Georges Royer - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Georges Royer



Naissance : 25 juillet 1920 - Saint-Brieuc (22)

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : FAFL / parachutistes

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sergent

Décès à 22 ans - 17 aout 1942 - à bord du Nino Bixio

Mort pour la France

Frère de Jean Charles Royer  et de Michel Royer 
Cousin de Claude Le Henaff 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 526573

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 45540


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Georges Royer - son Livre ouvert !
 

Il est l'un des 123 FAFL disparus sans sépulture dont le nom figure désormais sur la stèle commémorative du Tréport inaugurée en juin 2022.

Sa notice biographique et les circonstances de sa disparition ainsi que l’historique du projet de la Stèle, mené par l’Association pour la mémoire des FAFL, sont consultables sur le site de la Fondation de la France libre à l’adresse suivante : 

Des photos de la stèle sont consultables sur le site « Aérostèles » : 



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Fred Bentley le samedi 30 juillet 2022 - Demander un contact

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Pour une histoire de la France libre
De Patrick Harismendy



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Laurent Laloup le vendredi 31 janvier 2020 - Demander un contact

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Compléments

Le 2ème classe Georges ROYER est enregistré à la Cie de l'Air au Moyen-Orient comme breveté parachutiste depuis le 23 février 1941. Il avait déjà un matricule FFL n°52117/P

bertrand H le dimanche 04 mars 2018 - Demander un contact

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Cadets de la France libre, l'École militaire / André Casalis

Royer Michel, ses frères Georges et Jean-Charles, leur cousin germain Claude Le Hénaff.

Laurent le dimanche 17 janvier 2010 - Demander un contact

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" Une famille résistante

Ses deux fils, Georges ancien lycéen à Le Braz, et son frère Jean-Charles ancien élève de Saint-Charles ont entre-temps quitté les Côtes du Nord dès le début de l’occupation. Ils montent à bord de la goélette La Manou à Paimpol le 19 Juin 1940 avec 80 jeunes de l’école d’hydrographie afin de rejoindre l’Angleterre. Ce navire avait déjà quelques jours auparavant participé à l’évacuation de troupes alliées à Dunkerque. Enrôlés dans les Forces Françaises Libres, ils font partie des troupes franco-anglaises qui libèrent la Syrie en 1941. Ensuite ils se retrouvent en Juin 1942 dans des commandos en Libye. Lors d’une opération de diversion dans le cadre de la bataille de Bir-Hakeim ils attaquent un aéroport et détruisent plusieurs avions italiens. Mais ils sont faits prisonniers par les italiens et emmenés sur un bateau, le Nino Rixo qui est torpillé par un sous-marin allié au cours de la traversée vers la Grèce. Le bateau ne portait pas de marque distinctive des transports de prisonniers. Croyant que le bateau allait couler ils se jettent à la mer et se noient. Georges avait 22 ans et son frère Jean-Charles 20 ans. ( ) "

www.wikiarmor.net 

Laurent le jeudi 26 novembre 2009 - Demander un contact

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Gérard LE POITTEVIN sur www.livresdeguerre.net 

" Noms des prisonniers du « Nino Bixio » mort noyé au large de Pylos (Grèce) le 17 Août 1942
La liste n’est pas complète.

-- BERRY Paul Quartier Maître Fusilier 1er B.F.M.
-- CANARD Marcel Second Maître Fusilier 1er B.F.M.
-- CHAUMEIL Louis Quartier Maître Radio 1er B.F.M.
-- COSTA Jean Quartier Maître Fusilier 1er B.F.M.
-- DERREZ Robert Quartier Maître Radio 1er B.F.M.
-- DIDOU Armand Quartier Maître Mécanicien 1er B.F.M.
-- HARTMANN René Matelot Fusilier 1er B.F.M.
-- LASBORDES Charles Matelot Sans Spécialité 1er B.F.M.
-- MALESIEUX Pierre Second Maître Mécanicien 1er B.F.M.
-- VALIN Jules Matelot Fusilier 1er B.F.M.
-- SUSSONI Sergent Chef B.M.2
-- FAAURU Taputaata 2ème Classe 1er B.P.
-- MANEA Noho 2ème Classe 1er B.P.
-- MARUHI Henri 2ème Classe 1er B.P.
-- PUNU Taua 2ème Classe 1er B.P.
-- TAUPUA Taihoropua 2ème Classe 1er B.P.
-- TENATAFAARERE Tepua 2ème Classe 1er B.P.
-- TERIITEHAU Marama 2ème Classe 1er B.P.
-- TEUIRA Zelubapela 2ème Classe 1er B.P.
-- TIAORE Tinomana 2ème Classe 1er B.P.
-- TIRAO Marcel 2ème Classe 1er B.P.
-- TUUHIA Marcelin 2ème Classe 1er B.P.
-- VAN BASTOTAER Tevihitua 2ème Classe 1er B.P.
-- JERRIG Jean dit BORNARD Maréchal des Logis Chef 1er R.A.
-- PAULET Edouard Maréchal des Logis 1er R.A.
-- SILVA Roland Brigadier 1er R.A.
-- PIERCOURT Caporal 1er C.S.M. (Génie)
-- SAINT JAMES 2ème Classe 1er C.S.M. (Génie)
-- LE DUFF Jean 2ème Classe Train
-- LE GOIC Henri 2ème Classe Train
-- LE POITTEVIN Roger Sergent 1ère Cie Transmission
-- GILLET Aimé Sergent Parachutiste S.A.S.
-- TOURNERET Jean Caporal Parachutiste S.A.S.
-- ROYER Jean Parachutiste S.A.S.
-- ROYER Georges (frère du précédent) Parachutiste S.A.S.
-- LOGEAIS Emile Parachutiste S.A.S.
-- JAMES Henri Parachutiste S.A.S.
-- JOUANNY Isidore Parachutiste S.A.S.
-- BLINDER Czeslaw 13 DBLE 2°bataillon Cie lourde N°2

