Jean Marie Fèvre - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Jean Marie Fèvre



Naissance : 9 février 1920 - Metz (57)

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Moyen Orient

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BMNA

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sous-lieutenant

Décès à 25 ans - 21 avril 1945 - Piena la Roya, Italie

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 223113

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 18771

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Cadets de la France libre, l'École militaire / André Casalis

" Le lieutenant-colonel Baranger, ancien professeur de physique et de chimie à Polytechnique, est appelé à nous transmettre sa science. Jean Fèvre est chargé Renseigner la littérature et certains aspects de l'Histoire. Il a également un rôle moins officiel mais tout aussi précieux. Son expérience d'ancien séminariste en fait un homme qui sait écouter et que nous consultons volontiers car il est d'un abord facile. Il joue ainsi un peu le rôle d'intermédiaire entre A. Beaudouin qui lui accorde sa confiance et nous qui apprécions la chaleur humaine dont il sait faire preuve. Le cours essentiel, du moins pour l'instant, car il conditionne nos rapports avec les autochtones, est celui de l'anglais. Cet enseignement, et accessoirement celui du folklore britannique chanté, est assuré par un ancien speaker de la radio habitant Montpellier (prononcer : « monpilier » ) nous voulons nommer le très charmant et "long suffering » - nous y reviendrons - Robert Rubie , fidèle sujet de sa Majesté. La langue de Schiller nous est enseignée par Mademoiselle Nicollet, et la Géographie par Mrs Severn Storr. Le rôle de cette dernière ne se borne pas à ces cours. Habitant Malvern et membre très active de plusieurs comités d'entraide, elle organisera pour nous plusieurs manifestations récréatives avec beaucoup de dévouement."

Laurent le samedi 02 janvier 2010 - Demander un contact

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André Casalis : " Cadets de la France Libre - Louis Le Roux 1923-1951"

" Il y en a déjà un de disparu, Jacques Duchêne. Parti avec nous à Nouméa, où il a retrouvé son frère, Jean, futur artilleur à la 1re DFL, il a réussi à quitter l'île au début de 1943. Il a été directement affecté au bataillon du Pacifique et a fait les campagnes d'Italie et de France avec la lre DFL.
C'était un garçon calme, assez renfermé, peu loquace et je dois dire que je l'ai souvent fait « marcher » au cours de nos fréquentes discussions. Il montait à tous les coups et cela se terminait parfois par une altercation, mais nous finissions toujours par nous réconcilier. Je regrette un peu de l'avoir « mis en boîte » comme cela car, au fond, il était très marqué par la mort de son père, tué en 1940 à la tête d'un bataillon du 27e régiment d'infanterie. Jacques y est resté, lui aussi. Il a été tué dans l'attaque du massif de l'Authion, tout à fait à la fin de la guerre. Sorti dans la première promotion, il est l'avant-dernier Cadet tué au cours du conflit.
- Qui est le dernier ?
Tu ne l'as pas connu non plus : Jean Fèvre, l'un de nos instructeurs, sorti en même temps que nous. Un type épatant lui aussi. Je t'en reparlerai si lu veux.
Et les autres ?
Les deux Jean : Pelle et Quentel, bien vivants tous les deux. Des trois, Quentel était mon meilleur copain, nous avons pris presque toutes nos permissions ensemble en Grande-Bretagne"

Laurent le dimanche 05 juillet 2009 - Demander un contact

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www.france-libre.net 

" Près de la cheminée si évocatrice aux heures de mélancolie, rares cependant, il m’arrivait de fredonner cette prière :

"Loin de la terre de ton pays, Fait ta prière Pour ta patrie, Prie pour ta plaine Et pour qu’un jour La paix revienne Avec l’amour."

