Bernard William Scheidhauer - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Bernard William Scheidhauer



Naissance : 28 aout 1921 - Landau, Allemagne

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en octobre 1940

Affectation principale : FAFL / Royal Air Force

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sous-lieutenant

Décès à 22 ans - 29 mars 1944 - entre Saarbrücken et Mannheim, Allemagne

Mort pour la France

Frère de Ghislaine Scheidhauer 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 539157

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 46720


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Bernard William Scheidhauer - son Livre ouvert !
 

Spitfire EN830

La photo de son avion en vente sur ebay 



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bertrand le dimanche 30 avril 2023 - Demander un contact

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Stèle B. Scheidhauer à Jersey

Monument à l'emplacement du crash de l'avion de Bernard Scheidhauer sur l'Ile de Jersey



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Bauduin Philippe le mercredi 26 juillet 2017 - Demander un contact

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Execution Location

Location of execution 29 March 1944 (for details see  )



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Dr.Silvano Wueschner le dimanche 16 juillet 2017 - Demander un contact

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Un mémorial à Ramstein

Samedi 1er juillet 2017, l’inauguration d’une stèle à la mémoire du Squadron Leader Roger Bushell de la Royal Air Force (RAF) et du Sous-lieutenant Bernard Scheidauher des Forces aériennes françaises libres (FAFL) a donné lieu à une cérémonie franco-britannique à proximité de la base aérienne de Ramstein en Allemagne.
La cérémonie s’est déroulée à l’endroit même où les deux hommes ont été assassinés par la Gestapo le 29 mars 1944 après s’être échappés du Stalag Luft III à Żagań en Pologne pendant la Grande Évasion.
La citation à l'ordre de l'Armée de l'Air du Sous-lieutenant Scheidauher, à la fin du mois de novembre 1942, qualifiait le jeune homme de :

“Jeune aspirant plein d'ardeur, dont le courage et le mépris absolu du danger lui avaient mérité l'admirative estime de ses camarades d'escadrille britannique. A accompli vingt-cinq missions offensives et trente-huit missions défensives. S'est offert volontairement pour exécuter une mission particulièrement périlleuse, au cours de laquelle il a disparu, après s'être signalé une fois de plus par ses attaques pleines de fougue et de cran, sur des voies de communications importantes.
Cette citation comporte l'attribution de la Croix de guerre avec palme de bronze“.
Extrait d'un article dont la source est: Armée de l'air - Droits : © Armée de l’air, ainsi que la photo.



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FROMMER Jean-Loup le mercredi 12 juillet 2017 - Demander un contact

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Une pensée pour Bernard Scheidhauer, trop peu connu en France.
Je suis le petit-neveu de Mike Casey, son compagnon de détention et d'infortune. Le hasard veut que je sois à moitié français et à moitié anglais...
Puissent ces hommes rester vivants dans nos mémoires.

Jerome Casey le lundi 15 décembre 2014 - Demander un contact

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Bernard Scheidhauer

Extrait de "Bretagne aux ailes brisées-FAFL 1940-1945" de Yann Gwegen :

