Claude Jean Léonard Renault - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Claude Jean Léonard Renault



Naissance : 25 octobre 1919 - Vannes (56)

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / train

A participé à la bataille de Bir Hakeim

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant

Décès à 87 ans - 28 juin 2007 - Surgères (17)

Fils de Marie Decker 
Frère de Gilbert Renault  May Renault  Hélène Renault  Philippe Renault  Jacqueline Renault  Madeleine Renault  et Isabelle Renault 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 505629

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 43993


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Claude Jean Léonard Renault - son Livre ouvert !
 

Journal officiel de l'Afrique équatoriale française 1941/08/15
Edité en 1941
Source: Gallica



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Laurent Laloup le mercredi 15 février 2023 - Demander un contact

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" Le 17 juin 1940, la famille est regroupée à Vannes. Le lendemain, avec l’accord d’Edith et avec son frère Claude (20 ans), c’est le départ pour l’Angleterre. Arrivés le 20 juin, c’est, dès le 21, l’engagement dans les FFL à Saint Stephen’s House. Claude sera à Bir Hakein."

Jacques Ghémard le dimanche 08 décembre 2019 - Demander un contact

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souvenir d'une cousine

Je voulais mon admiration pour ce cousin et ses soeurs et j'ai été profondément touchée par le livre "la grande misère" de Maisie Renault.
Toute mon affection pour la famille.
Françoise Lumiere

françoise lumiere le lundi 07 mars 2011 - Demander un contact

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ENGAGEMENT D'HONNEUR D'UN DE LA 1ERE DIVISION FRANCAISE LIBRE une oeuvre de GIRAUD JULES

"GAMBUT — 1" DFL.
101e COMPAGNIE DU TRAIN

Arrivé à la compagnie du train, je fais connaissance avec le lieutenant Hochapfel, le sous-lieutenant Reynaud Claude, l'aspirant Hamadard, le toubib Desnos et le lieutenant La­roche qui vient de Hong-Kong (lorsque son bateau est arrivé au Caire, il s'est engagé aux Forces Françaises Libres).
En subsistance, comme je le serai moi-même à cette unité, il y a :
— Le sous-lieutenant Canassi chargé de la poste ; l'as­pirant Azanakis chargé du dépôt des subsistances ; le capi­taine Viazzi, un Toulonnais, chargé du détachement de justice.
J'apprendrai par la suite que Reynaud Claude est le frère du colonel « Rémy •» dans la Résistance. Il me dira que son frère est à Londres et qu'en représailles, les Allemands ont arrêté sa mère et sa sœur. Sans nouvelles, il sera souvent soucieux.
Je ne puis lui donner aucun renseignement car elles ont été arrêtées dans la zone occupée par les Allemands.
Nous sympathisons immédiatement et, après un tour au mess, l'on me désigne la tente qui m'est affectée. Ma malle et ma valise sont portées dans ma nouvelle résidence, je m'installe et fais un brin de toilette."

Laurent Laloup le samedi 20 décembre 2008 - Demander un contact

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"....) Toute la famille Renault a été particulièrement éprouvée pendant la guerre. Outre le rôle du fils aîné, le colonel Rémy, un de ses frères, Philippe, est mort en déportation ; un autre, Claude, a combattu dans la première DFL ; Gilles, son frère cadet, a rejoint Londres et la mère de Maisie ainsi que trois de ses soeurs ont été arrêtées. ..."

www.ouest-france.fr 

Laurent Laloup le lundi 19 mai 2008 - Demander un contact

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dans le livre "Engagement d'honneur d'un de la Ière Division Française Libre" de Jules Giraud 

"Arrivé à la compagnie du train, je fais connaissance avec le Lt Hochapfel , le s-Lt Renaud Claude , l'aspirant Hamadard , le toubib Desnos et le Lt Laroche qui vient de Hong-Kong (lorque son bateau est arrivé au Caire, il s'est engagé aux FFL)

L. Laloup le lundi 28 avril 2008 - Demander un contact

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Revue de la Fondation de la France libre , septembre 2007



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Laurent Laloup le mardi 30 octobre 2007 - Demander un contact

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Revue de la France libre 2007