Permettez-moi de vous présenter les seigneurs de la popote :
– Paul H. Mezan, capitaine commandant la compagnie : un chef;
Jean Magne, capitaine commandant en second la compagnie : énergique, raisonnable, sage;
– Ancel, lieutenant : l’organisateur, calme, toujours très sage;
– Siri, lieutenant : petit, charmant, toujours en mouvement;
– Yves Amanton, sous-lieutenant : grand garçon, plein de gaîté, de sourire, de joie de vivre «le boyard»;– Bernard Demolins, sous-lieutenant, l’enfant gâté, autoritaire;
Jean Fèvre, sous-lieutenant : réservé, timide;
Jean Leridan : pour Jean Leridan j’ai boudé un peu la lourde, je savais, j’avais vécu des deux côtés, et l’on reprochait à ce jeune officier d’avoir rejoint bien tard – 1943 –je n’aime pas l’injustice, mais je n’ai pas eu à prendre sa défense, il a su montrer qu’il était un homme;
– Rengade, aspirant : si jeune, un regard si doux;
Jeannert : le costaud, forte tête. "

Laurent Laloup le samedi 13 septembre 2008 - Demander un contact

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Réponse :

GR 16 P 10458 | AMANTON (Yves) sans autres précisions


L'Ecole militaire des cadets de la France libre

" Initialement installé, en février 1941, dans l'un des bâtiments du collège, cet établissement improvisé s'inscrit dans la grande tradition de Saint-Cyr, dans l'esprit du Général. C'est bien là le sens de sa troisième visite, au mois de novembre, au cours de laquelle l'Ecole reçoit son fanion de ses mains. Elle est dirigée par le chef de bataillon André Beaudouin, secondé par le chef d'escadron Louis de Cabrol et René de Lajudie (promotion de Bournazel), directeur de l'instruction.

La première promotion de l'Ecole des Cadets sort en mai 1942, après seize mois de formation concentrée. Elle prend le nom de Libération et compte quinze aspirants : un effectif à l'échelle des unités combattantes de la France Libre d'alors ! C'est l'époque de la bataille de Bir-Hakeim ; Charles de Gaulle, souffrant, est remplacé par le général Paul Legentilhomme pour le baptême de la promotion.

L'Ecole se transforme après ce premier succès. Elle s'installe à Bewdley (Worcs), dans le cadre du prestigieux manoir de Ribbesford où elle sera chez elle. Elle a en effet besoin d'espace car, réputation aidant, elle se développe de mois en mois. Elle doit son excellence et son efficacité à un groupe de lieutenants-chefs de section où figurent Jacques Chambon (de la Plus Grande France), Jean Fèvre (de Libération), André Lehrmann (de Fezzan-Tunisie), Pierre Saindrenan (de la Charles de Foucauld), Robert Moulié, Louis Pichon (du Soldat Inconnu), Jean Sourieau (de la Plus Grande France) et Marius Taravel (de Libération)."

www.france-libre.net 

Laurent Laloup le jeudi 27 mars 2008 - Demander un contact

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" Plus loin, Notin écrit :
A Brymbach, [les jeunes] ont subi leur premier apprentissage de l'Armée, dans les tentes du parc, à crapahuter, à grimper, manœuvrer.(...)Le capitaine Lescure est toujours à leur tête. Deux sous-officiers l'assistent : Joseph le Guével et Jean Fèvre, à peine 20 ans. L'auteur nous apprend que ceux des jeunes gens qui passèrent leur bac ont ensuite été transférés de Brymbach à Rake Manor, dans le comté de Surrey, pour être instruits comme des candidats à Saint-Cyr.
Notin dit encore qu'au bout d'un certain temps, le capitaine Lescure fut en froid avec Carlton Gardens et qu'il fut remplacé par un capitaine Mondot, un officier dont Notin écrit qu'il était plutôt "morne". Ce remplacement énerva les jeunes gens qui manifestèrent leur colère par un autre chahut . Cette contestation poussa Passy à faire le déplacement pour leur remonter les bretelles ! C'est finalement André Beaudoin qui, sur ordre de Charles de Gaulle, reprit en main le centre et y intégra un solide instructeur britannique."

www.livresdeguerre.net 

Laurent Laloup le lundi 08 octobre 2007 - Demander un contact

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Jean Fevre

Laurent Laloup le mardi 24 avril 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 02 janvier 2010

 

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