|  | | | | Un Français Libre parmi 63542 | | | Denys Emile Louis Boudard | |
Naissance : 5 novembre 1919 - Flers (61)
Activité antérieure : militaire
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en mai 1941
Affectation principale : FAFL /
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sous-lieutenant
Décès à 85 ans - 9 octobre 2005 - Caen (14)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 77591
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 7081 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Denys Emile Louis Boudard - son Livre ouvert ! Nom : BOUDARD
Prénom : Denys Emile Louis
Sexe : M
Jour de naissance : 05
Mois de naissance : 11
Année de naissance : 1919
Code insee naissance : 61169
Commune de naissance : Flers
Pays de naissance : FRANCE
Jour de décès : 09
Mois de décès : 10
Année de décès : 2005
Code insee deces : 14118
Commune de décès : Caen
Pays de décès : FRANCE
Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE Laurent Laloup le jeudi 04 novembre 2021 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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RE - PRECISIONS En effet, Monsieur BOUDARD ne possédait ni avion ni hangar à FALAISE. Cependant il y a bien pratiqué l'instruction en 1971 ainsi qu'à l'Aéro-Club de CAEN (où j'étais membre) de 1972 jusqu'à la création de son Club des AILES CAENNAISES en 1978. J'ai d'ailleurs eu l'honneur d'être son Vice-Président de 1978 à 1983 (date à laquelle je suis parti à Bamako pour dix ans). J'ai donc eu la chance d'effectuer, avec lui, de très nombreux vols sur les appareils de l'Aéro-Club de CAEN ainsi, bien entendu, que sur les 3 appareils des AILES CAENNAISES.
Je serais heureux de pouvoir échanger nos souvenirs en détail si vous le souhaitez. Je vous donne mon numéro de portable : 06 10 25 65 77. Bien amicalement. Pierre HERVE le mardi 02 juillet 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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réponse Le sens de votre témoignage pouvait laisser penser qu'il possédait un hangar et un Piper Cub à Falaise. Je m'aperçois que j'ai mal compris. Il a peut-être été instructeur à Falaise mais en aucun cas propriétaire du J3 et d'un hangar. Je ne pense pas qu'il ait été à l'Aéro-club de Caen en 1972 mais plutôt aux Ailes du Calvados mais là je peux me tromper. Pris par mes obligations universitaires et professionnelles et la naissance de mon fils, j'avais cessé de piloter de 1966 à 1975. Il a effectivement été propriétaire des avions que vous citez mais au sein des "Ailes Caennaises", club qu'il a créé. Il ne m'a jamais dit qu'il avait été instructeur à Falaise. Il faut croire que si. Dont acte. ROBINARD le lundi 01 juillet 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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PRECISION Pour l'information de Monsieur ROBINARD, je précise bien avoir fait la connaissance de Monsieur BOUDARD alors qu'il était instructeur à FALAISE. En effet, du 12 septembre 1971 au 18 décembre 1971, j'ai effectué, personnellement avec lui, 11 vols d'entraînement sur le PIPER CUB F-PFQA de l'Aéro-Club de FALAISE. Le Président était Monsieur LEBALLEUR (propriétaire d'un Jodel Ambassadeur). Pour des motifs que j'ignore, Monsieur BOUDARD a quitté FALAISE et je l'ai retrouvé en 1972 à l'Aéro-Club de CAEN où j'ai poursuivi mon instruction avec lui. Pierre HERVE le lundi 01 juillet 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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rectificatifs en tous genres Je viens de relire tous les témoignages concernant mon camarade de club Denys Boudard. De multiples erreurs dues sans doute au temps qui passe y figurent. je me permets de signaler les plus flagrantes . La qualité d'ex président de l'Aéro-club de Caen qui a absorbé en 1986 le club "les Ailes Caennaises", basé à Carpiquet, Zone Ouest dont il était le créateur, propriétaire et instructeur, le nouveau club devenant alors l'Aéro-club de Caen Jean Hébert à sa demande (c'est maintenant "l'Aéro-club régional de Caen" me le permet. La condition de cette fusion étant que nous lui achetions son Cessna 150 F-BXQO sur lequel j'ai volé de nombreuses heures.
Il n' a jamais été, à ma connaissance, instructeur à Falaise et n'y a jamais possédé de hangar. Il n'aurait pas manqué de nous le dire.
