Etienne Jean Marie Bouchard - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
Accueil
 
Presentation
Liste des Français Libres
Recherche même nom
Recherche déces même jour
Ajout d'un Français libre
Liste du SHD
Liste Chaline
Liste Ecochard
 
Contact
 
 

Un Français Libre parmi 62933
 

Etienne Jean Marie Bouchard



Naissance : 5 octobre 1921 - Valognes (50)

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / spahis

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sous-lieutenant

Décès à 89 ans - 5 mai 2011 - Lessay (50)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 76546

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 6991

Contribuez à son livre ouvert !

Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ...

Votre nom Votre e-mail il restera caché

Titre de la contribution

Texte de la contribution

Une image (gif ou jpg) sur votre ordinateur

Et pour prouver que vous n'êtes pas un robot : 8 plus 1 =  ?


Etienne Jean Marie Bouchard - son Livre ouvert !
 

Nom :BOUCHARD
Prénom :Etienne Jean Marie
Sexe :M
Jour de naissance :05
Mois de naissance :10
Année de naissance :1921
Code insee naissance :50615
Commune de naissance :Valognes
Pays de naissance :FRANCE
Jour de décès :05
Mois de décès :05
Année de décès :2011
Code insee deces :50267
Commune de décès :Lessay
Pays de décès :FRANCE

Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE 

Laurent Laloup le samedi 15 février 2020 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution


Etienne BOUCHARD
né le 5 octobre 1921 à Valognes, Manche
acte d’engagement dans les FFL signé à Delville Camp le 21 septembre 1940
2ème compagnie de Chasseurs le 1er juillet 1940
3ème compagnie de Chasseurs le 15 décembre 1940
Compagnie portée le 21 avril 1941
Escadron mixte 12 mai 1941
Soldat de 1ère classe le 8 juin 1941
T.O.E. le 29 août 1941
Levant 11 novembre 1941
R.M.S.M.

Aspirant à la fin de la guerre

epagliffl.canalblog.com 



Cliquez pour agrandir

Laurent le lundi 11 janvier 2016 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution


En juin 40, les frères Pillet se sont embarqués pour l'Angleterre

le 18 Juin 2014 

"Pas facile pour une mère de voir ses deux garçons partir pour une aventure qui peut se révéler meurtrière. La mère de Jean et Georges Pillet a dû verser des larmes en voyant ses deux enfants, de 19 et 20 ans, s'embarquer à Goury avec leurs deux amis, Jacques Lemarinel, 16 ans et Etienne Bouchard, 18 ans.

Quelques heures avant l'appel du général de Gaulle, le 18 juin, les quatre Valognais rejoignent les Forces françaises libres en Angleterre après un périple par les îles anglo-normandes. Jacques Lemarinel, trop jeune pour être incorporé, a dû attendre une année et finir ses études.

Dominique François, dans son livre Valognes, le Versailles normand pendant la Seconde Guerre mondiale, a décrit le périple des quatre amis. : « Arrivés à Weymouth, ils sont regroupés dans des camps avec d'autres Français et interrogés à plusieurs reprises par les services spéciaux sur les raisons de leur présence sur le territoire anglais et de leur engagement futur. »

Georges Pillet sera incorporé tout d'abord dans les chasseurs alpins, le 2 juillet 1940 et envoyé en Norvège [non !]. Quelques jours après, il défilera devant le général de Gaulle à Londres, le 14 juillet 1940. En 1941, il embarque pour l'Afrique sous le commandement du général Leclerc, puis rejoindra le Tchad sous les ordres du commandant Massu. Il ressortira indemne d'un mitraillage de l'aviation italienne. Une dysenterie amibienne le laissa pour mort, mais un rapatriement par l'avion de Leclerc, sur Brazzaville, lui sauvera la vie. Georges Pillet ne pourra pas participer au Débarquement malgré ses nombreuses demandes.

Il réintégra la vie valognaise ainsi que le commerce de chaussures de ses parents et s'engagea avec la même ferveur et combativité dans la vie associative. Décédé en 2008, le stade municipal porte son nom."

laurent le jeudi 10 décembre 2015 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution


"Vanités, ou les souvenirs de guerre d'un jeune Francais Libre" de Louis Tritschler

" Nous sommes déjà fin mai 1943, l'école de Cherchell a pris le relais d'Aix en Provence et forme des officiers, sans doute nos chefs de la France Libre veulent-ils rattraper le temps perdu. Pour nous il n'est pas encore question de profiter de cette école, tant mieux. Nous préférons rester dans le cadre des unités de la France Libre . Nous sommes une trentaine, la plupart des spahis viennent de la cinquième section de Brazzaville, mais beaucoup de nos camarades de la section sont laissés pour compte. Pourquoi? Quels critères ont été retenus pour le choix, je n'en sais rien. Parmi les délaissés, Ecochard, Barjou, Bouchard, Meurisse, etc... il y a de nombreux élèves de Corniche, ils ne comprennent pas et trouvent la chose injuste et plus encore vexante. Mais notre esprit français Libre interdit la revendication, nous ne nous sommes pas engagés pour faire carrière, mais pour aller au combat. Aussi, bien qu'elle soit arrière, la pillule est généralement avalée. Il n'en est que deux, qui n'appartenaient pas au bataillon de chasseurs d'Angleterre, pour déserter et chercher ailleurs meilleure fortune. Je sais seulement que Freddy, Yves et moi devons recommencer un cours déjà fait au Caire, pour nous seuls. "Faire et refaire", après tout, nous commençons à être habitués à courir après ce petit galon d'aspirant, tendu comme un appât mais retiré chaque fois que nous sommes près de l'atteindre."

