Maurice François Duclos alias Saint Jacques - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Maurice François Duclos alias Saint Jacques



Naissance : 23 aout 1906 - Neuilly-sur-Seine (92)

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : BCRA / Saint Jacques

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant-colonel

Décès à 74 ans - 23 février 1981 - Buenos Aires, Argentine

Frère de Marie Anne Duclos  , Jeanne Duclos  , Andrée Duclos  et Marie Louise Duclos 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 196513

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 16645


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Nom de code : BRUTUS - de Jean-Marc Binot, Bernard Boyer



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Laurent Laloup le mercredi 04 janvier 2023 - Demander un contact

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Dictionnaire amoureux de la Résistance De Gilles PERRAULT

Jacques Ghémard le mardi 21 janvier 2020 - Demander un contact

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"... Duclos poursuit sa mission et se procure de précieuses informations sur les moyens et la logistique des Allemands. A la fin d'août, il a rempli sa mission et il peut structurer fermement les assises de son réseau. A la mi-août 1940, le siège de l'organisation clandestine de Saint-Jacques est située place Vendôme à Paris, au siège de la "société Duclos", une société familiale de courtiers assermentés au tribunal de commerce de la Seine. Son cousin André Visseaux et Lucien Feltesse, des employés de l'entreprise, rentrent dans le tout jeune réseau. Le recrutement d'hommes et de femmes est assez rapide, fondé sur l'amitié et la confiance de familiers ou de très proches. Duclos, dont le subordonné est Charles Deguy, est directement à la tête de trois sous-réseaux : le sien, ceux de Raymond Feltesse et de Jean Vérines. ..."

Laurent Laloup le vendredi 03 mai 2019 - Demander un contact

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Quel parcours !

Je découvre le nom de Maurice Duclos à la lecture du livre de Philippe Bourdrel "Les cagoulards dans la guerre ". Au delà de l'itinéraire incroyable de cet homme d'exception c'est sa clairvoyance dans l'engagement spontané à la résistance qui fascine. Ceci en référence aux jeunes années de cagoulard et son environnement fraternel extrémiste. Maurice Duclos à choisi le "bon camp" spontanément ce qui n'a pas été le cas d'Eugene Deloncle, de Jacques Corrèze, et de tant d'autres. Ce n'est pas une question de courage, de capacités intellectuelles et physiques, car la majorité de ces hommes hyperactifs d'avant guerre n'en manquaient pas. Le mystère demeure même si j'imagine un point d'éducation, un environnement amical, une rencontre déterminante à un moment crucial  ?
C'est une question majeure pour ma génération de savoir si nous nous serions engagés du "bon côté".
Enfin peut on m'expliquer pourquoi Maurice Duclos s'exile en Argentine après guerre alors qu'il a toute l'énergie et la légitimité pour participer à la reconstruction ?
Aux grands hommes la Patrie reconnaissante

Stéphane Boudon-Vanhille le samedi 28 décembre 2013 - Demander un contact

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Croix de Guerre norvégienne

Liste over tildelinger av Krigskorset :

41 Maurice Duclos Frankrike Kaptein 1942

no.wikipedia.org 

Jacques Ghémard le vendredi 08 janvier 2010 - Demander un contact

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Nightingale in the Storm Par Monique Sisich

Laurent le mardi 29 septembre 2009 - Demander un contact

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Aux services de la République : Du BCRA à la DGSE - Claude Faure

"Chargés d'une mission de renseignement, Boris Beresnikoff (Corvi-sart) et Maurice Duclos (Saint-Jacques) rejoignent la métropole. Au bout de quelques semaines, aidé par Jean Vérines, Raymond Feltesse et Charles Deguy, Maurice Duclos met en place le réseau Saint-Jacques, qui deviendra une importante source d'informations pour le SR français. Entre-temps, le Premier ministre britannique Winston Churchill et le général de Gaulle paraphent, le 7 août, un texte portant officiellement création d'une force française militaire, soutenue matériellement et financièrement par le gouvernement britannique. Quatorze jours plus tard, le chef de la France libre est condamné à mort par contumace par le gouvernement de Vichy."

laurent le lundi 17 août 2009 - Demander un contact

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www.defense.gouv.fr 



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Laurent Laloup le samedi 16 mai 2009 - Demander un contact

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Mémoires du chef des services secrets de la France libre

