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René Joseph de Lajudie alias Lajonciere

René Joseph de Lajudie alias Lajonciere - son Livre ouvert !
 

Bulletin municipal janvier 2021 - Commune de THUMERIES  ou 

" Voici les noms des volontaires féminines présentes sur cette photo publiée sur le net.
Betty Loynes, Jacqueline Jost, Mrs Kidd, Monique de Rottschild, jeanne Lévêque, Suzanne kidd, Renée Mankel, Betty Mellors, CECILE FACQ, Jacqueline Baticle."

Source photo cadetfrancelibre.fr 

" Au 1er rang: Le Médecin-Lieutenant ROZENZWEIG, le Lieutenant BACONNAIS, L’aspirant LEHRMAN, le Sous-lieutenant TARAVEL, le capitaine FAURE, le chef d’escadron de CABROL, le chef de bataillon BEAUDOUIN, le capitaine de LAJUDIE, le lieutenant SOURIEAU, le lieutenant MOULIE, le lieutenant PICHON, le R.P. O’HARA

Au 2ème rang: L’adjudant CHADRIN, les auxiliaires féminines, le lieutenant MASSON"

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Laurent Laloup le samedi 20 janvier 2024 - Demander un contact

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Deuxième Photo « QG France Libre Officiers »

Revue de la Fondation de la France Libre juin 2022 

" Au second rang, en haut, de gauche à droite : le capitaine René de Lajudie, alias La Joncière, le sous-lieutenant Tartakover, alias Cartier, le pharmacien-lieutenant Jean Fustec, un sous-lieutenant d’infanterie coloniale non identifié et un aumônier non identifié. Au premier rang, en bas, de gauche à droite : un capitaine des FAFL non identifié, le capitaine Georges Tilgé, le médecin-lieutenant Robet, alias Kerguélen, et un lieutenant de vaisseau des FNFL non identifié."

Jacques Ghémard le jeudi 03 novembre 2022 - Demander un contact

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Première Photo « QG France Libre Dolphin Square »

Revue de la Fondation de la France Libre juin 2022 

Les clichés ci-dessous sont issus de la collection de Jean Fustec. Ils ont été numérisés en juillet 2000 et annotés par les soins d’Alain Godec.

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Jacques Ghémard le jeudi 03 novembre 2022 - Demander un contact

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Revue de la Fondation de la France Libre juin 2022 

" 9 : le capitaine René de Lajudie, alias La Joncière : né le 1er avril 1911 aux Philippines, décédé le 2 juin 1965 à Lyon (Rhône). Engagé le 1er juillet 1940 à Londres.
Affectations successives : FTGB, QG de Londres à Dolphin Square, 4e Bureau, aide de camp du général Ernest Petit, commandant adjoint de l’École des Cadets de Malvern (4 novembre 1941), directeur de l’instruction en remplacement du chef d’escadron Louis de Cabrol."

Laurent Laloup le jeudi 03 novembre 2022 - Demander un contact

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petite correction

Le capitaine de Lajudie n'est pas précisement chasseur a pieds mais chasseur alpin , en 1940 il commande la compagnie d'appui et de mitrailleuses du 9eme Bataillon de Chasseurs Alpins

Joseph de LAJUDIE le vendredi 21 août 2015 - Demander un contact

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ce que j'en sais

le capitaine de Lajudie a été promu avant la guerre et commande la compagnie de mitrailleuses du 9eme Bataillon de Chasseurs alpins lors de son annéantissement a Saint Valéry en Caux (haute Normandie) Il est blessé dans ces combats et est évacué sur l'angleterre. Sa femme n'en saura rien pendant longtemps . Affecté a l'Etat Major de de Gaulle , il va souffrir de l'ambiance politique qui y règne , certains étant plus concentrés sur leur avancement que sur la guerre en cours. Lajudie les a critiqués dans ses carnets dont l'un fut révélé et fut porté a la connaissance de l'un des supérieurs de Lajudie . De la son affectation a un poste de moindre importance mais ou René se plaira beaucoup : il renoue avec l'instruction et avec le Bahutage , car il est instructeur de sport . Certains cadets se plaidront d'exercices très difficiles que Lajudie leur avait fait faire , fort de son experience de chasseur alpin . il rentrera en france lors de la liberation et ce n'est qu'alors qu'il connaitra sa seconde fille née pendant la guerre .il aura par la suite plusieurs affectation en algerie et finira chef de Bataillon et chevalier de la légion d'honneur

