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| Jean François Eugène Candy | |
Naissance : 25 janvier 1916 - Lyon (69)
Activité antérieure : militaire
Point de départ vers la France Libre : Moyen Orient
Engagement dans la France Libre : Palestine en septembre 1940
Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / spahis2e escadron de spahis
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sous-lieutenant
Décès à 26 ans - 24 octobre 1942 - El Himeimat, Egypte
Mort pour la France
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 103998
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 9289 |
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Jean François Eugène Candy - son Livre ouvert !
: La Croix Auteur : Groupe Bayard. Auteur du texte Éditeur : La Croix (Paris) notice.date : 1941-05-18 
Laurent Laloup le mardi 03 juillet 2018 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution Réponse : Marcel Boch est plus probablement Ernest Bach parti de Syrie le 15 juillet 1940 avec Aldo Formento, Albert Mathioux, Gaston Gillis et Joseph Diaz. (Hypothèse confirmée par le fils d'Ernest Marcel Bach)
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Michel ABALAN (Carnet de Guerre) "Mercredi 11 novembre.
Messe pour les morts.
Le matin promenade avec Paccalet aux abords du camp, vu un vieil Hurricane.
L'après midi Hillion part avec sa "Jeep" emmenant Paccalet, Josse et Gens (?) pour faire de la récupération, comme ils sont déjà 4, je ne vais pas avec eux. Le soir ils ne sont pas de retour, au matin non plus. Un camion avec Arenti (?), parti à leur recherche retrouve la Jeep qui a sauté sur une mine avec une tombe sans nom à côté. Des Anglais travaillent par là au déminage expliquant que le conducteur (Hillion) a été tué, ... que Josse a eu la jambe arrachée, et Gens (?) n'est que légèrement atteint. L’équipe de secours enterre la jambe de Josse. Cela s'est passé à l'Himeimat piton à 15 km à l'Ouest du camp.
Vendredi 14 novembre.
Cérémonie religieuse et militaire sur la tombe d'Hillion, exhumé hier de son emplacement primitif puis placé à coté du SLt Caudy (?) du 2ème escadron tué au cours d'opérations" François ABALAN le lundi 16 avril 2018 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution Réponse : Candy 
Paccalet
Josse (mort le lendemain)
Pour Gens je ne trouve pas
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Vanites, ou Les Souvenirs De Guerre D'un Jeune Francais Libre de Louis Tritschler "Le sous-lieutenant Kochanowski, aux traits d'un Mongol de Gengis Khan, à la taille moyenne, sec, aux poils blond-roux, Russe blanc réfugié en France, mais né là-bas dans un village du nom de Kochanowski, très nerveux et volubile, avec un rien de comédien, jetant par exemple son képi à travers la cour dans un accès de colère, est l'officier, chef de peloton, le plus ancien de l'escadron. Il commande le deuxième peloton. Le premier est commandé, selon la tradition, par l'adjudant-chef, nommé Candy. Le sous-lieutenant Kochanowski a rallié la France Libre après l'armistice de Syrie. Il s'est donc battu contre les Anglais. Il n'en fait aucun complexe, et raconte volontiers ses combats*. Il lui est arrivé, par exemple, de prendre un pot en toute amitié avec un officier anglais qu'il avait rencontré et fait prisonnier au cours d'une escarmouche." Laurent Laloup le vendredi 17 octobre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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www.francaislibres.net
" Le peloton d'A. M. du Sous-Lieutenant Candy était chargé de couvrir au nord l'opération de la 1re Brigade et d'assurer la liaison avec la 7e Division Blindée Britannique qui attaquait en direction de Deir Munassib. A l'aube du 24 octobre, le peloton se trouve à quelque mille cinq cents mètres à l'est d'El Himeimat. Dès le lever du jour, il est violemment pris à partie par l'artillerie italienne. Le Sous Lieutenant Candy est tué et ses hommes se replient d'environ un kilomètre après avoir enterré sommairement leur chef de peloton." Laloup laurent le lundi 20 août 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Dans "Les Spahis du 1er Marocains" de Thierry Moné www.francaislibres.net
"Enfin le couloir est ouvert et la colonne poursuit en direction du deuxième champ de mines mais l'ennemi a retiré les marquages et deux automitrailleuses engagées trop en avant, sautent en essayant de faire demi tour ; le maréchal des logis Féron est mortellement blessé. Le peloton envoyé en diversion à l'est d'Himeimat est pris sous des tirs d'artillerie et le sous-lieutenant Candy, chef de peloton est tué. Le peloton Noël, qui couvre face au sud, intercepte une patrouille ennemie. En essayant de la poursuivre, l'automitrailleuse du chef de peloton saute sur une mine" Laloup laurent le lundi 20 août 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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