Laurent Laloup le mardi 22 avril 2008 - Demander un contact

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forum.12oclockhigh.net 

"Croix de Lorraine sur Dieppe" Yves Morieult, Aéro Editions

Commandant Emile (called François), Marie, Léonce, Fayolle
Capitaine Maurice Claisse, Free French, not South African, Awarded DFC
Capitaine René Mouchotte, awarded DFC, KIA 27/08/43 as CO of N° 341 Sqn
Lieutenant de Vaisseau Roland Béchoff
Lieutenant de Vaisseau André Gibert
Lt Jacques-Henri Schloesing, awarded DFC
F/O Roland Claude, Free French, N° 118 Sqdn, MIA 14/07/1943 Enseigne de Vaisseau N° 807 Squadron
F/O Bernard Fuchs, Free French, N° 19 Sqn, awarded DFC
Sous-lieutenant Michel Boudier, awarded DFC, POW 07/1944 Capitaine N° 341 Sqn.
Sous-lieutenant Pierre Laureys (called Kennard), awarded DFC
Sous-lieutenant Olivier Massart, awarded DFC, POW 13/03/45 Capitaine & OC N° 340 Sqn
Sous-lieutenant André Moynet
Sous-lieutenant Marcel Renaud
Sous-lieutenant Henri de Bordas, Free French, not South African
Sous-lieutenant Bernard Scheidhauer, Free French, not South African, POW 18/11/1942 N° 131 Sqn, murdered 30/3/44
P/O Jacques Andrieux, Free French, N° 130 Sqn, awarded DFC
P/O Roland Leblond DFM, Free French, N° 130 Sq
P/O Michel Bernard, Free French, N° 232 Sqn, awarded DFC
P/O Godefroy Le Gal, Free French, N° 154 Sqn
P/O Henri de Molènes, Free French, N° 91 Sqn, KIFA 27/08/1942 N° 91 Sqn
P/O Pierre, René Pabiot, Free French, N° 610 Sqn
P/O Maurice, Marie, Pierre Halna du Fretay BEM
P/O Maurice, Raymond Gaudard, KIFA 02/09/1942
P/O Jean Maridor, awarded DFC, KIA 03/08/44 F/L N° 91 Sqn.
P/O Jacques, Henri Joubert des Ouches, MIA 06/06/1944 Lt N° 345 Sqn
P/O René Royer (not Rogers) KIFA 03/09/1944 Lt N° 341 Sqn
P/O Paul-Marie Borossi, MIA 29/02/1944 Lieutenant N° 340 Sqn
Maître Gaston Kerlan
W/O Jean Buiron
F/Sgt Gilbert, Marc, Marcel Vaillant, KIFA 27/10/1943 Sous-lieutenant N° 340 Sqn
F/Sgt Fernand Horvath, Free French, N° 165 Sqn
Sergent-Chef Christian Demas, MIA 21/05/1944 Capitaine N° 340 Sqn
Sergent Marcel Bouguen, Awarded DFC KIFA 09/03/1944 Capitaine N° 341 Sqn
Sergent Marcel Reeve, KIFA 02/05/1944 Sous-lieutenant N° 340 Sqn
Sergent Raymond Taconet
Sgt André, Paul Vilboux
Sgt Arnaud, Charles, Marie de Saxcé, KIA 10/04/1945 Sous-lieutenant N° 341 Sqn"

Laloup laurent le jeudi 27 mars 2008 - Demander un contact

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Revue de la Fondation de la France libre N°17

" Breveté pilote en avril 1942, il passe par la 52 Operational Training Unit d'Aston Down avant de rejoindre, le 21 juin, en compagnie de son camarade Henri de Bordas, le 242 Squadron à Drem, en Ecosse. Au vu de ses brillants résultats, Bernard est promu aspirant.
Il participe à la fameuse opération Jubilee sur Dieppe, le 19 août 1942, qui se soldera malheureusement par la mort de cinq pilotes français.
Début septembre 1942, lorsque le 242 Sq part pour Malte, Bernard est muté, toujours avec Henri de Bordas, au 131 Squadron, commandé par le Squadron Leader Wickham, à Westhampnett.
Le 18 novembre 1942, à 14hl5, les deux Français partent pour une nouvelle mission dite Rhubarb, c'est-à-dire du mitraillage sur la voie ferrée de Bayeux à Cherbourg, en compagnie des Flying Officer Jackson et SergeantAppleton-Bach. La mission terminée, ils doivent prendre le cap du retour en virant autour du hangar à dirigeables au sud de Cherbourg. Mais, à partir de cet instant, l'aspirant de Bordas s'aperçoit que son équipier a quitté la formation. Ses appels à la radio restent sans réponse, et il doit rentrer seul à son terrain. Dès son retour, l'aspirant de Bordas rédige son compte rendu :
« Cette mission fut accomplie avec succès. Nous avons endommagé quatre locomotives, une de celles-ci ayant explosé. Pendant toute l'opération nous avons subi une DCA violente. Ayant épuisé mes munitions, je décidai de regagner la base. L'aspirant Scheidhauer se trouvait alors à 200 mètres environ sur ma gauche. Je le prévins par radio du changement de direction et il me confirma avoir reçu mon message. Ayant pris le nouveau cap et ne le voyant plus, je l'appelai à nouveau. Par suite de forts parasites, je ne reçus pas de réponse compréhensible. Je revins alors au point où nous avions effectué le virage. Je gagnai un peu de hauteur pour rendre les transmissions meilleures et lui permettre de mieux me voir. Mes appels restèrent sans réponse. J'effectuai plusieurs larges cercles dans le but de le retrouver. Ne voyant aucune trace de lui, je revins à ma base. J'atterris à 15 h 30. Il est possible que pendant la dernière attaque effectuée sur un train de marchandise dans une gare de triage, l'aspirant Scheidhauer ait été touché par la DCA extrêmement violente à cet endroit».
En fait, on saura plus tard que le Spitfire de Bernard Scheidhauer, vraisemblablement touché lors de l'attaque en gare de Carentan, n'a pu retraverser la Manche. Il a été obligé de se poser en panne d'essence sur l'île de Jersey, occupée par les Allemands depuis le 30 juillet 1940."