Une liste plus complète 

Laurent le jeudi 08 octobre 2009 - Demander un contact

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commando-air-forum.forum2discussion.com 

Correction de la légende par David Portier en avril 2020

DEBOUT : Gilbert Contentin – Louis Guégan – Louis Le Goff – René Audibert – Hilaire Gaultier – Jean Ledan – Georges Royer – Jacques Le Roy – Jean Ducourneau – Georges Bergé – Emile Logeais – Philippe Fauquet – Lucien Geiger – Roger Blanc – René Martin – Aimé Gillet – Marcel Drezen – Lajos Klément – Jean Bouard

MILIEU : Jean Le Gall – Pierre Leostic – Jacques Mouhot – Jean Tourneret – Pierre de Bourmont – Antoine Belle – Jean Le Goas – Emile Poizat alias Jacquier – Daniel Girard alias Marie-Victor – Jacques Linale – Pierre Provot – Jean Bothorel – Gaston Klinckemaille – Robert Guichaoua – René Hulin – Henri James

ASSIS : Roger Boutinot (caché) – Michel Vidal – Isidore Jouanny – Florent Gretry – Claude de Blignières – Lucien Mariage – Pierre Niot – Raoul Carion – Pierre Plantiveau – Georges Le Meur – Pierre Lagèze – Marcel Rodier – Joseph Prados – Marcel Balère – Jean-Charles Royer – René Dejan – Victor Iturria.



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laurent le jeudi 10 septembre 2009 - Demander un contact

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Troupes d'élites N°45
Le "French Squadron" des SAS :

" Son objectif, c'est Berka III, un des aéro­dromes de Benghazi, à 1 500 km au nord-ouest. Ses hommes, le sergent-chef Bouard, les caporaux-chefs Fauquet et Iturria, le caporal Le Gall et lui-même seront amenés à pied d'oeuvre par un détachement du LRDG.
Le 11 juin, les « rats du désert » les abandonnent à 40 km de Benghazi, en plein bled.
— Rendez-vous au 18 juin, bonne chasse, bonne chance !
Ils marchent la nuit, se camouflent le jour. Au milieu de la deuxième nuit, celle du 12 au 13 juin, ils parviennent à proximité de l'aérodrome pendant une attaque de la RAF. L'alerte leur facilite l'intru­sion dans le dispositif ennemi.
Sans coup férir, Fauquet piège trois avions ; au quatrième, les guetteurs réagissent et le blessent légèrement. Ce sont des Italiens, ils restent prudents. Bouard continue le sabotage sur deux autres appa­reils pendant que les autres maintiennent l'adversaire à distance; Iturria, à coup de grenades; l'aspirant et Le Gall, avec leurs PM. Les défenseurs se renfor­cent et leur agressivité contraint les parachutistes au repli. Bouard est blessé, mais ils réussissent à dis­paraître dans la nuit.
Au jour, ils sont recueillis par des nomades qui soignent le blessé, les cachent et les mettent en contact avec le capitaine britannique Mayne, qui revient lui aussi d'opération.
A l'aube du quatrième jour, ils atteignent ensem­ble le point de rencontre avec le LRDG, qui les ramène à Siwa où le sous-lieutenant Jacquier, un autre chef d'équipe, les a déjà précédés. Avec ses trois hommes, Martin, Lagéze et Boutinot, il n'a pu atteindre les avions de Barce. Ils se sont contentés de faire sauter le dépôt de bombes, dont la déflagration a détruit les bâtiments de l'aérodrome, bou­leversé la piste et endommagé plusieurs appareils. Ainsi, une vingtaine d'appareils ennemis ont été mis hors d'usage, sans pertes amies. Il n'en est malheu­reusement pas de même pour les actions prévues contre Derna. Seul le lieutenant Jordan est revenu. Quatorze hommes sont portés manquants.
Depuis Siwa, les trois groupes de cinq parachu­tistes sont transportés jusqu'à Derna par trois camions allemands récupérés, conduits par des Allemands antinazis recrutés par le SIG. Tout se passe bien jusqu'à l'entrée dans la ville. Ils se mêlent sans diffi­culté aux convois des forces de l'Axe talonnant la VIIIe armée qui retraite.
Un des véhicules tombe en panne. Jordan décide d'abandonner un des trois objectifs. Un des chauffeurs trahit. L'équipe de Jordan et celle du caporal de Bourmont sont interceptées dans leur camion avant d'avoir opéré. Dans la confusion, le chasseur Guichaoua lance une grenade et s'échappe ainsi que le lieutenant. Les autres sont rapidement neutralisés. Il en est de même pour l'équipe du caporal Tourneret qui devait traiter le second objectif : Martcuba II. Guichaoua place sa dernière grenade dans un appareil qui flambe. Il est blessé à la tête, mais s'échappe vers le nord-ouest. Le 17, il tombe sur un bivouac italien; il est de nouveau blessé à la main mais s'enfuit encore. Perdu dans le désert, il est fait prisonnier le 19 juin par une patrouille italienne. Jor­dan rejoint seul le point de rencontre.
Guichaoua est mort de maladie en Italie en août 1942; de Bourmont, Widal, Prados, Geiger se sont évadés d'Italie en septembre 1943 (Geiger a été repris); Gillet, Jouany, Tourneret, Royer J., Royer G., Logeais, James sont morts lors du torpil­lage du bateau qui les emmenait en Italie; Drezer a perdu une jambe; Legoff, évadé, continuera la campagne."

