|  | | | | Un Français Libre parmi 63400 | | | Jean François Georges Loncle | |
Naissance : 5 juin 1921 - Saint-Brieuc (22)
Activité antérieure : étudiant / scolaire
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940
Affectation principale : BCRA /
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant
Décès à 69 ans - 12 novembre 1990 - Rennes (35)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 375796
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 32575 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Jean François Georges Loncle - son Livre ouvert ! "DELVILLE 1940 (souligné) / de gauche à droite / + RIOU Pierre (tué accident avion 1967) - LE FAOU Paul - GILBERT Jacques (grièvement blessé à la face en Italie) - LE MOAL - PHILIPPON Michel - GUERINET Jean - + PODEUR Jean (décédé à Brest) - MORIN / 1er Rang à genoux : g à d / LE MER - LONCLE Jean - + ARVOR Yves (décédé à Brest) - GOURIOU Olivier / à l'arrière-plan / PESTIAUX Robert - PIERES" (revers)"
www.parismuseescollections.paris.fr  
Laurent Laloup le mardi 04 mars 2025 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
|
Témoignage de Jean Ayral, Pal, Lieutenant Harrow "Avant de partir en Z.N., j’allais à St. Amand faire mon Lysander.
Le 26, à 11h, j’étais mis en contact avec mes 2 passagers par Rex : le Colonel de Linarès et un Capitaine de son régiment à 13h15.
J’ai entendu le message : « La panthère noire envoi une caresse au petit lapin blanc » et nous sommes partis dans une voiture de l’armée vers St. Amand.
Le voyage était long mais s’est passé sans incident car la couverture était bonne. A St Amand, le message n’est pas repassé le soir. Cependant j’ai décidé d’aller sur le terrain ne sachant pas que ceci signifiait l’annulation de l’opération...
Nous avons attendu vainement par un froid de canard. Le lendemain, la voiture a dû rentrer à Lyon mais Cantal, que j’avais envoyé à Montluçon, a réussi à trouver une autre voiture. Comme elle était en retard, j’ai décidé de partir à vélo moi et les 2 passagers, la voiture devant nous rejoindre sur le terrain. Cantal, ne sachant pas conduire, et Charles devant l’amener de Montluçon, je laissais des instructions pour que Charles reste à St. Amand et (pour) que Maurice conduise la voiture jusqu’au terrain qui était à 20 Km de St. Amand. En fait, la voiture nous rattrapa sur la route avec Charles au volant. J’étais furieux et j’ai fait une scène à Charles qui à vrai dire ne la méritait pas car il n’avait pas voulu laisser Maurice conduire car il n’avait guère de confiance dans les capacités de Maurice. Nous déposâmes les vélos dans un fossé, et on monta tous dans l’auto qui fut laissée au nord du terrain dans un bois, Charles, restant dedans pour la réchauffer de temps à autres. L’avion arriva et en descendirent Touton et Paimblanc accompagnés de 16 postes de radio. Les passagers embarquèrent et 1⁄4 d’heure après l’avion décollait. Je n’avais pas de gants, il faisait moins huit ; mes mains étaient gelées d’avoir été dans le vent de l’hélice. Je ne pouvais même plus les mettre dans mes poches. On a alors tout embarqué dans la voiture, et nous sommes rentrés nous coucher à St. Amand.
Le lendemain matin, Charles pris le volant et, après avoir déposé le matériel au café de la gare, nous sommes parti pour Montluçon. En arrivant en ville, nous avons renversé un passant. Charles et Cantal l’ont emmené à la pharmacie et je me suis esquivé avec les 2 passagers. Heureusement, tout s’est bien passé et j’ai conduit les 2 passagers à Lyon.