Mais l'erreur la plus flagrante consiste à dire qu'il avait chargé d'annoncer la Nouvelle de la Mort de son copain Jean Hébert à sa VEUVE !!! C'est impossible car Jean Hébert était bien célibataire et avait même une fiancée britannique. C'est d'ailleurs, indirectement cette liaison qui provoqua la perte de Jean Hébert, car c'est en allant, lors d'un vol d'entraînement avant de rejoindre le "Lorraine", se livrer à une séance de voltige au-dessus de sa maison, sans doute pour l'éblouir, que deux spitfires voyant cet avion 'un Miles Master" piquant et remontant en chandelle, qu'ils crurent que la maison faisait l'objet d'un mitraillage. Il se trouve que ces deux spitfires étaient sous les ordres de Johnnie Johnson et c'est ce tragique épisode que Denys et Johnnie se racontent, 50 ans après, sur la photo que j'ai mis en illustration de mon témoignage sur une page précédente. robinard le mardi 25 juin 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Quand la mémoire fout le camp... Pardonnez-moi, monsieur Robinard, ce "trou" dans ma mémoire, involontaire, croyez-moi. Je n'ai pas oublié toutes nos rencontres et les cérémonies diverses auxquelles nous avons assistées pendant mes années passées à Caen et votre courrier m'en rappelle certaines dont cette réception de Johnnie Johnson.
Bien cordialement à vous.
PS : ce n'est pas important mais je n'étais pas à l'établissement pharmaceutique de Mondeville mais à la Chefferie santé de la division au quartier Lorge. MORIEULT Yves le mercredi 09 mars 2016 Recherche sur cette contribution | |
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Denys Boudard et Johnnie Johnson je voudrais réagir et compléter le témoignage d'Yves Morieult du 8 mars 2016.
Contrairement à lui, je me souviens fort bien de M. Morieult, surtout quand je lui ai prêté, contrairement à mon habitude et sur son insistance mes livres "fighter squadrons" et "bomber squadrons", pour moi précieux, afin qu'il puisse entreprendre des recherches sur les tombes des pilotes de la RAF inhumés en Normandie. IL me les a d'ailleurs renvoyés avec les fiches, fruits de son travail, ce dont je le remercie encore. Yves Morieult était alors en garnison à l'établissement pharmaceutique des Armées sis à Mondeville et aujourd'hui dissous.
La photo que je joins à ses souvenirs en est l'illustration. C'est une photo de la courte cérémonie que j'avais organisée au bar de l'aéro-club dont j'étais alors le président. Profitant d'un voyage de Johnnie Johnson en France pour recevoir la Légion d'Honneur et de son passage à cette occasion dans le village de Ste Croix Sur Mer (B3) où il avait conservé quelques attaches et avec son maire (une dame) en particulier, j'ai été le solliciter en compagnie de Denys. Après une réception à la mairie de Caen où il accepta d'être le parrain et invité d'honneur du meeting du cinquantenaire en 94, il fut reçu au club house de l'Aéroclub autour d'un pot, pour une cérémonie commémorative simple mais émouvante en compagnie d'un de ses anciens squadron-leaders Larry Robillard (sur la photo) et Denys. C'est à cette occasion que Johnnie confirma que ce sont deux pilotes de son squadron qui avaient abattu, en 1943, par erreur Jean Hébert, son camarade d'évasion, qui, tout à sa joie de sortir d'OTU pour être versé au Groupe Lorraine, se livrait à une séance de voltige au dessus d'une plage dont le survol était interdit. Cet épisode dramatique a été traduit par notre interprète, Tony, citoyen britannique résident en France, également sur la photo. Le pot qui s'ensuivit fut servi sur une table où nous avions posé un aileron de spitfire prêté par certainement l'ami le plus cher qu'avait Denys à cette époque - Dominique Gaillardon - héritier de son gilet de sauvetage de l'époque sur lequel était dessinée une croix de Lorraine. Cette photo a pour moi tellement de valeur que je l'ai fait figurer sur le livre que j'ai écrit aux éditions Heimdal qui a pour titre "50 aérodromes pour une victoire".
Pour finir je rappelle que je suis le pilote qui ai emmené ces deux héros au-dessus des plages et des sites caractéristiques du Débarquement. Et je porte à votre connaissance que c'est en fait Johnnie Johnson qui a piloté le Piper Archer de l'Aéro-club.
Sur la photo de gauche à droite : Larry Robillard, Johnnie Johnson, Denys Boudard, Tony et moi-même.
