Henri Jean Marie Paul Mathey - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Henri Jean Marie Paul Mathey



Naissance : 15 juin 1919 - Besançon (25)

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Passage en Espagne : octobre 1940

Engagement dans la France Libre : en mai 1941

Affectation principale : FAFL /

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant

Décès à 91 ans - 10 octobre 2010 - Besançon

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 403002

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 34912

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Henri Jean Marie Paul Mathey - son Livre ouvert !
 

aviation-ancienne.forumactif.com 
" Une photo de lui [Jean Clerc Scott] au 341 Alsace, tirée du N°151 de "Avions" grace à la bibliographie, entre Jacques Remlinger et Pierre Clostermann à gauche, Henry Mathey et Pierre Farman à droite"



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Laurent Laloup le mardi 05 juillet 2022 - Demander un contact

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Revue de la Fondation de la France Libre Septembre 2017 – Numéro 65



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Laurent Laloup le mardi 03 novembre 2020 - Demander un contact

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Décès

Décès de Henry Mathey (12/06/1919 - 10/10/2010)

"Henry Mathey est décédé dimanche à l'âge de 91 ans. Pilote de chasse, il avait combattu dans les Forces aériennes françaises libres du Général De Gaulle.

L'ancien patron de la CEDIS, né à Besançon le 15 juin 1919, était une figure illustre de la Franche Comté. "

Source : 

Laurent le samedi 05 décembre 2015 - Demander un contact

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JORF du 18 aout 1946
Décret du 22 juillet 1946 portant nomination dans l'ordre national de la Legion d'honneur :

Au grade de Chevalier :

MATHEY (Henri-Jean-Marie-Paul), lieutenant, centre de rassemblement et d'adminis­tration du personnel 202.

Source : Yves MORIEULT

Laurent le jeudi 31 décembre 2009 - Demander un contact

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"Une sacrée guerre", de Pierre Clostermann & Daniel Costelle