joseph de Lajudie le mardi 31 mars 2015 - Demander un contact

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Rectification

René de Lajudie, le frère ainé de mon père n'est pas né en Indonésie mais à Manille aux Iles Philippines

de LAJUDIE Alain le dimanche 08 décembre 2013 - Demander un contact

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Cadets de la France libre, l'École militaire / André Casalis

" L'enseignement militaire est désormais placé sous la direction d'un assez remarquable personnage : le
capitaine René de La Joncière *, officier d'activé. le Chasseur à pied et combattant de la poche de Dunkerque. Il n'a pas encore choisi de se laisser pousser la barbe et n'a pas encore reçu le surnom de " Toto » dont il héritera plus tard. Ce petit capitaine, fraîchement promu, a été blessé pendant la campagne de France. Evacué et soigné par les britanniques, il a rallié la France Libre sans la moindre hésitation.
Tout d'abord affecté au 4e Bureau de l'état-major, il a été ensuite nommé aide de camp du général Petit. Il a vu de près et souffert des intrigues qui détournent quelques responsables de leurs véritables responsabilités. Ce n'est pas sans peine qu'il a obtenu le poste de Malvern qu'il convoitait. il vient de passer onze mois dans une ambiance bien particulière du Q.G. et ne cache pas son opinion quand il en parle avec A. Beaudouin :
« Le patron est rentré, mais il y a tellement à faire que la police intérieure et le nettoyage tant attendu passent au second plan. Nous avons ici affaire à une bande de... »

*Nom de guerre de René de Lajudie. Promotion « Bournazel », 1932-1934. Chasseur à pied. Blessé sur la
Somme en juin 1940, soigné en Grande-Bretagne, il s'engage dans les F.F.L. et est affecté au Q.G. de Londres "

Laurent le samedi 02 janvier 2010 - Demander un contact

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L'Ecole militaire des cadets de la France libre

" Initialement installé, en février 1941, dans l'un des bâtiments du collège, cet établissement improvisé s'inscrit dans la grande tradition de Saint-Cyr, dans l'esprit du Général. C'est bien là le sens de sa troisième visite, au mois de novembre, au cours de laquelle l'Ecole reçoit son fanion de ses mains. Elle est dirigée par le chef de bataillon André Beaudouin, secondé par le chef d'escadron Louis de Cabrol et René de Lajudie (promotion de Bournazel), directeur de l'instruction.

La première promotion de l'Ecole des Cadets sort en mai 1942, après seize mois de formation concentrée. Elle prend le nom de Libération et compte quinze aspirants : un effectif à l'échelle des unités combattantes de la France Libre d'alors ! C'est l'époque de la bataille de Bir-Hakeim ; Charles de Gaulle, souffrant, est remplacé par le général Paul Legentilhomme pour le baptême de la promotion.

L'Ecole se transforme après ce premier succès. Elle s'installe à Bewdley (Worcs), dans le cadre du prestigieux manoir de Ribbesford où elle sera chez elle. Elle a en effet besoin d'espace car, réputation aidant, elle se développe de mois en mois. Elle doit son excellence et son efficacité à un groupe de lieutenants-chefs de section où figurent Jacques Chambon (de la Plus Grande France), Jean Fèvre (de Libération), André Lehrmann (de Fezzan-Tunisie), Pierre Saindrenan (de la Charles de Foucauld), Robert Moulié, Louis Pichon (du Soldat Inconnu), Jean Sourieau (de la Plus Grande France) et Marius Taravel (de Libération)."

www.france-libre.net 

Laurent Laloup le jeudi 27 mars 2008 - Demander un contact

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