Henry Jean Marie de Mauduit - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Henry Jean Marie de Mauduit



Naissance : 13 décembre 1897 - Provins (77)

Activité antérieure : fonctionnaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en février 1941

Affectation principale : FAFL / parachutistes

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine

Décès à 77 ans - 13 décembre 1974 - Paris 15e

Epoux de Roberta Laurie 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 173415

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 35040

Dossier Légion d'Honneur




Henry Jean Marie de Mauduit - son Livre ouvert !
 

Henri de Mauduit (1897-1974), nommé gouverneur par intérim en remplacement de Le Layec partant en congé (Décret 7 juillet 1949). François Casmatta, Secrétaire général, et Pierre Hersé, Inspecteur des affaires administratives, chargé de l'expédition des affaires courantes entre le départ de Le Layec et l'arrivée de Mauduit qui prend ses fonctions en août. De Mauduit est titularisé dans ses fonctions de gouverneur par décret du 1er février 1950, en remplacement de Rogué.

horizon.documentation.ird.fr 

Laurent Laloup le lundi 10 novembre 2008 - Demander un contact

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souvenirsas.ifrance.com 

4thSAS - 2è R.C.P "Cooney Parties":

PIERRE 401: Viaud Jean (LT), Carro Roger, Goardon Yves - V.F entre St Brieuc et Guingamp -
C du N 22

PIERRE 402: Roquemaure Jean (SGT), Desmoulins Pierre, Perrachon Louis - V.F entre Lamballe et Causnes - C du N 22

PIERRE 403: Fauquet Philippe (ASP), Bidault René, Fadda Pascal - V.F entre Lamballe et Dinan -
C du N 22

PIERRE 404: Appriou Jean (S/LT), Cerillo Julio, Le Duizet Auguste - V.F entre La Bohinière et Dinan- C du N 22

PIERRE 405: Carré Jacques (SGT), Héritier François, Thomas Jean -V.F entre La Bohinière et Rennes- I et V 35

PIERRE 406: Varnier André (S/LT), Aubert Pierre, Guyon Raymond, Kieffer Guy, Materne Pierre - V.F entre Messac et Rennes- I et V 35

PIERRE 407: de Camaret Michel (S/LT), Cochin Denys (S/LT), Collobert Joseph, Détroit Jacques (SGT), Nunès Achille V.F (tunnel) entre Messac et Redon - I et V 35

PIERRE 408: Tisné François (LT), Bernard Robert, Pérlès Max - V.F entre Redon et Chateaubriand - Loire Inf 44

PIERRE 409: Nicol Francis (S/C), Courant Georges, Lifsniack Félix - V.F entre Redon et Pont Chateau - Loire Inf 44

PIERRE 410: Mairet Louis (LT), Bourrec Pierre, Tauzin Félix - V.F entre Redon et Questembert - Morbihan 56

PIERRE 411: de Kerillis Alain (S/LT), Morizur Ambroise, Terrisse René - V.F entre Questembert et Vannes - Morbihan 56

PIERRE 412: Brès Michel (S/LT), Briand Georges, Plat Jean-Jacques - V.F entre Ploërmel et Messac - Morbihan 56

PIERRE 413: Mendès-Caldas Jacques (SGT), Harbinson Frédéric, Serra Jean - V.F entre Ploërmel et Messac - Morbihan 56

PIERRE 414: Larralde Gualberto (CNE), Hartmanshenn Jean, Navailles Gaston - V.F entre Auray et Pontivy - Morbihan 56

PIERRE 415: Corta Henry (ASP), caporal André Bernard, Folin Francis - V.F prés de Loyat, village de Trégadoret sur la rivière l'Yvel (région de Ploërmel-Morbihan)

PIERRE 416: Legrand Michel (S/LT), Boutinot Roger, Deborre Albert - V.F entre St Meen et Loudéac - Morbihan 56

PIERRE 417: Fernandez Roger (S/LT), Biernat César, Vazeille Roger - V.F entre Loudéac et Saint-Brieuc - C du N 22

PIERRE 418: de Mauduit Henry (CNE), Créau Noël, Violland Armand - V.F entre Loudéac et Carhaix - C du N 22

V.F = voie ferrée.