" De notre petite bande, Remlinger, Clerc-Scott et moi, Mathey était certainement le plus original, avec les chaussettes jaunes qu'il s'obstinait à porter « parce que - disait-il - cela lui rappelait qu'il était un civil embarqué dans cette aventure, mais toujours un civil. » C'était un sacré pilote. Quand il est arrivé à l'« Alsace » il portait par surcroît un pull-over jaune - sa couleur favorite - sous sa veste d'uniforme. Mouchotte, mi-figue, mi-raisin, me l'avait confié pour le tester.
Nous décollons chacun dans un Spitfire et nous commençons entre les nuages un combat tournoyant. Je lui prépare le coup du lapin à ma façon puis, tout à coup, je ne le vois plus. J'entends alors à la radio sa voix traînante...
- Ta-ta... ta... t'es mort!
Il était derrière moi en position de tir.
Longtemps il avait préparé son départ pour Londres. « Par l'Espagne, d'accord, mais ils se font tous prendre parce qu'ils ont l'air de clochards. Moi je pars avec une valise en croco, des pantalons de golf, une veste en tweed d'Old England, le grand chic. Arrivé aux Pyré­nées, je sors de ma valise mon anorak, j'achète une paire de skis à Font-Romeu, et je traverse les Pyrénées comme ça. (Habitant Besançon, il skiait comme un champion.) Arrivé de l'autre côté, je retire mon équipe­ment, je fais du stop. A la première bagnole qui s'arrête, je dis, avec un accent américain : " Ma Rolls est en panne là-bas, conduisez-moi s'il vous plaît à Bar­celone... " »
A Barcelone, tout de suite au consulat d'Angleterre, qui s'en est vite débarrassé en le mettant dans un train, première classe, pour Lisbonne. A la frontière, problême, hélas. La P.I.D.E., la police secrète portugaise, le prend et le coffre au poste frontière. Comme il se disait que son aventure était terminée, voilà qu'un type de la P.I.D.E. vient le voir : « Je suis pour les Alliés ». Il laisse la porte ouverte et lui donne une adresse. C'était une maison de passe bien connue de Lisbonne. Il y séjournera bon nombre de jours, le temps que les Anglais s'intéressent à lui. Sage élève des jésuites, il va enchanter ces petites dames et participer, pour rendre service, à des... tableaux vivants... Jusqu'à ce qu'il découvre qu'il suffisait de faire semblant, il s'est bien amusé. Quand les Anglais sont venus le chercher, il était temps, il marchait sur les rotules et avait maigri de dix kilos, qu'il n'a jamais récupérés.
Il était devenu notre quatrième mousquetaire. Rem-linger et lui se saluaient tous les matins en soulevant leur casquette comme un chapeau melon. C'était mal vu et exaspérait les autorités. Jusqu'au bout il a été ori­ginal. Il s'est fait descendre pendant l'affaire d'Arnhem, par la Flak. Vous savez, « un pont trop loin » pour la division parachutiste britannique. Mathey, Indiana Jones avant la lettre, arrive à poser son Spitfire sur le ventre, saute de son avion, court, bondit par-dessus une haie, retombe de l'autre côté, au milieu du pique-nique... de quatre officiers allemands. Il est aussitôt cravaté et soumis à un interrogatoire musclé. Les gens de l'Abwher croyaient qu'il était polonais, pourquoi, on ne sait pas, et lui tapaient dessus pour le faire avouer. C'était difficile, et pour cause. Ils insultaient sa mère en polonais - cela laissait Henri froid. Il est donc expé­dié dans un camp où on saura le faire parler... Dans le train, il fait à ses gardiens le coup classique qui marche toujours : « Je veux faire pipi. » II bloque la porte, ouvre la fenêtre; maigre comme un clou, il arrive à se faufiler hors entre les barreaux. Mais le train avait pris de la vitesse et la sentinelle allemande commençait à enfon­cer la porte. Impossible de rentrer, les poteaux télé­graphiques lui défilaient au ras des fesses. Foutu pour foutu, il lâche tout, tombe dans le fossé, roule et, miracle, il n'a rien de cassé! Il part vers l'ouest, et le soir venu observe un peu la situation autour d'une ferme isolée. A première vue, rien à craindre, il n'y a qu'une fermière qui donne à manger à ses poules. Il y
va.
Un mois après il y était encore. Elle cachait ses chaussures la nuit dans un coffre fermé à clé. Le mari était depuis deux ans prisonnier en Russie... Il est par­venu à partir, après bien des serments, jurant qu'il reviendrait après la guerre. Le mari est revenu avant lui ! Direction Cologne. Il voulait sans complexe passer le Rhin à la nage, les Alliés étant de l'autre côté. Mathey ne doutait de rien.
Arrivé à Cologne au milieu d'un bombardement, il est pris dans les décombres, une brique sur le crâne. Il se retrouve à l'hôpital, contrôle d'identité et en avant encore pour un camp en Prusse orientale. Il arrive en pleine offensive russe, s'évade, les cosaques le coffrent et le prennent pour un Teuton camouflé. A nouveau les baffes et un interrogatoire, cette fois hyper musclé. Une fois de plus il réussit à s'enfuir. C'est ainsi que nous l'avons vu arriver en Angleterre, plus maigri que jamais, trépignant pour retourner au combat. L'armis­tice l'a probablement sauvé.
Voilà le genre de garçons qui étaient chez nous...
La bande à Clo-Clo, dans la photo des pilotes de l'«Alsace» en mai 1943, publiée dans Le Grand Cirque, tous en grande tenue, est reconnaissable aux Mae West qu'ils portent, étant d'alerte ce jour-là à exception de Clerc-Scott. La Mae West, entre paren­thèses, c'était le gilet de sauvetage que nous portions toujours en vol - l'Angleterre est une île, ne l'oublions pas. Les deux boudins de kapok rappelaient les plantu­reux avantages de la fameuse star d'Hollywood, d'où le nom.
Nous sommes six équipés - soit une section complète -, en alerte à trois minutes. Dans l'ordre sur la photo, de droite à gauche : Mathey, Clerc-Scott, Bruno, moi-même, Remlinger à côté de moi évidemment, Laurent et Farman.
Quand je revois cette photo je pense aux rares survi­vants, parmi eux Girardon et Laurent, plus tard géné­raux de l'armée de l'air avec Henri de Bordas, futur chef du cabinet militaire du général de Gaulle. A côté de Boudier, je vois Pabiot, pilote d'Air France, mort dans l'accident du DC4 de Lyon. Le petit Bruno aussi est entré à Air France - il est mort dans l'accident du Viscount de Marchandises... Sic transit!
Avec mon ami Henri de Bordas - mon compagnon dans l'ordre de la Libération - nous prenions souvent l'alerte ensemble quand Jacques est reparti au 602.
Un jour de temps particulièrement bouché, l'escadre de Biggin Hill avait été released - repos pour vingt-quatre heures - ; il fallait un temps vraiment pourri pour ça : brouillard et nuages à 50 mètres ! Nous allions monter sur Londres, quand le haut-parleur demande une paire d'alerte immédiate. Mes fonds étaient en baisse. Je tombe sur Bordas dans le couloir. O.K. on y va."

