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| Roger Seferian alias de Rauvelin | |
Naissance : 16 décembre 1915 - Clisson (44)
Activité antérieure : étudiant / scolaire
Point de départ vers la France Libre : Moyen Orient
Engagement dans la France Libre : Durban en octobre 1940
Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / artillerie
A participé à la bataille de Bir Hakeim
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sous-lieutenant
Décès à 26 ans - 13 juin 1942 - Sollum, Egypte
Mort pour la France
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 542922
Dans la liste de Bir Hakeim : ligne 246
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 43625 / ligne 47053 |
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Roger Seferian alias de Rauvelin - son Livre ouvert ! Au Jour le Jour à Bir Hakeim - Carnets et récits (via Florence Roumeguère – juin 2012 )
"... Sur les six pièces de la batterie, il en reste trois d’utilisables, la quatrième est partie le matin en antichar chez les fantassins, et la deuxième a reçu un coup direct. Bourget prévient le PC et essaye de faire venir le toubib pour panser sommairement les nouveaux blessés. Rauvelin a un moral magnifique, il souffre horriblement. Il n’est pas question de les transporter au poste de secours en ce moment et l’ambulance chirurgicale légère a été détruite par les Stukas..." laurent le samedi 16 janvier 2016 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Souvenirs d'un officier d'artillerie coloniale, de Paul Morlon " 19h20, un obus tombe sur la pièce du Maréchal-des-Logis chef COHARD qu est tué, ainsi que le canonnier SOHAY. DE RAUVELIN, le chef de section est blessé à l'abdomen. DUVAL, le Médecin-Lieutenant du régiment, lui a bourré le ventre de gaze pour arrêter l'hémorragie, et me dira le soir qu'il a peu de chances de s'en sortir, ne pouvant être immédiatement évacué sur un hôpital bien installé. (L'ambulance chirurgicale a été démolie par les bombes d'avion.) Le Brigadier-Chef DENIS et le canonnier RAKOTOZAFY sont également blessés par le même obus. Le nom de Maurice COHARD sera donné à la 54e promotion d'élèves-sous-officiers d'activé de l'école de NÎMES, le 27 juin 1980." Laurent Laloup le jeudi 26 février 2009 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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" Une partie de la garnison trouve, enfin, le lieu de rendez-vous signalé par un bidon rempli de sable et d'essence en flamme. "A côté du signal stationne un Military Police avec sa casquette rouge, aussi impassible dans le désert qu'un "bobby" en faction dans une rue de Londres" raconte le Lieutenant Beauroir. Cent camions de la 101ème Compagnie du Train, et trente ambulances attendent, protégés par une Colonne de la 7ème Blindée Anglaise. L'Adjudant Maillet, accompagné de l'Adjudant Rouillon du 1er R.A, conduit son camion atelier avec en remorque, un tracteur de dépannage, le "Bouledogue" traînant un canon Bofors sur lesquels sont accrochés, en grappes, quatre-vingt survivants. Les deux conducteurs indochinois du Général sont là, avec le camion P.C. intact, le Médecin-Lieutenant Gosset panse les blessés, et les Britanniques servent du thé et un en-cas. Le Régiment d'Artillerie, très éprouvé, fait le compte de ses pertes, le Sous-lieutenant de Rauvelin, les Aspirants Rosenwald et Chambon sont tombés avant la sortie, le Lieutenant Bourget, serre-file, est tué, et le Lieutenant Kervizic porté disparu."
www.birhakeim-association.org Laurent Laloup le samedi 01 novembre 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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" Le lendemain le Régiment compte ses pertes : le sous-lieutenant de Rauvelin, les aspirants Rosenwald et Chambon qui sont tombés à leur pièce, le capitaine Gufflet qui, pendant la sortie, a été tué dans son auto-mitrailleuse ; puis le capitaine Bricogne mortellement atteint alors qu'il nettoyait à la grenade un nid de mitrailleuses ; le lieutenant Bourget, serre-file de la colonne, est abattu au cours de sa mission. Enfin le lieutenant Kervizic qui, grièvement blessé, succombera deux mois plus tard en captivité : il faut ajouter à ces noms, ceux de nombreux sous-officiers et canonniers dont les tombes jalonnent le désert." Laurent Laloup le samedi 18 août 2007 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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