Laurent Laloup le vendredi 24 août 2007 - Demander un contact

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Réponse :

Voir message de Jean-Claude BOURGEON le lundi 11 septembre 2017 
"... à propos de la mission Pierre 408 (Tisné, Bernard, Perlès). Cette opération n'a pas été menée sur la voie ferrée Redon-Châteaubriant Ligne Massérac-Châteaubriant) mais sur la voie ferrée Messac-Châteaubriant à la bifur du Vautenet entre les Passages à niveau 18 et 19 situé entre les gares de Messac et de Pléchâtel."

Voir aussi le message de David le mercredi 04 février 2009 
" Raymond Guyon n'était pas de la cooney 406. Il a été parachuté sur Samwest.
La composition des cooney ci-dessous comprend des erreurs."


Photo

Laurent Laloup le samedi 18 août 2007 - Demander un contact

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Extrait de : www.lerot.net 

Parachutistes S.A.S de la France Libre 1940 - 1945

" A Paimpol, une rue au nom d'Henry de MAUDUIT

Notre ami François SOUQUET nous informe d'un évènement.

Le 17 août, dans le cadre des commémorations de la libération de Paimpol, une rue a reçu le nom de "Capitaine Henry de Mauduit".

Rappelons qu'avec ses hommes dont Noël Créau, Louis Brulon, Armand Violland et quelques autres, le capitaine de Mauduit opéra dans la région de Corlay et assura l'armement des maquis du secteur. Le 6 août, maquisards et parachutistes libérèrent Corlay puis le 16 août, les hommes convergèrent vers Paimpol pour passer à l'attaque. le 17 août, le capitaine de Mauduit entre dans la ville à la tête de ses hommes.

Noël Créau ne pouvant pas être présent cette année, ce fut Edgar TUPET-THOME qui retraça l'action des SAS et lut un message de Noël avant de dévoiler la plaque."

Laurent Laloup le samedi 18 août 2007 - Demander un contact

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Roberta " Betty " LAURIE

En effet, fin 1931, Le Comte Henry De MAUDUIT et son épouse, Roberta " Betty " LAURIE, originaire d'Ecosse, mais élevée à Boston / U.S.A., font l'acquisition du château et le restaurent grâce à la générosité du Colonel Edward Nicholl DICKERSON, originaire de Newport / Rhode Island (U.S.A.), que Betty présentait comme son oncle et parrain. Le château rénové, en cette fin des années 30, est animé par des visites de personnalités du monde littéraire et artistique parisien . Citons, les écrivains : Pierre BENOIT, Francis CARCO, Joseph KESSEL, les peintres : André DIGNIMONT, Louis TOUCHAGUE…

La guerre vint, le 1er septembre 1939, interrompre cette agréable existence. Tandis qu'Henry de MAUDUIT rejoint la France Libre, Betty, se croyant protégée par sa nationalité américaine, reste au Bourblanc où elle participera à des réseaux de la Résistance - en y abritant des aviateurs alliés - jusqu'au 12 juin 1943, date de son arrestation par la Gestapo. Elle sera dirigée vers le camp de Ravensbruck où elle sera détenue 13 mois après son arrestation.

Le 20 juillet 1944, jour de l'attentat contre Hitler, elle est envoyée dans la région de Leipzig dans un " Kommando " dépendant du camp de concentration de Buchenwald.