Laurent le dimanche 05 juillet 2009 - Demander un contact

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Henri Mathey : héros ordinaire d'une histoire extraordinaire
In : "Commémoration du 18 juin [1940]", [numéro spécial de] "Vu du Doubs", nº 32, juin
1990, p. 15
Le 6 juin 44, l'aviateur bisontin Henri Mathey couvrait le débarquement / Isabelle Horlans
In : "L'Est républicain", 6 juin 1984
L'inoubliable aventure d'un Bisontin dans les "Forces aériennes françaises libres" / Henri
Mathey,...
In : "1944 : souviens toi ! / ... Fédération des Amicales FFI du Doubs, Jura-Nord, Territoire de
Belfort.- 1994", p. 30-32 : carte

www.concours-resistance.org 

Laurent Laloup le mardi 14 octobre 2008 - Demander un contact

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"Quelques noms de batailles, de souvenirs, d’hommes et de femmes marquant leur engagement pour la France par l’engagement de leur propre vie :

LECLERC et sa fameuse colonne prestigieuse qui prit d’assaut les oasis de Koufra et Mourzouk en attendant de marcher, plus tard, vers la Tunisie et l’Egypte où El Alamein rime encore avec éternel ;

L’escadrille Normandie-Niemen qui rejoignit la Russie et prit une part glorieuse aux contre-offensives soviétiques et encore bien d’autres des forces navales ;

SCHUMANN, porte-parole de la France Libre et des émissions françaises de la radio de Londres, qui a permis de maintenir toujours vivant le fil avec l’ensemble des français résidant sur le territoire national ou encore Jean MOULIN, bien sûr, pour son action aux côtés du Général DE GAULLE, pour fédérer les différentes familles de la Résistance ;

Enfin, tous ces noms connus ou moins connus qui se sont battus pour la reconquête à l’extérieur ou sur le sol même de notre Patrie. Songeons à Honoré ETIENNE d’ORVES, Chef du 2° Bureau des FNFL et du Réseau Nemrod ou à Pierre BROSSOLETTE, visionnaire politique de la Résistance. S’agissant du Département du Doubs, retenons notamment les parcours exemplaires de Marcel FINANCE, Jean Pierre SARTIN, Bernard SAULNIER, Robert SOUWEINE et Alphonse BACHETTI, sans oublier Henri MATHEY et Bernard WEIL présents parmi nous aujourd'hui."

Remise des prix du concours
de la Résistance et de la Déportation
Mercredi 12 Mai 2004
www.franche-comte.pref.gouv.fr 

Laurent Laloup le mardi 14 octobre 2008 - Demander un contact

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" Des pilotes français des Forces aériennes françaises Libres (escadrilles Ile de France 340, Alsace 341 et Cigognes) avaient dès le 13 juin atterri en France, notamment à B2 Bazenville l’aspirant Henri Mathey. "

prbessin.free.fr   Patrimoine Rural du Bessin (P.R.B.)

Laurent Laloup le dimanche 09 septembre 2007 - Demander un contact

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Mrs Chapman - Mathey - Dr Jaeger

Source : maridor.free.fr 

Laurent Laloup le dimanche 09 septembre 2007 - Demander un contact

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Source : besancon.com  

Laurent Laloup le dimanche 09 septembre 2007 - Demander un contact

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Extrait de "Une poignée d'As" du général P. Andrieux

Laurent Laloup le dimanche 09 septembre 2007 - Demander un contact

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Extrait de Fédération des Amicales FFI Région Franche-Comté, Souviens-toi 1944-1994. 

Témoignage de Henri Mathey, ancien des Forces Aériennes Françaises Libres.

« Juin 1940. L'armistice est signé, la France partiellement occupée. J'ai 20 ans, et en zone libre, pendant cet été mémorable, j'assiste comme tous les Français à la mise en place par l'occupant allemand de ce qui allait être “l'ordre nouveau”. Révolté, plutôt que de regagner Dijon et l'Ecole supérieure de commerce pour y poursuivre ma deuxième année d'études, je décide, avec quelques camarades, de rejoindre l'Angleterre. Un certain général de Gaulle ne vient-il pas de lancer un appel le 18 juin ? Fin octobre, je suis prêt, mes amis ont renoncé. Qu'importe! Je partirai seul. En 1940, pour moi, gagner l'Angleterre, seul, sac au dos, avec pour unique viatique les adresses de “contacts” susceptibles de m'aider, constitue un défi que je décide de relever... En chemin, les déboires s'accumulent : les adresses sont fantaisistes, les contacts décevants. Impossible de trouver la bonne filière. La Résistance en était à ses premiers balbutiements, et quel intérêt pouvais-je bien représenter ? Aucun... A Perpignan, l'espoir renaît : un passeur, moyennant finances, veut bien me faire traverser la frontière au col du Perthus. Je lui confie l'argent qui me reste. Je n'ai revu ni l'homme... ni mes dernières économies.

