Yvette Edmée Eugénie Morin épouse Claerebout - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Yvette Edmée Eugénie Morin épouse Claerebout



Naissance : 21 octobre 1921 - Paris 13e

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en novembre 1941

Affectation principale : Résistance intérieure / Turma Vengeance

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2

Fille de Georges Morin  et Denise Bourinet 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 431653

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 37347


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Yvette Edmée Eugénie Morin épouse Claerebout - son Livre ouvert !
 

"... Le courage de Georges, Denise et Yvette Morin, famille de résistants 

© Europe1.fr

Pendant la Seconde guerre mondiale, les Invalides deviennent donc une fourmilière allemande avec la présence de la Wehrmacht. Mais l'édifice continue d’héberger des citoyens français. A l’image de Georges Morin, fonctionnaire de l’ONAC, l’organisme consacré aux anciens combattants, installé dans une aile du monument avec sa femme Denise et sa fille, Yvette. Et c'est au beau milieu de cet édifice, transformé en caserne par l’occupant, que Georges et Denise Morin décident d’héberger une quarantaine de pilotes alliés, principalement des Américains et Canadiens. Pour ne pas éveiller les soupçons, ces derniers sont présentés comme les cousins muets de la famille Morin.

Dans la plus grande discrétion, ces résistants se réunissent sur les hauteurs du dôme des Invalides. L’un des pilotes y a d'ailleurs laissé une trace de son passage, un graffiti “John, Royal Air Force 1944”.  Pendant trois ans, Georges et Yvette Morin dupent les Allemands. Mais en 1944, le réseau est finalement dénoncé, vraisemblablement par un voisin. Tous les trois déportés en camp, Georges meurt en détention. Sur un pan de mur des Invalides un peu caché, une plaque commémorative rend aujourd’hui hommage à Georges Morin. Les noms de Denise et d’Yvette, eux, ne sont pas mentionnés. ..."

www.europe1.fr 

Laurent Laloup le samedi 29 février 2020 - Demander un contact

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" Nom : MORIN / CLAEREBOUT
Nom de jeune fille : MORIN
Prénom : Yvette
Date de naissance : 1921-10-21
Lieu de naissance : Paris (75)

Renseignements relatifs à l'internement et la déportation
Déportation de : Répression
Date d'arrestation : 1944-07-05
Lieu(x) d'internement : Rue des Saussaies, Fresnes
Date de déportation : 1944-08-15
Lieu de départ : Paris (gare de Pantin)
N° du convoi[1] : I.264.
Lieu(x) de déportation : Ravensbrück, Torgaü, Abteroda, Markkleeberg
Lieu de liberation : Tharandt
Date de liberation : 1945-04-21"

www.bddm.org 

Laurent Laloup le lundi 20 novembre 2017 - Demander un contact

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Mar. 03, 1967 - Newspaper Vendor Awarded Legion Of Honour: Madame Yvette Morin-Claerebout, 45, a news vendor, will be awarded the insignia of the Legion D' Honneur during a ceremony to be held in the court of honour of the invalides. The distinction is her reward for her activity in the resistance during the German occupation.Photo shows Madame Yvette Morin-Claerebout picture at her news stall.



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Laurent Laloup le lundi 20 novembre 2017 - Demander un contact

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video :

www.youtube.com 



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Laurent Laloup le lundi 20 novembre 2017 - Demander un contact

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Un article de La Croix

Yvette Morin, une histoire de famille

Agée aujourd’hui de 89 ans, Yvette Morin est toujours émue quand on évoque l’Occupation. Son histoire de résistante se confond avec celle de sa famille. Tout a commencé avec son père, Georges Morin.

Fonctionnaire de l’Office national des anciens combattants, il travaillait à Paris, à l’hôtel des Invalides, où il vivait avec son épouse Denise et sa fille. Vétéran et victime de la Première Guerre mondiale (où il a perdu un œil et a été victime des gaz), il s’est engagé dès novembre 1941 dans le réseau « Action vengeance de la France combattante » avec le soutien très actif de Denise et Yvette.

Le trio a rempli toutes sortes de missions : renseignement, distribution de la presse clandestine résistante, transport d’armes et de matériels de transmission, aide à l’évasion d’aviateurs alliés dont les aéronefs avaient été abattus.

Yvette et sa mère se sont notamment mobilisées pour héberger, de 1942 à 1944, plus de 130 aviateurs anglais, américains et canadiens, avant qu’ils ne soient rapatriés vers l’Angleterre par l’Espagne ou la Bretagne, munis de faux papiers.

Georges, Denise et Yvette Morin ont été arrêtés le 5 juillet 1944, peu avant la libération de la capitale, et déportés vers les camps en Allemagne. Georges n’en est jamais revenu. Aux Invalides, une plaque rend hommage à ce chef de famille résistante.

journaliste et d’écrivain jalouse de sa liberté.

Laurent le lundi 07 décembre 2015 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 29 février 2020

 

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