Laurent Laloup le samedi 25 août 2007 - Demander un contact

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Revue de la Fondation de la France libre N°17

"... Enfin, dans la soirée du 20 octobre 1940, Bernard Scheidhauer, accompagné de cinq camarades : les frères Guy et Jean Vourc'h, Charles de La Patellière, Robert Alaterre, et Joseph Ferchaud, réussit à embarquer à Douarnenez, à bord d'une pinasse toute neuve de douze mètres de long, pontée, avec deux voiles et un moteur, la Petite Anna (Dz 3388). Mais la traversée allait manquer de devenir une tragédie... Le bateau avait été livré avec, dans son réservoir, cent quatre-vingt litres d'essence, ce qui constituait une quantité juste suffisante pour atteindre la cote anglaise. Par sécurité, il eût fallu disposer d'un peu plus de carburant car on devait compter avec les impondérables. Toutefois, si on avait pu disposer à bord d'un marin expérimenté, capable d'utiliser la voilure à bon escient, la quantité d'essence eût sans doute suffi. Mais, dans l'impatience de partir, les jeunes gens firent abstraction de ces considérations et passèrent outre. De plus, Bernard Scheidhauer avait fait des essais de moteur avec Marcel Laurent, mareyeur et patron de la Petite Anna. Mais, contrairement à ce que Bernard déclara à ses camarades, ces essais durèrent plusieurs heures, et non un quart d'heure. Ce fait allait avoir, plus tard, des consé­quences dramatiques.
....
Vers onze heures, ils aperçurent un énorme rocher solitaire et désolé, sans trace de vie, qu'ils doublèrent. Ils faillirent sombrer alors, car la Petite Anna se trouva au milieu d'écueils sur lesquels une mer monstrueuse écumait ; d'énormes remous secouant la pinasse, menaçaient à tout moment de la faire chavirer. Les passagers crurent leur fin arrivée, et Robert Alaterre raconta par la suite que Guy Vourc'h se mit à réciter la prière des agonisants. C'est précisément au mo­ment où ils avaient perdu tout espoir que, du bouillonne­ment de la mer en furie, surgit un cargo britannique, le SS Cairngorn, intrigué par la présence, en ces lieux inhospitaliers, d'un si petit navire semblant désemparé. L'accostage se réalisa dans des conditions difficiles. Le capitaine et l'équipage britannique leur réservèrent un accueil chaleureux et s'évertuèrent à apporter le réconfort que nécessitait leur état ; deux étaient scorbutiques, un autre commençait à perdre la raison...

A la tombée de la nuit du 31 octobre, ils entrèrent dans le port de Milford Haven, terme de leur longue randonnée, mais aussi d'un martyre de onze jours ! "

Laurent Laloup le samedi 25 août 2007 - Demander un contact

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Revue de la Fondation de la France libre N°17