Le pilote m’avait demandé la permission de revenir le lendemain. J’avais accepté, mais je changeais d’avis, et j’envoyais un câble prévoyant l’opération pour le 29 seulement. A Lyon je voyais Kim à qui je confiais les 2 passagers, et Rex me désignait 2 nouveaux passagers, l’un le général Suffren, l’autre que je devais retrouver à St. Amand. Je repartais donc avec Suffren qui ne cessa tout au long du voyage de me parler du Maréchal, de son devoir, etc... ! J’étais écœuré de voir partir un tel individu. A Montluçon, le message ne passa pas et Suffren parti car il ne voulait pas attendre... ! Le brouillard s’installa et je ratais le train pour St. Amand. Je perdis aussi mon deuxième passager et je recrutais à la place Blum Picard qui avait une voiture et de l’essence qui pouvait nous servir. Le brouillard ne décolla pas et la lune finie. Je rentrais à Lyon, et de là j’allais à Paris …
Extrait des Carnets de Jean Ayral - Héroïsme - Xavier Reyes-Ayral - L'Harmattan - 2013
(note 1 Touton : il s'agit en réalité de Tonton, surnom que Kim (Paul Schmidt) donnait à Jean Loncle.
2 Charles (Baron) est la fausse identité de François Briant.
3 Cantal est Pierre Kaan
4 Kim / Paul Schmidt
On peut lire aussi dans Alias Caracalla - de Daniel Cordier :
le jeudi 31 décembre 1942 : "Paul Schmidt et sa femme m'ont invité avec Jean Loncle pour le réveillon de nouvel an…" (c'était à Lyon) Dominique SCHMIDT le vendredi 10 janvier 2014 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
Opération PIKE/CARP/RUFF. Bonjour,
Je travaille depuis un certain temps sur une tentative de liste des infiltrations et exfiltrations d'agents BCRA, Jedburghs, Sussex, SOE, OSS, etc. Or les états des poses et déposes par lysanders du squadron 161 de la RAF ne mentionnent que 2 passagers ont débarqué et 2 passagers ont embarqué dans la nuit du 25 au 26 novembre 1942 dans le Lysander piloté par le lieutenant James McCairns sur le terrain “Univers ” dans le cadre de l’opération PIKE/CARP/RUFF.
Il existe pour la même nuit un Lysander piloté par le F/L Fowler du squadron 161 de la RAF qui a embarqué 3 personnes dans le cadre de l'opération Apollo.
Quelqu'un peut-il, SVP, apporter quelques informations complémentaires sur ces 2 opérations?
Remerciements et cordialement,
Pierre Tillet Tillet le dimanche 30 août 2009 Recherche sur cette contribution | |
|
Alias Caracalla de Cordier Daniel " Samedi 7 décembre 1940 Déménagement
La réorganisation commence : nous pataugeons dans la boue gluante toute la journée. Heureusement, un seul jour suffît pour changer de hut, de camarades, de chef.
J'appartiens désormais à la 3e compagnie, celle des élèves aspirants, dirigée par le lieutenant Sthal. Différent du capitaine Lalande, il affiche une réserve permanente, qu'il tient sans doute de son ministère de pasteur dans le civil. Ma section, la 4e, est commandée par un officier de chasseurs ralliés de Norvège, le lieutenant Bureau.
Dans la hut qui nous est affectée, construite dans une partie moins éventée du camp, je suis entouré de quatre camarades de l'Olympia : Briant, Guéna, Léon et Podeur. Instinctivement, nous choisissons de rester groupés et nous installons dans des lits voisins de l'entrée.
D'autres camarades, Beaugé, Loaec, Boilley et Garage, venus de la compagnie Dupont, s'établissent au fond. Depuis six mois, nous manœuvrons ensemble et prenons nos repas à la cantine. Le soir, les chasseurs, particulièrement les Bretons, visitent leurs camarades d'une chambrée à l'autre.
Cette rupture inopinée me fait prendre conscience des liens invisibles mais tenaces que notre entraînement accéléré a créés entre les inconnus que nous étions il y a cinq mois. Des amitiés sont nées (Beaugé, Garage, Daruvar, Kœnigwerter, Loncle, Vourc'h...), mais l'esprit de la compagnie n'est plus tout à fait le même : nous nous retrouvons davantage « entre soi », jeunes gens d'un même milieu scolaire et social." laurent le samedi 15 août 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
ajout était passager sur le "LUCIEN GOUGY" Chalutier Dieppois au mouillage dans le port de l'Aberwrac'h.(départ le 19 Juin 40)lui et son frère ANDRE étaient en compagnie des 18 jeunes lannilisiens et de quelques autres (6 ?)
