| | | | | Un Français Libre parmi 62934 | | | Robert Bronner | |
Naissance : 14 septembre 1920 - Nancy (54)
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Afrique
Engagement dans la France Libre : AEF en avril 1941
Affectation principale : Terre Leclerc - Afrique / RTST
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 92543
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 8336 |
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Robert Bronner - son Livre ouvert ! Béné Charles : Carnets de route d'un "rat du désert » Décédé de maladie fin 41 Laurent le mercredi 27 janvier 2010 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Confusion probable avec François Victor Bronner
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"LES TRACES DE MA VIE" de Jean DUPERTUIS " Le lendemain, nous reprîmes la route. L'arrivée au poste de Paya fut assez difficile. Il fallait affronter le " paillasson ", une sorte d'avenue, d'une cinquantaine de mètres, couverte d'un tapis de grandes herbes tressées destiné à éviter l'enlisement aux voitures. Nous repartîmes deux jours plus tard, après avoir déchargé les 25 camions, visité l'endroit, bu de nombreux verres avec nos camarades de Paya et salué le père Bronner qui habitait une case sur laquelle courait une vigne pourvue d'un excellent raisin." Laurent Laloup le samedi 22 novembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Le général Leclerc et l'Afrique Française Libre 1940-1942" Guy Chauliac "... Si les officiers du Tchad - des confins comme on disait à l'époque - avaient été les acteurs essentiels du ralliement avec Dio. Delange, Colonna d'Ornano, les chefs du service de santé Sicé, Vaucel, Guiriec avaient tenu leur rôle comme les médecins-capitaines Mauzé à Douala et Coupigny à Brazzaville. Je me contenterai de rappeler qu'à l'opération Koufra, seuls deux médecins formaient tout le soutien santé des 300 hommes engagés. Les moyens médico-chirurgicaux étaient des plus élémentaires. Sur un ordre griffonné sur un vilain morceau de papier, dont l'origine reste inconnue, le médecin-capitaine Mauric partit sur un seul véhicule avec l'aumônier, le Père Bronner et, suivant les traces encore visibles d'une patrouille partie précédemment, arriva au puits de Sara à 200 kilomètres de son point de départ. Il y recueillit et sauva, grâce à des perfusions, trois soldats néo-zélandais complètement déshydratés par leur marche forcée, rescapés de l'engagement malheureux qui avait eu lieu au Djebel Cheriff à 200 kilomètres plus au nord entre la patrouille du L.R.D.G. anglais du major Clayton et la Sahariana de Koufra. Puis, surpris par un élément avancé français qui mettait ses armes en batterie, il dut sortir en toute hâte un signal de reconnaissance pour éviter un tir meurtrier." L. Laloup le vendredi 02 mai 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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