Décembre est là. Je me trouve le dos au mur ou plutôt aux Pyrénées. Inconscient comme on l'est à 20 ans, je décide de franchir ce massif, seul, à skis, avec l'intention de gagner ensuite Barcelone à pied. Pendant deux jours, égaré, j'erre dans la montagne... et me retrouve épuisé du côté espagnol. Parvenu enfin à Barcelone par le train, je crois trouver le salut auprès du consulat anglais. Le consul me reçoit, j'étais dans un état pitoyable. Il m'interroge longuement; visiblement non seulement je ne l'intéresse pas mais il refuse de m'aider. D'après lui, traverser l'Espagne sans aide, sans papier, sans parler la langue est une pure folie. Et de me dissuader de poursuivre ma route en me conseillant... de rentrer en France. Lorsque je sors du consulat, l'Angleterre me paraît bien lointaine... Peut-être ! Mais je décide de persévérer.

La traversée de l'Espagne malgré une “garde civile” omniprésente fut une nouvelle aventure. Parvenu enfin au Portugal, c'est pour me faire arrêter par une patrouille de gardes- frontières. Bilan : onze jours de prison. Libéré, tenace, je gagne Lisbonne et l'ambassade d'Angleterre plus compréhensive m'apporte une aide précieuse. Trois mois d'attente encore, et cap sur l'Angleterre à bord d'un cargo britannique. Mai 1941, je débarque à Greenock en Ecosse puis j'arrive enfin à Londres ! Mon périple Dijon-Londres a duré plus de six mois.

Le 28 mai, je m'engage au quartier général du général de Gaulle dans les “Forces Aériennes Françaises Libres”. Dans les écoles de la Royal Air Force, j'apprends à la fois l'anglais et le pilotage. Passionnant et long apprentissage !

7 mai 1943 : affecté à l'escadrille “Alsace 341 Squadron”, me voilà intégré à la RAF. Pendant un an les missions de guerre se succèdent à un rythme souvent infernal.

6 juin 1944 ! Le jour J ! Souvenir fantastique à jamais gravé dans ma mémoire. Dès 7h00 le matin avec mes camarades des escadrilles françaises et anglaises, je survole les plages, protégeant les troupes alliées opérant sur le flanc est. Un mois d'intense activité de harcèlement des troupes allemandes battant en retraite.

30 septembre 1944 ! La chance m'abandonne. Mon Spitfire est abattu pendant l'opération aéroportée d'Arnhem - dont il sera tiré le film “Un pont trop loin” - je suis fait prisonnier. Blessé par les tirs alliés sur les lignes allemandes (un comble !), je suis hospitalisé à Clèves. Je m'évade... et je suis repris. Emmené à Breslau, je suis interné dans un camp en compagnie de plusieurs milliers d'officiers de la RAF. Un camp rendu célèbre par ce que l'on appela par la suite “La grande évasion” : 76 officiers anglais, canadiens, néo-zélandais, australiens, polonais, français firent “la belle” en creusant un tunnel de plus de 100 mètres de longueur. 73 furent repris en Allemagne, 50 fusillés sur ordre d'Hitler, 23 réincarcérés. 3 seulement réussirent à rentrer en Angleterre. Un autre film fut consacré à leur aventure... L'étau allié se resserre. Les Russes se rapprochent. Le camp est évacué vers l'Ouest... en train puis à pied. Avec un camarade, je fausse compagnie à mes gardes. Dix jours de marche à travers l'Allemagne en pleine débâcle, et c'est la rencontre avec une unité avancée américaine, la liberté !! le rapatriement en Angleterre. La guerre se termine. Démobilisé, je retrouve à Besançon ma famille, mes amis après quatre ans d'absence. Quatre ans d'une inoubliable aventure ! »

Laurent Laloup le jeudi 14 décembre 2006 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mardi 05 juillet 2022

 

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