ai oublié le nom. Il y avait aussi le conducteur (qu’on ne voit pas sur cette photo), Jacques Letoquart, dont les parents tenaient alors une quincaillerie Place des Vosges - c’est chez eux que j’ai bu ma première bouteille de Champagne en rentrant à Paris après la guerre -.

On a eu, c’est marrant, trois moines qui étaient chefs de bataillon à la 1° D.F.L. : il y avait un dominicain, un carme connu (qui était l’Amiral Thierry d’Argenlieu), et encore un troisième.

Je dépendais du commandant Dulau. Comme autres officiers dont j’ai dépendu, il y avait Hochapfel, Domange - tué en Libye -, le lieutenant Renault qui était de ma compagnie"

www.entretemps.asso.fr/PaulChanoine 

Laurent Laloup le vendredi 05 octobre 2007 - Demander un contact

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