Betty sera libérée en avril 1945. Séparée d'Henry de Mauduit, elle restera au Bourblanc jusqu'à sa mort, le 1er août 1975. De nombreuses personnalités, après la guerre, ont séjourné au château, telles que Georges BIDAULT,
Ministre sous la 4ème République, Lord MOUNTBATTEN, Amiral britannique, Vice Roi des Indes….

www.bourblanc.fr 

Laurent Laloup le lundi 16 juillet 2007 - Demander un contact

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Paris, fin août 1944

www.antebiel.com  :

Dans le Bulletin SAS de mars 1984, 40 ans plus tard, ont paru les notes rédigées par Noël Créau :

Saint-Marcel, Duault, Morbihan, Côtes du Nord, Finistère, Ille-et-Vilaine, Loire-Atlantique ; toute la Bretagne ; puis Briare, Nevers, Sennecey, les Vosges, en fait la France, toute la France et même Paris. Les SAS ont été de tous les combats et ils étaient présents à la libération de la capitale. C’est une histoire peu connue. Créau, Antébi, Bétbèze, Brulon ne prétendent pas avoir libéré Paris, les FFI de Rol Tanguy et la DB de Leclerc s’en chargèrent, mais les SAS étaient là.

Le 17 août, Antébi et Henri de Mauduit avaient rencontré le colonel Rémy à Rennes. L’idée avait été retenue de faire accompagner les services secrets alliés vers Paris par un groupe de SAS. Les deux hommes portèrent donc le message de Rémy au colonel Bourgoin et le lundi 21 août :

Notre équipe à bord de tractions avant noires, frappées de la marque du 2e régiment des Parachutistes SAS quitte Armel sur le bord du Golfe du Morbihan où nous étions réfugiés pour éviter la « reprise en main » de Vannes. H. de Mauduit, G. Antébi, L. Brulon, Cordier, N. Créau, A Violland Santucci plus un FFI, Gaby Deschamps, arrivent à Rennes.

Tout le monde passe la nuit du 22 au 23 août au château de Pontchartrain où les rejoignent trois autres hommes. Le vendredi 25 août les SAS entrent à Paris par la Porte d’Orléans, à 18 heures.

En traversant Paris en liesse, nous arrivons au Petit Palais, rendez-vous fixé par les Américains, non sans avoir échangé au niveau des Tuileries, des coups de feu avec quelques Allemands isolés qui cherchent à se dégager d’une action de la résistance.

Et le samedi 6 août au matin :

Henri de Mauduit et Gaston Antébi qui ont, avec le reste du groupe, fait le coup de feu contre les snipers, vont chercher Rémy. G. Antébi réussit à trouver un fleuriste et achète des fleurs que Rémy, de Mauduit, Antébi, Dranber, St Arnaud déposent en gerbe sur la tombe du soldat inconnu. Ce sont les premiers.

Dans l’après-midi, vers 16 heures, le Général de Gaulle et Bidault descendent, en tête d’un long cortège, les Champs-Elysées. Les 3 jeeps de Betbeze flanquent le cortège sur le côté gauche et sont contraints de faire feu de leurs mitrailleuses sur des tireurs embusqués sur les toits. Les jeeps accompagnent de Gaulle jusqu’à Notre-Dame où là encore ils doivent faire usage de leurs armes.

Pour l’histoire des fleurs, le colonel Rémy donne les détails suivants dans La ligne de démarcation :

H. de Mauduit se tourne vers moi :
- Vous vous rappelez notre arrivée, le soir du 25 août 1944 ?
- Très bien, dis-je.
- Et le matin du 26, quand nous sommes allés à l’Arc de Triomphe ?
- J’avoue que non.
- Comment vous avez oublié ? Ce matin-là, je suis allé vous trouver à votre bureau de l’hôtel Majestic, où vous commenciez d’installer les services spéciaux, pour vous dire que notre camarade Antébi vous demandait de venir avec nous déposer une gerbe.
- C’est extraordinaire ! J’ai d’habitude assez bonne mémoire, mais je ne me rappelle pas du tout cette affaire.
- Je puis vous dire que cette gerbe-là, c’est Antébi qui l’avait payée, et qu’elle lui avait coûté quinze cents francs.
- Une somme pour l’époque !
- Elle était très belle. Nous sommes partis à cinq et c’est vous qui la portiez. Je crois bien que vous avez été le premier officier de la France Libre à fleurir le tombeau du soldat inconnu au lendemain de la Libération de Paris.