" Suite à une longue maladie, le colonel Claude Renault nous a quittés le 6 juillet dernier. Ses obsèques ont eu lieu le 9 juil­let en l'église de Surgères entouré de sa famille, de très nombreux amis ainsi que d'une délégation d'anciens parachutistes. Six anciens FFL étaient à ses côtés et ont déposé une croix de lorraine devant son cercueil. André Thobellem, 95 ans, a tenu, pour l'occasion, à porter une dernière fois le drapeau des anciens Français Libres.
Claude Renault est né le 25 octobre 1919 à Vannes. Il s'est engagé dans les FFL le 1er juillet 1940 accompagné par son frère Gilbert (futur colonel Rémy du réseau « Confrérie Notre-Dame » et réussit à rejoindre l'Angleterre par des moyens de fortune. Envoyé en Sierra Léone en août 1940 au sein de la 101e Cie automobile, il participera à la tentative de débarque­ment de Dakar le 23 septembre 1940. Promu aspirant le 16.juillet 1941 à Brazzaville, il est designé pour servir au Levant. Au sein de la 1ere DFL et de son ancienne unité, il quitte la Syrie pour par­ticiper aux opérations en Afrique du Nord et notamment aux batailles de Bir Hakeim, El-Alamein et Zaghouan. Au len­demain d'El-Alamein, il va jusqu'à récu­pérer du matériel sur le champ de bataille pour reconstituer le parc automobile de la lOle compagnie automobile qu'il diri­ge à présent. C'est en effectuant ce travail au milieu des mines qu'il sera blessé en Tunisie. En Italie, il s'illustre lors de la bataille du Garigliano en mai 1944 puis est débarqué en France à Cavalaire. Il partici­pera alors aux opérations de Toulon, Lyon, Belfort et d'Alsace. II termine la campagne de France comme commandant d'unité de la lOlème compagnie automobile avec le grade de lieutenant et fut officier d'or­donnance auprès du Général Koenig. Cité à plusieurs reprises, ses supérieurs préci­sent : «Entraîneur d'hommes. il forme sa troupe à son image et par son courage tranquille, sa conscience professionnelle et sa volonté d'arriver au but, en obtient le rendement maximum au cours des opéra­tions» Après la Libération il se battra en Indochine puis en Algérie. Libèré en 1967 avec le grade de lieutenant-colonel, il se retire à St Saturnin du Bois et participera rivement à l'échelon départemental aux activités patriotiques.
....
Nos pensées vont à son épouse Marie-Claude et à sa famille. Ces quelques lignes sont bien insuffisantes pour retracer le parcours exemplaire du colonel Claude Renault mais elles illustrent l'engagement de ceux qui ont refusé la défaite et l'asser­vissement du pays."

Laurent Laloup le mardi 30 octobre 2007 - Demander un contact

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Souvenirs de guerre de Pierre Capucin

" J’ai eu des camarades blessés à mes côtés, mais aucun qui y soit mort.

Moi-même, je n’ai jamais été blessé. J’avais récupéré en Érythrée un casque italien. J’ai toujours pensé que c’était cela qui m’avait sauvé : parce que les casques anglais, eux, ne couvraient pas la nuque.

Je me souviens de certains qui sont morts : Yves Lebon est mort en juin 1942, à Bir Hakeim, comme Ferdinand Le Dressay, qui était breton. Il y a eu aussi Pierre Le Gourrierec qui a disparu au cours de cette bataille, dans la tourmente. Il y a même eu un de nos camarades qui a disparu au même moment, qui a été fait prisonnier par les Italiens et qu’on a retrouvé bien plus tard, en Italie, lors de notre passage dans ce pays.

Il y a eu plusieurs camarades qui ont été fait prisonniers dans les mêmes circonstances et qui sont morts plus tard, noyés lors du naufrage du bateau italien qui les ramenait en Italie. Paul Grech, mort en juin 1944, venait lui de Médéa (en Algérie). Dans l’ensemble on a eu moins de morts dans le Train que dans les autres unités car on n’était pas une unité combattante au sens classique.

Je me souviens aussi d’Hervé Quemeneur, de Louis Worms et d’un troisième encore dont j’ai oublié le nom. Ils ont récupéré des obus et ont voulu en extraire l’enveloppe en cuivre pour en faire des souvenirs, comme ma grand-mère en avait gardé de la guerre de 1914. Ils ont commencé à taper dessus ; on leur a gentiment dit de ne pas faire les cons mais ils ont continué. Deux minutes après, tout a sauté, et ils sont morts !

Sur la photo, on a, de gauche à droite, Paul Grech, André Nicolas, Henri Le Goïc, Jules Dupièce (qui n’est pas mort, lui, pendant la guerre) et un frère noir dont j’ai oublié le nom. Il y avait aussi le conducteur (qu’on ne voit pas sur cette photo), Jacques Letoquart, dont les parents tenaient alors une quincaillerie Place des Vosges - c’est chez eux que j’ai bu ma première bouteille de Champagne en rentrant à Paris après la guerre -.

On a eu, c’est marrant, trois moines qui étaient chefs de bataillon à la 1° D.F.L. : il y avait un dominicain, un carme connu (qui était l’Amiral Thierry d’Argenlieu), et encore un troisième.

Je dépendais du commandant Dulau. Comme autres officiers dont j’ai dépendu, il y avait Hochapfel, Domange - tué en Libye -, le lieutenant Renault qui était de ma compagnie"

www.entretemps.asso.fr/PaulChanoine 

Laurent Laloup le vendredi 05 octobre 2007 - Demander un contact

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Quelques corrections

Je suis le dernier fils de Claude Renault. Mon père vient de disparaitre le 28/6/2007. J'ai regardé le site de la première DFL aujourd'hui pour la première fois et je me suis aperçu d'erreurs concernant mon père.

Mon père est né le 25 octobre 1919 (et non 1918) à Vannes 56.
A son entrée en guerre, il était employé à la Banque de France (et non artisan/ouvrier).
Il a organisé en Angleterre le 17 juin 1940 son départ et celui de deux amis de Vannes à partir de Lorient. Son frère, Gilbert Renault, qui devint le Colonel Remy s'est embarqué avec eux pour le Verdon où ils ont trouvé un bateau pour l'Angleterre.
A la suite de la guerre, il a mené une carrière dans l'armée de terre, dans le Train et a été en Allemagne, en Indochine et en Algérie. Il a pris sa retraite en 1965. Il avait le grade de Lieutenant Colonel.

Il est
Officier de la Légion d'Honneur
Croix de Guerre 1939-1945
Médaille de la Résistance.

Renault Olivier le dimanche 01 juillet 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mercredi 15 février 2023

 

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