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| Jean Thomas Orabona | |
Naissance : 2 janvier 1921 - Bastia, Corse
Activité antérieure : militaire
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940
Affectation principale : FAFL / BCRA
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant
Décès à 21 ans - 25 juillet 1942 - Montbrison (42)
Mort pour la France
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 450962
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 39422 / ligne 39462 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Jean Thomas Orabona - son Livre ouvert ! INFORMATION SOUHAITÉE Depuis de nombreux mois plus aucune nouvelle de son neveu Jean et de son épouse ????
Nous les avons vus lors de l'innauguration de la plaque commémorative à Boisset, et eut quelques contacts ensuite. Depuis plus rien. Claude DÉAL Initiateur du projet n'a pas de nouvelle non plus. Pour finir J'ai perdu l'adresse Mail de Jean. Quelq'un peut-t-il me renseigner???? 
Andre VIALLARD le dimanche 10 juillet 2022 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Guy le français, aka Orabona Hello everybody, I want to give my little contribution about Jean Orabona.
There is a book called "The Grand Prix Saboteurs", by the English journalist Joe Saward, in which there is a citation of an agent called "Orabona". It seems that he was trained as a secret agent together with many others, notably the former Grand Prix driver William Grover-Williams, alias Vladimir Gatacre, alias Charles Lelong, and Richard Heslop, the legendary "Xavier" of the French Resistance. During the training, "Orabona" was simply known as "Guy". The book tells also that he was killed during his parachute drop in France, so I think that it's almost certainly the same person. Alessandro Barone le jeudi 07 juillet 2022 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Auteur du site photos de Boisset les Montrond bonjour,
Suite à la supression du site prémium sur orange et du site perso les liens ne fonctionne plus. Un nouveau site a été crée "boissetlesmontrondphotos.fr" Il serais peut être bon de modifier ces liens. Ce 8 mai 2017 a 11 heures, une plaque commémorative va être innaugurée en la mémoire de Jean ORABONA sur les lieux du parachutage en présence de son neveu Jean Pierre et ne nombreux Boissetaires et personnalités. 
VIALLARD André le jeudi 04 mai 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Bonjour,
Je suis en train de lire l'excellent livre de Daniel Cordier "Alias Caracalla" et je cherche un complément d'information sur l'attitude du maire.
Page 516, extrait d'une lettre de François Briant à Daniel Cordier, reçue le 12 novembre 1942. Tu as sans doute entendu parler de la conduite odieuse du maire du village où il a été enterré: la coupe jusqu'à la lie !
Quelle fut donc sa conduite? Henri le samedi 06 octobre 2012 Recherche sur cette contribution | |
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hommage !!!!!!! Mon père ORABONA NICOLAS frère de Jean Orabona est décédé le 27 MAI 2010 j'ai voulu par ses mots simples rendre un hommage à son frère Jean Orabona car il m'en parlait souvent.
Il a appris par hasard le décès de son frère en rencontrant un copain à Bastia qui lui a annoncé sa mort!!!! Quel traumatisme !! aujourd'hui par pur hasard je trouve un livre d'or de Jean Orabona et les larmes coulent en passant aux paroles de mon père qui ne savaient pas au juste ce qui s'était passé ! je rends hommage à tous ces jeunes morts au combat !! Il ne faut pas oublier !!!!! savournin/ORABONA le samedi 26 février 2011 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Dans "Alias Caracalla" de Daniel Cordier Page 516, extrait d'une lettre de François Briant à Daniel Cordier, reçue le 12 novembre 1942.
" Depuis longtemps je me demandais si jamais je pourrais t écrire et avoir de tes nouvelles. Aussi te dire ma joie de ta carie du mois dernier, fortement atténuée, il est vrai, par la sombre nouvelle que tu m'annonçais. Pauvre Orabonna ! Pendant plusieurs jours j'en ai été obsédé. Avoir tant rêvé d'un retour et songer que son premier contact avec la terre de France aura été un contact de mort. C'est vraiment cruel. Et quelle mort ! Isolé, sans amis et peut-être sans avoir repris connaissance. Tu as sans doute entendu parler de la conduite odieuse du maire du village où il a été enterré: la coupe jusqu'à la lie ! Au moins repose-t-il en terre de chez nous. Il n'est pas de meilleure méditation sur la mort que sur celle de ses amis. "
Note de bas de page :
" Il s'agit d'un de nos camarades qui s'était tué lors de son parachutage le mois précédent. Son parachute était resté accroché à l'avion et son corps frappait la carlingue. Lorsque les Anglais s'en aperçurent, ils coupèrent les cordes, mais trop tard. " Jacques Ghémard le vendredi 05 juin 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Départ et CV FAFL Passager aves les élèves de l'Ecole de l'Air n° 23 emmené par le Lieutenat PINOT,
sur le Dundee-Langoustier "TREBOULISTE" du Port de DOUARNENEZ 29 le 18 Juin peu avant minuit, arrivée à penzance le 20 Juin 
louis henaff le lundi 13 octobre 2008 Recherche sur cette contribution | |
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Orabona
Le parachutiste Orabona était Corse et non de nationalité canadienne d'après la rumeur publique de l'époque. Il devait rejoindre la Corse pour remplir les fonctions de radio.(La Résistance Corse sera privée de radio pendant un an) Gaston Tavian nous a raconté son accident et comment le curé de Boisset-les-Montrond (l'abbé Clouye) le prit en charge. Il avertit probablement le maire puisque trois personnes de Boisset transportèrent le blessé à Montbrison. Le Garde Champêtre M. Boute, Marcel et Emile Joassard fils de Claudius Joassard marchand de vin qui prêta son véhicule automobile.
