| | | | | Un Français Libre parmi 62922 | | | Charles Louis Félix Dubois de la Patellière | |
Naissance : 12 septembre 1915 - La Baule-Escoublac (44)
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en octobre 1940
Affectation principale : Terre Leclerc - Afrique / RTST
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant
Décès à 63 ans - 7 mai 1979 - Sens (89)Frère d'Yvonne Dubois de la Patellière
Cousin de Guy Dubois de la Patellière
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 194651
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 16515 |
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Charles Louis Félix Dubois de la Patellière - son Livre ouvert ! Date d'engagement de Charles de la Patellière dans les FFL Charles de La Patellière, un de 6 évadés sur la Petite Anna avec mon père Guy Vourc'h, est arrivé à Milfordhaven le 31 octobre. Son engagement formel dans les FFL serait plutôt en novembre 1940 en non en octobre 1940.
Dommage de ne pas trouver dans cette fiche biographique plus d'infos sur son parcours dans les FFL. Et la date de sa mort n'est pas renseignée . Cela signifie-t-il qu'il est toujours en vie ? Jean-Guy Vourc'h le mercredi 18 avril 2018 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Seul l'amiral Chaline a indiqué des dates de décès dans sa liste et donc pour les autres il faut trouver ces dates une à une
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Charles DUBOIS de LA PATELLIÈRE
Né le 12 septembre 1915 - La Baule-Escoublac (44)
Décédé le 7 mai 1979 - Sens (89) , à l’âge de 63 ans
Lieutenant d'Infanterie aux Forces Françaises libres de 1940 à 1944 - Administrateur Colonial Laurent Laloup le dimanche 03 décembre 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Rectifications Bonjour,
Je suis l'épouse de Denys de la Patellière, cinéaste, décédé en juillet dernier.
Je voudrais rectifier quelques erreurs relevées ci-dessous:
- Charles Dubois de la Patellière était un cousin de mon mari et donc aussi celui de Guy Dubois de la Patellière (frère de mon mari) parti rejoindre de Gaulle et mort à Fort-Lamy en 1941.
Mon mari avait deux autres frères mobilisés, Félix, tué en 1940 dans un bombardement de train et Yves, prisonnier, qui s'est échappé mais n'a pas rejoint Leclerc et n'est pas mort au combat.
Merci, Florence de la Patellière Florence de la Patellière le mercredi 20 novembre 2013 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Guy Dubois de la Patelliere
Félix
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"Ma route" du capitaine Raymond Fresnois " 26 novembre 1941
Hier soir, avons couché sous la tente. Sommes maintenant installés dans une case. Maurice et moi faisons popote avec le sergent Leroux (ancien bagnard).
Sommes affectés à la 2ème compagnie de Découverte et combat sur des voitures avec mitrailleuses. Ai retrouvé là de la Pattelière qui est aspirant. Il m'a demandé dans son peloton. Je serai directement sous les ordres de l'aspirant Allaire, 2ème patrouille. Mon équipage se compose d'un Européen 2ème classe Gardés (ancien bagnard) un brave type, du Cal Nadji (Sara) des Tirailleurs Maydo, Bialta et du chauffeur camerounais Djanga.