Laurent Laloup le dimanche 26 octobre 2008 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution


Vanites, ou Les Souvenirs De Guerre D'un Jeune Francais Libre de Louis Tritschler

" Le lendemain, alors que je prends mon thé matinal, j'aperçois le briga­dier-chef Leglaive, un "vieux" de près d'une trentaine d'années, motocycliste en titre, qui râle après sa moto. L'étape d'hier l'a éprouvé et il en a "marre" de ses fonctions. Il faut dire qu'en cours de déplacement le rôle de motocycliste n'est pas toujours très drôle. Il est un vrai chien de berger, taillable et corvéable à merci. Rouler en tête de colonne ou en serre-file n'est pas très fatigant, même si la vitesse réduite n'inspire que lassitude et monotonie. Seulement il est rare de ne pas avoir à remonter la colonne pour transmettre un ordre, ou bien à la devancer, puis à revenir pour porter un pli, etc... . A l'arrivée les kilomètres parcourus sont doublés, et la route étant mauvaise, on est rompu. On aimerait alors, après avoir soigné "cocotte", se reposer un peu. Pas du tout. Il n'est pas un officier, ou même un gradé moins galonné, qui n'ait besoin de vous. Malgré leur nombre les motocyclistes de l'escadron ont peu de chance d'échapper à ces corvées.
En ce qui me concerne, je n'apprécie pas d'être brinquebalé comme un sac de pommes de terre dans un camion bâché, et ce, sur route défoncée. Ma charge de brigadier de peloton me fait un devoir de veiller à tout ce qui touche au service intérieur, elle ne m'impose rien en cours de mouvement. Aussi je bondis sur l'occasion et décide de remplacer Leglaive jusqu'à ce que nous soyons arrivés au terme du voyage. Il est naturellement très content de l'aubaine et il ne me reste plus qu'à avoir l'accord de Gayet, ce que j'obtiens facilement.
Je reçois du capitaine la mission de me placer, avec mon camarade Bouchard, lui aussi élève-aspirant, en tête de colonne pour en régler l'allure. La chaussée ne s'est pas améliorée depuis hier, mais nous ne roulons pas vite, une vingtaine de miles à l'heure, et j'ai tout loisir d'éviter les embûches. Je suis plus confortablement assis que dans le camion, et je vois la route devant moi. La lenteur et la régularité de la marche auraient même vite fait de m'ennuyer, si nous n'étions deux et ne pouvions bavarder. En tête pas de poussière et j'ai le sentiment d'avoir devant moi une journée plus agréable que celle d'hier."

Laurent Laloup le vendredi 17 octobre 2008 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution


"La campagne d'Afrique:

Fin août 1941, nous sommes partis de Liverpool, pour l’AEF où nous sommes arrivés début octobre (débarquement à Pointe Noire, port de l’AEF). Nous avons ensuite été acheminés en train jusqu’à Brazzaville.

A Brazzaville une partie de notre groupe est parti pour le Tchad où le Général Leclerc organisait son unité.

Moi, avec une vingtaine d’autres camarades , avons repris le bateau à Pointe Noire et avons débarqué à Cape Town (Le Cap) au sud de l'Afrique.

En train , nous avons traversé toute l’Afrique du sud jusqu’à Durban, port de l’est de l’Afrique. Puis nous avons été embarqués sur un cargo jusqu’à Suez. Ensuite, par train et camion, nous avons rejoint Beyrouth (Liban) où nous sommes arrivés la veille de Noël 1941.

Début janvier 1942, nous sommes partis pour Damas (Syrie). Nous avons été intégrés au 1er Régiment [de marche] de Spahis [marocains], régiment blindé de reconnaissance.

Fin mars 1942 , notre régiment a rejoint la Libye.

Nous avons participé à la Bataille d’El Alamein (défaite des forces allemandes et italiennes fin octobre 1942).

En mars 1943 , la 8ème armée britannique, dont nous faisions partie est arrivée à la frontière de Tunisie. Nous y avons retrouvé les camarades du Tchad qui ont pris aux italiens les villes du désert libyen : Koufra , Mourzouk , etc…"

L. Laloup le samedi 05 janvier 2008 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution


Etienne Bouchard

leferronay.etab.ac-caen.fr 

L. Laloup le samedi 05 janvier 2008 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution

Dernière mise à jour le samedi 15 février 2020

 

Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté





fiche.php PHPisé et MySQLisé par Jacques Ghémard le 28 1 2024  Hébergé par Nuxit  Temps entre début et fin du script : 0.73 s  8 requêtes