" Bernard Martial William Scheidhauer est né le 28 août 1921, à Landau (Palatinat rhénan, en Allemagne). Il est le plus jeune de sept enfants. Son père, le colonel Michel Scheidhauer, est alors à la tête du 1er Bataillon du Régiment d'Infanterie du Maroc.
...
Enfin, dans la soirée du 20 octobre 1940, Bernard Scheidhauer, accompagné de cinq camarades : les frères Guy et Jean Vourc'h, Charles de La Patellière, Robert Alaterre, et Joseph Ferchaud, réussit à embarquer à Douarnenez, à bord d'une pinasse toute neuve de douze mètres de long, pontée, avec deux voiles et un moteur, la Petite Anna (Dz 3388). Mais la traversée allait manquer de devenir une tragédie... Le bateau avait été livré avec, dans son réservoir, cent quatre-vingt litres d'essence, ce qui constituait une quantité juste suffisante pour atteindre la cote anglaise. Par sécurité, il eût fallu disposer d'un peu plus de carburant car on devait compter avec les impondérables. Toutefois, si on avait pu disposer à bord d'un marin expérimenté, capable d'utiliser la voilure à bon escient, la quantité d'essence eût sans doute suffi. Mais, dans l'impatience de partir, les jeunes gens firent abstraction de ces considérations et passèrent outre. De plus, Bernard Scheidhauer avait fait des essais de moteur avec Marcel Laurent, mareyeur et patron de la Petite Anna. Mais, contrairement à ce que Bernard déclara à ses camarades, ces essais durèrent plusieurs heures, et non un quart d'heure. Ce fait allait avoir, plus tard, des consé­quences dramatiques.
....
Vers onze heures, ils aperçurent un énorme rocher solitaire et désolé, sans trace de vie, qu'ils doublèrent. Ils faillirent sombrer alors, car la Petite Anna se trouva au milieu d'écueils sur lesquels une mer monstrueuse écumait ; d'énormes remous secouant la pinasse, menaçaient à tout moment de la faire chavirer. Les passagers crurent leur fin arrivée, et Robert Alaterre raconta par la suite que Guy Vourc'h se mit à réciter la prière des agonisants. C'est précisément au mo­ment où ils avaient perdu tout espoir que, du bouillonne­ment de la mer en furie, surgit un cargo britannique, le SS Cairngorn, intrigué par la présence, en ces lieux inhospitaliers, d'un si petit navire semblant désemparé. L'accostage se réalisa dans des conditions difficiles. Le capitaine et l'équipage britannique leur réservèrent un accueil chaleureux et s'évertuèrent à apporter le réconfort que nécessitait leur état ; deux étaient scorbutiques, un autre commençait à perdre la raison...
A la tombée de la nuit du 31 octobre, ils entrèrent dans le port de Milford Haven, terme de leur longue randonnée, mais aussi d'un martyre de onze jours !
...
A 5 heures du matin, une fois l'évasion découverte et l'alerte donnée, c'est le branle-bas général. La chasse à l'homme s'organise tout aux alentours. La Gestapo arrive et s'empresse de bloquer les frontières. Les évadés se font prendre l'un après l'autre. Sur soixante-seize qui avaient réussi à s'échapper du camp de Sagan, soixante-quatorze seront repris. Deux aviateurs seulement parviendront à rejoindre l'Angleterre. Bernard et ses deux compagnons sont repris à Hirschberg, tout près de la frontière tchèque.
Tous les évadés repris sont rassemblés dans une prison de la Gestapo, à Gôrlitz, à cinquante kilomètres de Sagan. Un jour, on remarque une inscription « S » sur la porte de la prison. Tous supposent qu'il s'agit de « S » pour Sagan. Hélas, il s'agit de « S » pour Schiessen -.fusiller.
D'ailleurs, ne leur avait-on pas dit que tout évadé repris habillé en civil, serait passé par les armes ! Bien sûr que la Convention de Genève reconnaissait que l'évasion était un droit pour tout prisonnier, mais la Gestapo n'en tenait aucun compte.
Le lendemain, 30 mars 1944, les soldats allemands font monter dans des camions 50 prisonniers, encadrés par des SS. Les camions prennent la direction de la campagne où bientôt ils s'arrêtent. Et c'est le carnage... Les aviateurs sont abattus à la mitrailleuse. Bernard Scheidhauer est là, au milieu de ses camarades d'évasion. Leur liberté n'aura pas duré longtemps..."

Laurent Laloup le samedi 25 août 2007 - Demander un contact

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Extrait de la Revue de la Fondation de la France libre

Laurent Laloup le samedi 25 août 2007 - Demander un contact

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Bernard Scheidhauer and his memorial

I would welcome any further information on Bernard Scheidhauer, please feel free to email me. If you would like any further information on the Scheidhauer memorial please also feel free to contact me.

Kind regards

Ian

Ian Le Suuer le mardi 20 février 2007 - Demander un contact

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One of the Great Escapers

Extrait de : 

Légende de la photo : "Two of the Great Escapers, both Frenchmen, pictured (by the commandant!) at Stalag Luft III. On the left, Bernard Scheidhauer, paired up with Great Escape mastermind Roger Bushell. They reached Saarbrucken before being re-captured and shot, while Raymond Van Wymeersch (right) was briefly sent to Sachsenhausen Concentration Camp after recapture. "

Bernard Scheidhauer est à gauche

Laurent Laloup le mardi 26 décembre 2006 - Demander un contact

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"La grande évasion"

Extrait de : 

"Ian Le Sueur reports that a memorial to Bernard Scheidhauer was unveiled by his sister on September 17th 1999, the service was attended by over 300 people including members of his family, Free French Air Force veterans, and also Great Escape's Sydney Dowse (left) and Raymond Van Wymeersch (174 Free French Sqdn, shot down Hurricane IIc BP299 XP:U). The service ended with a fly past by a Spitfire MkVb and two Mirage 2000 of the French Air Force."

Laurent Laloup le mardi 26 décembre 2006 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le dimanche 30 avril 2023

 

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