Jean-Louis Crémieux-Brilhac & Colonel Passy
Odile Jacob 2000

" Personne ne se connaissait au sein de ce grouillement d'êtres, venant de tous les horizons, qui s'étaient retrouvés à Londres au quartier général delà France Libre. Seuls ceux qui, comme moi, revenaient de Norvège avaient, pour les unir, quelques souvenirs communs ; seuls aussi, parmi tous les autres, ils avaient dans le cœur la certitude tenace de n'avoir point été vain­cus. Ce fut parmi les officiers et les sous-officiers sans troupe que, au hasard de la bataille, j'avais rencontrés pendant les précédentes semaines et que je reconnus dans une masse de nouveaux visages, que je choisis mes premiers collaborateurs : Lagier, petit lieutenant de chasseurs, ronchonneur mais précis ; Duclos, le géant cagoulard, sympathique et jovial, gros mangeur, gros buveur, coureur de filles, courageux comme un lion et dont jamais on ne comprendra les raisons qui le poussèrent un jour à conspirer, car il est né pour le commerce et déteste la politique ; Beresnikoff, lieutenant d'artillerie rosé et blond, qui parle cinq langues à la perfection. Il est timide et rarement on l'entend ; amoureux du grand air, il va bientôt souffrir de rester enfermé entre les quatre murs d'un bureau sombre et triste.
À ces trois officiers se joignirent trois sous-officiers. Lecot, d'abord, grand garçon brun et sympathique, intelligent et travailleur, qui deviendra tres vite un rouage essentiel de la machinerie naissante ; discret et soli-ttve, il possède d'instinct les qualités voulues pour un service secret. Martin, dont je fis mon secrétaire et mon souffre-douleur. Au cours de ces années, il me suivra toujours et partout, loyal et fidèle, et sera ma mémoire car, seul, il saura retrouver aisément les papiers que je lui demanderai dans le fatras gigantesque des documents qui, peu à peu, s'amocelèrent. Enfin, Barnett, mince et barbu, montera devant mon service une garde vigilante jusqu'au jour où l'aventure l'appellera en Afrique, irresistible attirance du crocodile qui, un matin, le dévora en quelque riviere au nom inconnu.
Voilà pour le 2e bureau. Quant au troisième, que j'abandonnai d'ailleurs peu après, le capitaine de Hautecloque en assuma la direction. Un capitaine Vivier me fut adjoint pour quelques jours, puis disparut en météore et je ne le revis que bien des mois plus tard... sous le britannique."