liste des lannilisiens sur le CV Pierre RICHARD louis henaff le lundi 27 octobre 2008 Recherche sur cette contribution | |
|
VANITES OU LES SOUVENIRS DE GUERRE D'UN JEUNE FRANCAIS LIBRE de TRITSCHLER LOUIS " Nos cadres chasseurs, sans nul doute, comptent nous conduire au feu le plus rapidement possible. Ils feront tout pour faire de nous une troupe d'élite, une troupe bien dressée; ils savent aussi qu'ils y parviendront mieux en exaltant notre volonté plutôt qu'en brisant notre enthousiasme. Seul le désir d'aller au combat, et donc la volonté de devenir de vrais combattants, nous feront jeter notre coeur dans les exigences de l'instruction, la fatigue des exercices, leur monotonie, les duretés de la discipline et les rigueurs de la vie de camp. Personne ne paraît songer à notre avenir; en particulier pas de celui des élèves des Grandes Ecoles. Pourtant n'en a-t-on pas fait, dès l'engagement, le recensement des candidats? que de Gaulle, le 19 juillet, venu passer en revue à Delville camp le bataillon de Chasseurs, se fait présenter; ce qui l'amène, après avoir entendu neuf fois répondre à sa question sur la corniche d'appartenance: "de la Corniche de Brest, mon général!" à s'exclamer: "Mais toute la Corniche de Brest est donc ici!"? Nous étions neuf: Kerjean, embarqué avec moi sur l'Abeille 4, Abalan, parti d'Argenton sur Le Conquet puis Ouessant, Podeur, Coutanceau, Loncle, Loaec, Le Roux, Chevallier et moi-même." Laurent Laloup le jeudi 16 octobre 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
|
www.deols-tourisme.fr 
" Commune de Bussy
Dans la nuit du 25 au 26 novembre 1942 un Lysander piloté par le lieutenant James McCairns se pose sur le terrain “Univers ” sous la responsabilité au sol du lieutenant Harrow dans le cadre de l’opération PIKE/CARP/RUFF à vingt-cinq kilomètres au sud de Bourges (Cher), à huit-cent-quatre-vingt mètres au nord du village de Chavannes (Cher), au lieu-dit “Champs aux Moines ”. Il dépose deux saboteurs dont J.F. G. Loncle et embarque trois personnes : le colonel François de Linares (adjoint du Général Girault), le lieutenant Vellaud et Mr. Blum-Picard le directeur général des Mines de Montluçon (03).
Dans la nuit du 17 au 18 décembre 1942 le terrain est à nouveau utilisé pour poser le Lysander du lieutenant Guy Lockhart, cette fois pour le compte du réseau Action R6. Descendent de l’avion deux agents : Louis Kerjean et Jean Simon, ainsi que dix-huit colis contenant de l’argent et des postes-émetteurs. Embarquent deux agents dont le commandant Marchal.
Dans la nuit du 14 au 15 juillet 1943 le terrain “Univers ” sur la commune de Chavannes (Cher) est à nouveau utilisé pour le compte du Réseau Action R6 “Durham ”. Le commandant Hugh Verity y pose son Lysander pour prendre un seul passager Albert van Wolput.
Dans la nuit du 3 au 4 mars 1944 deux Lysander respectivement pilotés par le capitaine Murray Anderson et le capitaine Leslie Whitaker dans le cadre de l’opération FANTOME, réalisée pour le réseau Pourpre se posent à vingt-cinq kilomètres au sud de Bourges, à huit cents mètres au nord nord-ouest du village de Chavannes, au lieu-dit “Champs aux moines ”. En fait cet emplacement n’est autre que l’ancien terrain “Univers ” qui est réactivé. Robert Wackherr (alias “Lecomte ” ), agent de liaison du CND a pris la direction du réseau Pourpre dans le Cher en février 1944.
Des deux Lysander descendent quatre agents dont Henri Gorce (alias “Franklin ”), F. Bistos (alias “Frank ”) et Commelor. Partent six agents : Jean Lacroix (gravement brûlé lors du crash de l’avion du lieutenant John Waltr McDonald, sur la commune de Bussy (Cher) dans la nuit du 10 au 11 février 1944), Achille Peretti, Bouchinet-Sereulles (délégué du Général de Gaulle), la femme du général Cochet, Parizot et Chancel.
