"LES TRACES DE MA VIE" de Jean DUPERTUIS " Le lendemain, nous reprîmes la route. L'arrivée au poste de Paya fut assez difficile. Il fallait affronter le " paillasson ", une sorte d'avenue, d'une cinquantaine de mètres, couverte d'un tapis de grandes herbes tressées destiné à éviter l'enlisement aux voitures. Nous repartîmes deux jours plus tard, après avoir déchargé les 25 camions, visité l'endroit, bu de nombreux verres avec nos camarades de Paya et salué le père Bronner qui habitait une case sur laquelle courait une vigne pourvue d'un excellent raisin." Laurent Laloup le samedi 22 novembre 2008 Contribution au livre ouvert de Robert Bronner |