laurent le samedi 22 août 2009 - Demander un contact

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www.charles-de-gaulle.org 

"Claude Le Henaff :
Passage en Grande-Bretagne, 19 juin 1940

L'ennemi atteint Rennes. Rien ne paraît pouvoir maintenant l'arrêter.

A Saint-Brieuc, pour mes deux cousins, Georges et Jean-Charles Royer, dix-neuf et dix-sept ans, et moi-même, dix-huit ans, la décision s'impose : partir s'engager en Grande-Bretagne. Le 18 juin, nous gagnons Paimpol, pensant pouvoir trouver un bateau de pêche. Déception ! Tous sont en mer, sauf ceux hors d'état de naviguer. Le soir, nous entendons l'appel du général de Gaulle. Notre volonté de gagner l'Angleterre s'en trouve encore renforcée. A 5 heures, le lendemain, surprise ! Une superbe goélette, la Manou, est à quai.

A bord, un seul marin, endormi, ayant fui le long de la côte l'avance allemande depuis Le Havre. Il hésite à partir en Angleterre, mais nous prendra s'il s'y décide. Rien à faire en tout cas avant l'ouverture des écluses, à la marée de fin d'après-midi. Nos recherches dans les petits ports environnants ne sont pas plus fructueuses.

Au retour à Paimpol, le quai devant la Manou est plein d'animation. Elle part pour Plymouth mais avec les seuls élèves de l'école d'Hydrographie. Refus de nous embarquer ! Le marin vu le matin fait heureusement lever l'interdit. A peine le temps d'embrasser nos mères venues aux nouvelles que des cris jaillissent : « Vite... Partez ! Les Allemands viennent de passer en ville filant vers Brest ! » L'écluse vient de s'ouvrir. Moteurs en route, amarres larguées ! Le temps presse, La Manou, marche arrière en panne, est gênée dans sa manoeuvre. La proue heurte violemnient le quai, cassant un peu de bois.

Entre le bord et la foule s'échangent les « au revoir», «bonne chance», « courage ». A la sortie de l'écluse, les passagers, une cinquantaine, entassés sur le pont étroit, masquent les balises. L'échouage est évité d'un cheveu.

A 18 h 30, nous atteignons le large sans autre incident. Aucune réaction des forces allemandes, qui avaient de fait atteint la ville au moment de notre départ, apprendrons-nous plus tard. Encore en vue des côtes, un avion suspect nous survole. Tout le monde s'engouffre sous le pont. Les choses en restent là.
Pas de navires en vue. La nuit tombe bientôt. Les moteurs ronronnent. Le ciel est clair. Une bonne brise d'Est creuse la mer. Tous feux éteints, la Manou y taille sa route, roulant bord sur bord sous sa mâture dépourvue de voiles.

Le jour se lève. Vers 8 heures et demie, la rade de Plymouth se dessine, masquée sous un léger voile de brume. Une vedette de port vient bientôt nous reconnaître. Elle nous dirige sur un point de mouillage à proximité d'autres bateaux français échappés de France comme nous. L'ancre est jetée. Le commandant Le Deut qui, au dernier moment à Paimpol, avait pris le commandement de la Manou, nous a menés sans encombre à bon port. L'avenir incertain est maintenant là, devant nous. Quand reverrons-nous la France ? Comment pourrons-nous participer à sa délivrance ? ..."

laurent le mardi 14 juillet 2009 - Demander un contact

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"Même destin pour Georges Royer et son frère, partis dès juin 40. Georges est fait prisonnier en Libye et meurt en 1942 dans le naufrage du navire italien qui le transporte."

vannesmeucon3945.blogs.letelegramme.com/ 

Laurent Laloup le dimanche 30 septembre 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 30 juillet 2022

 

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