Dans la nuit du 9 au 10 avril 1944 le Lysander du capitaine Murray Anderson se pose à nouveau sur le même terrain toujours pour le compte du réseau Pourpre. Il dépose trois agents et en prend trois dont Mlle Hartman et Louis Marin (membre du Conseil National de la Résistance). Un doublé était prévu, mais le deuxième appareil ne fut pas en état de décoller.
Dans la nuit du 5 au 6 août 1944, le commandant Len F. Ratcliff, réceptionné par Robert Wackherr pose son Lysander sur le terrain. Deux agents en descendent. Monte à bord un aviateur américain fugitif, abattu près de Bourges : R. Murphy." Laurent Laloup le mardi 02 septembre 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
|
assoc.orange.fr/memoiredeguerre
Jean Loncle
Résistant Déporté
(1921 – 1990)
Jean Loncle est né le 5 juin 1921, à Saint-Brieuc (22), d'un père représentant et d'une mère commerçante.
De 1927 à 1937, après avoir fréquenté l'école Saint-Louis à Brest (29), Jean entre au Lycée de cette même ville et en 1938, il fait une préparation à Saint-Cyr.
Refusant l'occupation nazie, le 19 juin 1940, lendemain de l'Appel du Général de Gaulle, il rejoint l'Angleterre sur un bateau de pêcheur de l'Aber-Wrach.
Quelques jours plus tard, le 1er juillet 1940, à Londres, il s'engage dans les F.F.L. (Forces Françaises Libres). Il est alors affecté à la 1ère Compagnie de Chasseurs de Camberley, un camp français au Sud-Ouest de Londres, il est muté au dépôt de l'Infanterie de l'Air, puis est affecté à l'État-major du Général de Gaulle.
Jean Loncle suit ensuite des stages d'entraînements en Écosse puis à Inchmerry dans l'Hampshire, au Sud de la Grande-Bretagne.
Volontaire pour accomplir des missions en France, Jean Loncle sous le nom de "Nestor" et son camarade Painblanc, répondant au nom de "Bric W", sont posés sur le territoire Français par l'opération Lysander, dans la région de Saint-Amand-Montrond (18), au titre des F.F.C. (Forces Françaises Combattantes), Réseau Transmission (Mission Pike). Ils amènent avec eux 32 valises contenant 30 postes et du matériel de propagande (journaux, tracts, etc.).
La B.C.R.A. (Bureau Central de Renseignements et d'Action), les Service Secret de la France Libre, envoie un radio spécialement qui doit être affecté à un certain "Rex" (Jean Moulin). La réception est assurée par une équipe dirigée par "Pal" (Jean Ayral) et par son radio "Pal W" (François Briant)
Jean Loncle et Jean Ayral se connaissent déjà pour avoir effectué des stages ensemble en Écosse et à Inchmerry.
A Lyon, "Nestor" (J. Loncle) est logé chez un médecin avec un autre camarade d'entraînement qui lui fait rencontrer son chef "Rex". Il est impressionné par la simplicité et par l'autorité de "Rex" dont il ne connaîtra le vrai nom qu'après la guerre. L'entretien dure une heure, ce qui bouleverse "Nestor" c'est qu'il est accepté d'emblée par "Rex", le représentant personnel du Général de Gaulle, comme chef de mission pour organiser un des réseaux de transmission les plus importants entre la France Libre et la France résistante. "Rex" lui explique l'importance et la gravité de la situation.
Le 20 janvier 1943, "Nestor", "Léo W" (Jean Holley) et un jeune radio (Marcel Lenclos) qu'ils doivent former, vont soumettre au B.C.R.A. (Bureau Central de Renseignement et d'Action) un nouveau système d'émission Blind mis au point par "Nestor". Leur mission terminée, les trois hommes regagnent la gare d'Annecy, mais n'ont pas remarqué que le train est cerné par la Police Italienne (OVRA (1)), la Gestapo, la Police Française de Vichy et la Gendarmerie, toute fuite en avant rendue impossible. Avant d'être arrêté, Jean Loncle a le temps de cacher des papiers compromettants sous la banquette et le dossier de son siège (2). Ramenés à Lyon, ils sont interrogés dans les locaux de la Gestapo.