J'ajoute, pour être complet dans mon témoignage et pour préciser la personnalité de Denys que je connaissais fort bien car c'est sous ma mandature qu'il accepta la fusion de son club avec celui de Caen pour lui éviter des ennuis avec le fisc qui pourchassait alors les aéro-clubs pour leur activité "baptêmes de l'Air" assimilables selon lui à une activité de voyage aérien imposable. Le redressement que nous avons eu à subir était plus facilement "digérable" en une seule entité, que, s'il était au premier abord un personnage souriant et sympathique, il ne l'était pas avec tous et gare à celui qui ne partageait pas ses opinions. Un jour, en prenant l'apéritif chez lui, alors que je m'étonnais qu'il s'emportait violemment contre l'avis d'un pourtant très bon copain à lui - bien connu dans le monde de l'édition - son épouse intervint en me disant : "Denys a toujours été comme ça, il lui faut toujours un adversaire ou un ennemi pour se révéler lui-même". Il ne lâchait rien diraient les sportifs d'aujourd'hui. Demandez aux autorités aéroportuaires de la CCI de l'époque et vous comprendrez.
François ROBINARD 
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Robinard François le mercredi 09 mars 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Photo de Denys BOUDARD Une photographie de Denys BOUDARD et de votre serviteur, prise à Caen le 27 août 1993 à son domicile.
J'ai été en garnison à Caen et y ai habité de 88 à l'été 92. Je rencontrai souvent le « commandant » (C’est ainsi que je l’appelais) parfois au bar de l'aéro-club, toujours égal à lui-même, ouvert à tous comme savaient l'être les anciens.
Je me souviens de la visite, en 88, à l'aéro-club de l'Air-vice Marschall "Johnnie" Johnson, le grand as britannique alors qu'il venait de recevoir la Légion d'honneur (la cravate de Commandeur je crois me rappeler). A l’issue d’une courte cérémonie dans les locaux du club, il avait été emmené dans un avion du club, aux mains d'un pilote dont j'ai oublié le nom, survoler les plages de Normandie et Denys BOUDARD, bien entendu était à bord...
Reposez en paix monsieur BOUDARD, vous avez bien servi votre patrie, tant pendant la guerre contre l'Allemagne qu'en Indochine et après, en formant de nombreux pilotes… 
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MORIEULT Yves le mardi 08 mars 2016 Recherche sur cette contribution | |
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recherches sur mon père j'aimerais retrouver certaines videos sur mon père , son engagement et son aventure . Plus aucune de ces vidéos n'est visible sur le net.
Merci,
Annabel Boudard boudard annabel le vendredi 04 décembre 2015 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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J'ai bien connu Monsieur BOUDARD Ma première rencontre avec Monsieur BOUDARD a eu lieu le 12 septembre 1971 lors de mon premier vol avec lui sur le terrain de FALAISE-MONTS D'ERAINES où il était instructeur.
Nous pilotions le magnifique PIPER-CUB J3 F-PFQA détruit par incendie de son hangar en 2014.
Plus tard, je l'ai suivi à CAEN-CARPIQUET et suis devenu son vice-président au sein de l'Aéro-Club des Ailes Caennaises de février 1978 à 1983 (en raison de mon expatriation en Afrique).
Nous volions sur son Rallye F-BPDT puis très vite sur le GARDAN GY80 F-BLPA (détruit en 2003) et enfin sur le CESSNA 150M F-BXQO.
J'ai donc eu l'honneur de connaître Monsieur BOUDARD et de bénéficier de l'enseignement hors pair d'un tel pilote.
Je serais heureux d'en parler avec vous.
On peut me joindre au 02 31 63 82 64 ou au 06 10 25 65 77. 
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HERVE Pierre le mercredi 25 février 2015 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Merçi Monsieur! "Du pied à gauche François, du pied à gauche!" Ces mots résonnent encore... Le "père" Boudard a illuminé mes vingt ans en me faisant découvrir St Exupéry, Guillaumet, Mermoz, l'Oiseau Blanc, l'épopée du mur du son... ... et ce jour inoubliable du "lâcher" suivi du pot traditionnel qui venait conclure chaque escapade dans le vieux bar de l'ouest au plancher en bois.
Monsieur Boudard avait alors une soixantaine d'années et s'intéressait à chacun de nous comme un père le ferait. Simple, modeste et souvent pudique, lorsqu'il acceptait enfin de nous lâcher une bride de sa vie de pilote, c'était comme un trésor caché qui se révélait à quelques privilégiés.
Le Rallye, le fameux Gardan "dont l’empattement était le même que celui du Spit", "Carpiquet Airport", son fume cigarettes et surtout "funérailles", son expression préférée, que de souvenirs merveilleux...
Merci Monsieur pour ce que vous avez fait pour la France, merci Monsieur pour ce que vous avez fait pour nous, vos nombreux élèves, merci Monsieur pour ce magnifique voyage dans les airs que vous m'avez offert.
François PICOT François PICOT le mercredi 22 janvier 2014 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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