Le maquis de Saint-Marcel

Le rôle des bataillons français de la SAS fut d’appuyer et même de précéder le débarquement : il s’agissait d’empêcher les 150 000 soldats allemands de joindre la Normandie. Ils devaient être largués derrière les lignes ennemies pour « occuper » les forces d’occupation par des sabotages, et des opérations de harcèlement, détourner leur attention des côtes de Normandie.

Mon père fut largué dans la nuit du 5 ou 6 juin 1944 sur la Bretagne. Il devait joindre l’un des deux centres de rendez-vous, connu sous le nom de code de « Dingson » (l’autre étant connu sous le nom de « Samwest »).

« Dingson » avait été formé tout près de St-Marcel, à la ferme de la Nouette, par Déplante et Marienne dès le 5 juin, et par 15 autres hommes. Les luttes ont commencé contre les Géorgiens de l’armée Vlassov. Bourgoin (largué dans la nuit du 10 au 11 juin) et Puech-Samson (largué dans la nuit du 9 au 10) furent accueillis par un nombre déjà bien plus important de FFI, près de 2000. Le 18 juin, les Allemands alertés attaquèrent, provoquant la débandade des FFL et FFI, trop légèrement armés, après une résistance acharnée qui dura de 8 heures du matin à 22 heures. Déplante alla s’installer plus au nord, à la base dite « Grog ».

Le 25 août, Bourgoin reçut l’ordre de nommer une escorte à des officiers de l’Intelligence Service qui s’acheminaient vers Paris libéré. Il s’agissait de participer aux derniers soubresauts de la libération de la capitale, d’ouvrir les prisons de la Gestapo et d’arrêter collaborateurs et espions allemands. Mon père fit partie des 20 hommes désignés pour l’escorte et fut ainsi de ceux qui défilèrent sur les Champs-Elysées, avec entre autres Noël Créau et Henry de Mauduit.

Ma Marraine Binette (Marguerite Bassett)

Laurent Laloup le lundi 16 juillet 2007 - Demander un contact

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Ø Henri de Mauduit, né en 1897. Il épouse Roberta, dite Betty Laurie, déportée à Ravensbruck, décédée en juillet 1975. Sans postérité.

Source : perso.orange.fr/maison.tillette  



Leur fils aîné, Henri, naquit au château. Le comte Henry de Mauduit (1897/1974) avait été gouverneur du Tchad. Il fut recueilli par Mountbatten en janvier 1941 sur son navire le Kelly, alors qu'il tentait de rejoindre les Forces Françaises Libres à Londres à bord d'une barque de pêche depuis Paimpol. Il avait épousé Roberta, dite Betty Laurie, déportée à Ravensbruck, décédée en juillet 1975, un an après son époux. Ils n’eurent pas d’enfant. Mais il y eut trois nièces, Françoise de Mauduit, Margaret Fersata et Catherine Herring et un neveu, John Herring.

www.antebiel.com/ 



extrait de "feu d'Afrique" de Hassoldt Davis 

Congo :
".. .le vent chaud me poussa dans le hall du rez-de-chaussée jusqu'au bureau du Lt Richard Roussy de Sales, chef des Services de Presse. Sales et Mauduit, bien que comtes dans la vieille France, ne portaient ici aucun titre : ils n'étaient que de simples travailleurs, attelés à la libération de leur pays...Sales avait sacrifié une carrière littéraire prospere ; Mme de Mauduit , une Américaine, avait été internée pau de temps après l'entrée en guerre des Etats-Unis. ..."

Laurent Laloup le lundi 16 juillet 2007 - Demander un contact

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