Préparons une expédition sur Mourzouk probablement, le départ est imminent." Laurent Laloup le jeudi 06 novembre 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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deux frères FFL Lu plus haut :
"Le 21 juin, son frère cadet, officier d'active, part rejoindre le général de Gaulle, il sera un des premiers officiers à être jugé et condamné à mort par un tribunal militaire aux ordres du gouvernement de Vichy. Son troisième frère fait prisonnier, s'enfuit et rejoint les troupes du général Leclerc : il mourra au combat"
En effet, il y a deux "Patelliere " FFL, Charles et Guy :
Extrait de Bir Hakeim, du général Koenig :
"Ou encore comme ce jeune lieutenant Guy de La Patellière que sa femme, si ma mémoire ne me fait pas défaut, vint accompagner sur les quais de Marseille pour l'aider dans sa tentative d'évasion et dont la présence attestait qu'elle aussi acceptait le sacrifice du matin : elle ne connut jamais les joies que la vie lui réservait, car son mari succomba très tôt sur la terre d'Afrique. .?" Laurent Laloup le lundi 27 août 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Deux cousins, donc
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Frère du cinéaste Denys de la Patelliere ? "Denys de la Patellière, est né en 1921 dans une famille nantaise
A partir de 1924, il vit à La Rochelle, pays de sa mère, où il fait ses études au lycée Fénelon. Après avoir préparé St Cyr au lycée de Poitiers, il se présente au concours d'entrée en mai 1940. Le 31 du même mois, son frère aîné est tué à la guerre. Le 21 juin, son frère cadet, officier d'active, part rejoindre le général de Gaulle, il sera un des premiers officiers à être jugé et condamné à mort par un tribunal militaire aux ordres du gouvernement de Vichy. Son troisième frère fait prisonnier, s'enfuit et rejoint les troupes du général Leclerc : il mourra au combat. En 1941, Denys de la Patellière, comme tous ceux de sa classe d'âge, est appelé aux chantiers de jeunesse, il en est radié, puis expulsé pour gaullisme en novembre 1942. De retour dans la région de Nantes, il est convoqué par le S.T.O. pour aller travailler en Allemagne. Il ne s'y rend pas et comme tous les réfractaires, disparaît et va vivre dans la clandestinité, jusqu'à son engagement volontaire dans l'Armée de Libération.
Il retourne à la vie civile en septembre 1945. " Laurent Laloup le dimanche 26 août 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Revue de la Fondation de la France libre N°17 "... Enfin, dans la soirée du 20 octobre 1940, Bernard Scheidhauer, accompagné de cinq camarades : les frères Guy et Jean Vourc'h, Charles de La Patellière, Robert Alaterre, et Joseph Ferchaud, réussit à embarquer à Douarnenez, à bord d'une pinasse toute neuve de douze mètres de long, pontée, avec deux voiles et un moteur, la Petite Anna (Dz 3388). Mais la traversée allait manquer de devenir une tragédie... Le bateau avait été livré avec, dans son réservoir, cent quatre-vingt litres d'essence, ce qui constituait une quantité juste suffisante pour atteindre la cote anglaise. Par sécurité, il eût fallu disposer d'un peu plus de carburant car on devait compter avec les impondérables. Toutefois, si on avait pu disposer à bord d'un marin expérimenté, capable d'utiliser la voilure à bon escient, la quantité d'essence eût sans doute suffi. Mais, dans l'impatience de partir, les jeunes gens firent abstraction de ces considérations et passèrent outre. De plus, Bernard Scheidhauer avait fait des essais de moteur avec Marcel Laurent, mareyeur et patron de la Petite Anna. Mais, contrairement à ce que Bernard déclara à ses camarades, ces essais durèrent plusieurs heures, et non un quart d'heure. Ce fait allait avoir, plus tard, des conséquences dramatiques.
....
Vers onze heures, ils aperçurent un énorme rocher solitaire et désolé, sans trace de vie, qu'ils doublèrent. Ils faillirent sombrer alors, car la Petite Anna se trouva au milieu d'écueils sur lesquels une mer monstrueuse écumait ; d'énormes remous secouant la pinasse, menaçaient à tout moment de la faire chavirer. Les passagers crurent leur fin arrivée, et Robert Alaterre raconta par la suite que Guy Vourc'h se mit à réciter la prière des agonisants. C'est précisément au moment où ils avaient perdu tout espoir que, du bouillonnement de la mer en furie, surgit un cargo britannique, le SS Cairngorn, intrigué par la présence, en ces lieux inhospitaliers, d'un si petit navire semblant désemparé. L'accostage se réalisa dans des conditions difficiles. Le capitaine et l'équipage britannique leur réservèrent un accueil chaleureux et s'évertuèrent à apporter le réconfort que nécessitait leur état ; deux étaient scorbutiques, un autre commençait à perdre la raison...
A la tombée de la nuit du 31 octobre, ils entrèrent dans le port de Milford Haven, terme de leur longue randonnée, mais aussi d'un martyre de onze jours ! " Laurent Laloup le samedi 25 août 2007 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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