A bout de forces, Jean Loncle crée la diversion afin de permettre de donner l'alerte en temps suffisant, il donne des renseignements qui ne portent pas à conséquence. Abandonné par la Gestapo, il est repris en main par l'OVRA qui recommence les interrogatoires. Il est envoyé en Italie pour y être interné (Turin puis Parme), avant d'être déporté en Allemagne, au camp de concentration de Mauthausen (Autriche). Kommando de Cross-Raming puis Loibl-Pass (dans le Massif alpin des Karawanken) où il travaille à la construction d'un tunnel routier reliant l'Autriche à la Yougoslavie (3).
Le camp est libéré le 8 mai 1945, par les partisans Yougoslaves du Maréchal Tito. Le 21 juin 1945, Jean Loncle est rapatrié et le 27 octobre il est démobilisé à Paris. Il est homologué Lieutenant F.F.L..
Le 26 Mars 1946, il épouse Annick Philippo, ils auront 3 enfants et 5 petits-enfants. Au retour, il devient secrétaire commercial aux établissements Chopin puis représentant aux établissements Philippo-cycles. En 1958, il est Directeur de Région pour une entreprise d'extincteurs. Jean Loncle décède, à Rennes, le 12 Novembre 1990.
Décorations :
Médaille de la Déportation
Rosette de la Résistance
Médaille de la France Libre
Croix de combattant volontaire de la Résistance
Croix du combattant volontaire – guerre 39-45
Décoration Yougoslave (décerné à Paris par l'Ambassadeur de Yougoslavie) 
Laurent Laloup le samedi 08 septembre 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
" Une tentative d'évasion pour faire sortir Gérard Brault de prison échoue, manquée parce qu'elle coincide avec un coup monté par l'Intelligence Service qui fait évader une dizaine des siens. On apprend que Jean Loncle et Jean Holley, arrêtés en janvier, sont à Chambéry, aux mains de l'OVRA, l'équivalent italien de la gestapo."
Laurent Laloup le dimanche 12 août 2007 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
|
" Le grand nombre de postes permet à l'opérateur de faire le tour d'un circuit d'une demi-douzaine de points d'émission les mains et les poches vides. Les auxiliaires - courriers, protection - aussi sont un peu plus nombreux. En novembre l942 arrive de Londres encore un ancien de Thame Park, Georges Denviollet - FRIT W - pour être le radio de Monjarret. En décembre, autre arrivage de Thame Park: Jean Loncle venu pour soulager Daniel Cordier de la direction de la WT et en organiser le développement. Hélas! il est arrêté dans le mois qui suit son arrivée."
Laurent Laloup le dimanche 12 août 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
notice biographique : extrait de : ANNUAIRE-MEMORIAL DES ANCIENS FRANÇAIS LIBRES
DE RENNES ET ENVIRONS 2° ÉDITION - MARS 1998 
LONCLE Jean
né le 5 juin 1921 à Saint-Brieuc (Côtes d'Armor) - Décédé à Rennes le 12 novembre 1990 - F.F.L. à Londres à/c 1° Juillet 1940 - Affecté à la 1° Compagnie de Chasseurs à Camberley - Muté au dépôt de l'Infanterie de l'Air, puis à l' Etat-Major particulier du Général de Gaulle , section "P". - Volontaire pour accomplir une mission en France,, est posé par opération "Lysander en Métropole le 25 août 1942 au titre des F.F.C. (Réseau Transmission-Action (Mission PIKE) - Arrêté le 20 janvier 1943, à Annecy - interné en Italie (Turin, puis Parme) - Déporté en Allemagne :camp de concentration de Mauthausen (Kommandos.de Gross-Raming puis de Loibl-Pass) - Libéré le 8 mai 1945, par les partisans Yougoslaves du Maréchal Tito, dans le massif alpin des Karawanken - Rapatrié le 21 juin 1945 - Démobilisé à Paris le 27 octobre 1945. Laurent Laloup le lundi 27 novembre 2006 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
Dernière mise à jour le mardi 04 mars 2025 Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté  |
| |
fiche.php PHPisé et MySQLisé par Jacques Ghémard le 16 4 2025 Hébergé par Nuxit Temps entre début et fin du script : 0.92 s  8 requêtes 
|
|