Quand la mémoire fout le camp... Pardonnez-moi, monsieur Robinard, ce "trou" dans ma mémoire, involontaire, croyez-moi. Je n'ai pas oublié toutes nos rencontres et les cérémonies diverses auxquelles nous avons assistées pendant mes années passées à Caen et votre courrier m'en rappelle certaines dont cette réception de Johnnie Johnson.
Bien cordialement à vous.
PS : ce n'est pas important mais je n'étais pas à l'établissement pharmaceutique de Mondeville mais à la Chefferie santé de la division au quartier Lorge. MORIEULT Yves le mercredi 09 mars 2016 Contribution au livre ouvert de Denys Emile Louis Boudard |