Marie Eugenie Aimée Egreteau épouse Touret - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Marie Eugenie Aimée Egreteau épouse Touret



Naissance : 10 janvier 1891 - Antoigné (49)

Activité antérieure : agriculteur

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en mars 1941

Affectation principale : Résistance intérieure / CND Castille

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2

Décès à 90 ans - 17 décembre 1981 - Thouars (79)

Epouse de Maurice Touret 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 575138

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 50156


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Marie Eugenie Aimée Egreteau épouse Touret - son Livre ouvert !
 

Nom :EGRETEAU
Prénom :Marie Eugenie Aimee
Sexe :F
Jour de naissance :10
Mois de naissance :01
Année de naissance :1891
Code insee naissance :49009
Commune de naissance :Antoigné
Pays de naissance :FRANCE
Jour de décès :17
Mois de décès :12
Année de décès :1981
Code insee deces :79329
Commune de décès :Thouars
Pays de décès :FRANCE

Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE

Laurent Laloup le vendredi 12 juin 2020 - Demander un contact

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"... Il y a 79 ans, la reddition pour les uns, le début d’un nouveau combat pour les autres. Et, au milieu de cette scission entre Français, un petit village de moins de 300 âmes, au sein duquel deux familles choisiront la Résistance. « Alors même que le régime de Vichy prônait un retour à la terre, qui pouvait plaire aux agriculteurs, certains d’entre eux avaient les idéaux républicains chevillés au corps », explique Marie-Fanélie Jourdan, médiatrice au Centre régional Résistances et Libertés (CRRL).
Mais au-delà des idéaux politiques, ce qui a fait le succès de la commune auprès des instances de la France libre, c’est sa localisation et sa topographie. « Tourtenay est suffisamment éloigné de Thouars pour que les avions ne se fassent pas repérer, avec un bourg sur le promontoire, et des vastes terrains plats dans la plaine », justifie la guide.
Deux familles diverses destinées
C’est d’abord le terrain près de la ferme du moulin, tout près de la frontière avec la Vienne, qui est repéré par la Confrérie Notre-Dame, et validé par Londres, en 1941. « Il est suffisamment plat, assez long, et surtout à l’abri des regards, en contrebas de la ville et caché par des haies », poursuit Marie-Fanélie Jourdan. La famille Touret, propriétaire, s’investit directement, en réquisitionnant quatre membres pour récupérer les 16 postes émetteurs et le technicien radio livrés lors de quatre parachutages, et en stockant ensuite le matériel.
Les opérations n’ont pas été renouvelées au-delà de novembre 1941, les Nazis ayant démantelé le réseau, fusillant les uns, condamnant les autres aux camps de concentration.
Le second site, dit de « La Petite Champagne », se trouve de l’autre côté, à l’ouest de la commune, et a été l’objet de deux largages de containers remplis d’armes à deux jours d’intervalle. « Cette fois, c’est la famille Pichot, qui n’avait jamais été mise au courant des parachutages de 1941, qui a participé. Mais cette fois, il y avait une difficulté supplémentaire, puisqu’il fallait ramener les lourds containers à l’aide des bœufs (1,5 t au premier largage, 2 t au deuxième) dans leur ferme, dans le bourg », développe l’animatrice du CRRL.
De quoi faire naître des suspicions, qui déboucheront sur des dénonciations, débouchant sur des arrestations et des déportations. Sur les six envoyés dans les camps, deux ne rentreront jamais. Gérard Pichot et son père, Léonce, sont tous deux revenus. ..."

Laurent Laloup le mercredi 19 juin 2019 - Demander un contact

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Si je meurs, venge-moi : mémoires d'un agent de la Résistance
De Daniel Bouchet

Laurent Laloup le lundi 17 décembre 2018 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le vendredi 12 juin 2020

 

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