Laurent Laloup le samedi 03 janvier 2009 - Demander un contact

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www.deols-tourisme.fr 

"Commune de Saint-Aubin
L’ancien aérodrome du Fay
A sept kilomètres au sud-est de la ville d’Issoudun (Indre) se trouve l’emplacement d’un ancien aérodrome militaire de l’été 1940 Ce terrain situé au lieu-dit Le Fay, sur la commune de Saint-Aubin et contigu au village de Ségry fut utilisé à plusieurs reprises pour des opérations clandestines.
La première opération eut lieu dans la nuit du 28 janvier 1942. Vers 22h05 heure anglaise, le capitaine John Nesbitt-Dufort dépose, dans le cadre de l’opération BERYL II, sur l’ancien terrain d’aviation du Fay un agent (André Simon) et prend deux passagers avec bagages : Maurice Duclos (alias “Saint-Jacques ”), un des officiers de l’Etat-major personnel du général de Gaulle chargé d’établir un réseau de renseignement en France occupée et un agent de liaison, le lieutenant Mitchell envoyé précisément afin d’assurer le retour en Angleterre dans de bonnes conditions de “Saint-Jacques ”.
L’atterrissage d’urgence au Coudray (Cher) : sur le chemin du retour, qui passe au-dessus de la Zone Occupée, une mince couche de glace commença à se former sur le pare-brise et le bord d’attaque de l’aile du Lysander. Tenant compte de la qualité de ses passagers ainsi que de leurs bagages, son carburant diminuant, et, ne réussissant pas à franchir le front froid qui lui barrait l’horizon vers l’ouest le pilote trouva préférable de revenir en France non occupée, afin d’effectuer un atterrissage forcé aux environs de Châteauroux. Ne souhaitant pas se poser à nouveau sur le terrain du Fay et pensant être à l’ouest d’Issoudun, le pilote tente dans l’obscurité un atterrissage d’urgence en plein champ. Il se pose le 29 janvier 1942, à 2h10 du matin heure anglaise, en zone libre, au lieu-dit Le Coudray (commune de Civray dans le département du Cher). Malheureusement, faute d’avoir pu apercevoir une route et le fossé qui la précède, l’atterrissage se termine en pylône
Dans la nuit du 28 au 29 mai 1942, un atterrissage organisé pour le compte de l’Intelligence Service (I.S.) a lieu sur le terrain de l’ancien aérodrome du Fay, sous la responsabilité du réseau Jade Fitzroy, dont le chef, Claude Lamirault, assura lui même le balisage. Mais le jeune pilote, le capitaine A. John Mott, dépasse la limite fixée et embourbe son Lysander (V9595), dans un terrain voisin récemment labouré, à l’extrémité nord du site, plus précisément à la pointe sud-ouest du bois de Théry.
Le pilote, son unique passager Alex Nitelet (radio du réseau d’évacuation belge Pat relevant du MI 9) et Claude Lamirault réussissent à quitter rapidement les lieux, sans toutefois parvenir à incendier l’avion. Moins chanceux l’adjoint de Lamirault, Pierre Hentic (alias “Tréllu ”) qui venait de donner ses papiers d’identité au pilote John Mott pour l’aider dans sa fuite, est intercepté par les gendarmes du poste de gardiennage du terrain d’aviation, gardiennage qui avait été renforcé suite au passage sur place ce même jeudi 28 mai 1942 en matinée du Maréchal Pétain.
Le terrain de l’ancien aérodrome militaire du Fay, est à nouveau utilisé dans la nuit du 30 avril au 1er mai 1944, pour l’opération ORGANIST. “L’agent responsable du terrain est Alexandre “Shaw ”. Les deux lysander pilotés respectivement par le capitaine Bob Large et le lieutenant John-Perry Alcock déposent trois agents dont Dupuis (alias “ Pharaon ”) et en embarquent trois dont Violette Szabo et Philippe Liewer."

Laurent Laloup le mardi 02 septembre 2008 - Demander un contact

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" Jack Mansion partit lui aussi en juillet et rapporta en septembre les cartes du dispositif allemand en Bretagne. En août, ce fut le tour de Maurice Duclos et d'Alexandre Beresnikoff qui, comme tous les premiers membres du 2e Bureau de la France Libre, prirent pour pseudonymes des noms de stations du métro parisien, Saint-Jacques et Corvisart, puis du producteur de cinéma Gilbert Renault, qu'on appela plus tard Rémy, qui allait créer le réseau le plus important et peut-être le plus actif de tous les réseaux qui opérèrent en France et qu'il appela "Confrérie Notre-Dame" (CND)."

www.france-libre.net 

Laurent Laloup le samedi 24 novembre 2007 - Demander un contact

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" Arrivé à Paris, Saint-Jacques prend contact avec quelques amis sûrs. Charles Deguy sera son adjoint et dirigera le P.C. Marcel Halbout s’occupera de la Normandie. Lucien Feltesse (alias Jean Boulard) utilisera ses relations parmi les Anciens Combattants belges et sera chargé du Nord, Pas-de-Calais, Somme, et éventuellement la Belgique.

Michel Louet (alias Rivière) aura plus particulièrement pour mission les renseignements politiques et administratifs ainsi que la propagande.

Jacques Lurot (alias Donald) le mettra en contact avec le lieutenant-colonel Félix Brunau (alias Nardan) qui dirigera la région parisienne, la Seine-et-Oise, la Seine-Maritime sera chargé plus spécialement des sabotages et des coups de main.

André Visseaux enfin qui, après avoir été blessé à Doullens et fait prisonnier, a pu se faire libérer en prenant faussement la qualité d’infirmier. André Visseaux apportera à Saint-Jacques le concours du commandant Vérines, commandant militaire des Invalides qui, fort de ses relations dans la Garde républicaine et la gendarmerie, se chargera de la formation de cadres pour la reprise éventuelle du combat, et pourra, grâce à ces mêmes relations, obtenir des renseignements importants dans pratiquement toute la zone occupée."

www.france-libre.net 

Laurent Laloup le mercredi 29 août 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mercredi 04 janvier 2023

 

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