C'était en début de matinée, le garde et les deux jeunes gens partirent aussitôt, ils trouvèrent le blessé près du pont de Gand sur le chemin de Fontanes. Il était dans le coma. Ils le mirent dans la voiture et se dirigèrent vers Montbrison. Le parachutiste mourut en cour de route à la hauteur de Grézieu. Ils déposèrent le corps à l'hôpital de Montbrison.
On trouve la trace de ce parachutiste dans le registre des décès de Montbrison.:
Un inconnu : Le 25 juillet 1942 est décédé rue de l'Hôpital un individu du sexe masculin, dont l'identité n'a pu être établi. Le signalement est le suivant : âgé de 25 ans environ. Cheveux châtains clairs entièrement rasés, vêtu d'un costume en drap marron à damier en laine blanche.
Dressé le 26 juillet 1942 à dix heures 15 sur la déclaration de André Laveille 29 ans secrétaire des Hospices, domicilié à Montbrison.
Qui lecture faite a signé avec Jean Vial adjoint au maire de Montbrison, Officier de l'état civil par délégation.
Pendant toute la duré de la guerre une dame de Montbrison a fleuri sa tombe chaque jour. Aucune trace de l'origine de cet homme. Les archives du cimetière de Montbrison ayant disparues détruites par un incendie. En cherchant sur Internet j'ai trouvé qu'un discours avait été prononcé par le maire de Novella à l'occasion des obsèques en 1949 de Jean Orabona mort pour la France le 25 juillet 1942. J'ai fais une demande de renseignements à la mairie de Novella elle a chargé Madame Anne Marie Orabona de me transmettre les renseignements demandés :
Jean Orabona : né en 1920, fils de Charles Orabona, agent des lignes à, Bastia (né le 11 février 1889 à Novella, décès le 31 janvier 1948 à 59 ans) et de Marie Lucie Torrentti.
Aviateur, Sous-Lieutenant des parachutistes, résidant en Angleterre. Il décède le 25 juillet 1942 à 22 ans. C'est sa fiancée anglaise qui annonce à Novella son décès à sa famille.
Discours prononcé par le docteur Orobona, (en février 1949) Maire de Novella Aux obsèques de M.Jean Orobona mort pour la France le samedi 25 juillet 1942
"Mon cher Jean,
Il y a neuf ans tu quittais cette commune souriant, plein de vie et voici que la douloureuse route de retour s'effectue au milieu du respect, du deuil et des larmes. Tes cendres reposeront désormais en paix à côté des tiens, à côté de ta sœur, à côté de ton père qui n'a jamais pu se consoler de ta perte et qui t'a rejoint bien prématurément. Tous les mots que l'on peut prononcer ne peuvent atténuer la douleur que l'on lit sur le visage de ta mère, des membres de ta famille et sur celui de tous ceux qui te connaissaient et qui viennent aujourd'hui t'accompagner dans ton éternelle demeure. Au non de la population de Novella, j'ai à te remercier car notre village si petit soit-il a pu s'enorgueillir d'avoir un de ses enfants parmi la première phalange de héros qui pendant l'occupation ennemie faisait vivre en nos cœurs un peu d'espoir Que de fois en voyant passer les escadrilles alliées, nous avons pensé que peut-être un enfant du village en faisait partie. Ce flambeau d'espérance que grâce à toi et à tes camarades nous avons toujours gardé jusqu'en 1942. Tu as du, mon cher Jean le payer bien fort, car au cours d'un débarquement de commando parachutiste quelque part en France, le soir à l'appel des hommes rentrés, les camarades ne purent que répondre " Sous Lieutenant Jean Orabona mort pour la France " et grâce à ton sacrifice et à celui de tes camarades la France vivra. Au nom de la commune j'accomplis le pieux devoir de présenter mes plus affectueuses condoléances à tes parents venus t'accompagner sans oublier celui qui au delà des mers ne peut être ici que par la pensée. Je souhaite vivement que la chaude et fervente sympathie que manifeste aujourd'hui le village de Novella soit pour leur douleur à tous un baume adoucissant et consolateur.Adieu mon cher Jean. Repose en Paix. "
perso.orange.fr/departement.loire.42.vialand  Laurent Laloup le lundi 13 août 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Malheureusement, l'un des parachutistes, le radio Orabona, dit Grimaldi, était mal tombé et nous dûmes, après plusieurs tentatives pour le ranimer, le porter jusqu'à la route éloignée de 4 ou 500 mètres du lieu du parachutage. Orabona avait la poitrine enfoncée et les jambes brisées. Il hurlait de douleur.
....Piet alla chercher un prêtre au village voisin, le curé de Boisset-les-Montrond, pour qu'il voie Orabona. Le prêtre vint à 4 h 30. Piet lui avait dit que notre camarade était tombé de bicyclette. Lorsqu'il eut examiné le blessé, je dis au prêtre ce dont il s'agissait réellement car, après le bruit fait par l'avion, le curé ne pouvait être dupe.
Il nous répondit : " je fais mon devoir de prêtre. " Par la suite, il voulut bien ne prévenir un docteur qu'à 7 heures du matin, en raison de l'état d'Orabona, il n'était pas question de l'emporter plus loin.
...Après un repos, Piet se rendit à bicyclette chez le curé du petit village. Ayant rencontré le prêtre dans son église, celui-ci lui conseilla de repartir immédiatement, Orabona étant décédé pendant son transport vers l'hôpital de Montbrison, le parquet était sur les lieux et le curé avait subi un premier interrogatoire au cours duquel il avait donné un faux signalement des jeunes gens qu'il avait vu. Laurent Laloup le lundi 13 août 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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