| | | | | Un Français Libre parmi 62958 | | | Yves Le Tac | |
Naissance : 8 mars 1908 - Paris 18e
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en janvier 1942
Affectation principale : Résistance intérieure / Action
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2
Décès à 90 ans - 6 juillet 1998 - Levallois-Perret (92)Frère de Joel Le Tac
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 368127
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 30516 |
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Yves Le Tac - son Livre ouvert ! Acte de naissance dans lequel on trouve le nom de ses parents et leur age en 1908, André Georges Letac, 29 ans et Yvonne Manière, 25 ans
GR 16 P 368124 | LE TAC ( André ) | 1878-09-16 | Paris 18 | Seine | FRANCE | FFc DIR
GR 16 P 389668 | MANIERE épouse LETAC ( Yvonne ) | 1882-08-22 | Paris 3 | Seine | FRANCE | FFc DIR
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Jacques Ghémard le jeudi 24 mai 2018 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Marge de son acte de naissance On y voit que le commando de l'OAS a échoué dans sa mission meutrière Jacques Ghémard le jeudi 24 mai 2018 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : GR 16 P 140908 | CONTE épouse LETAC ( Andrée Léonie ) | 1917-06-21 | Courbevoie | Seine | FRANCE | FFc DIR
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" Yves Le Tac, un résistant de la première heure
Avec son frère Joël, compagnon de la Libération, Yves Le Tac s’est très vite rallié au général de Gaulle. Il organise la mission Overcloud qui a consisté, outre le fait d’établir des contacts entre Londres et des groupes de résistants, parmi lesquels des cheminots en Bretagne, à mettre en place un dispositif assurant une liaison sûre entre la France et l’Angleterre.
A la suite d’une trahison, les deux frères Le Tac sont arrêtés en février 1942, à Paris, par des agents de l’Abwehr (le service de renseignement de l’armée allemande) et déportés au camp du Struthof, dans le Bas-Rhin. Yves Le Tac va y contracter le typhus. Transféré au camp de concentration de Dachau et mal soigné, il rechute. Il ne sera libéré qu’à la fin de la guerre.
En 1956, Yves Le Tac débarque en Algérie, où il préside l’association pour le soutien au général de Gaulle. En 1961, après le putsch raté des généraux hostiles à la politique du chef de l’Etat, il est condamné à mort par l’Organisation armée secrète (OAS) qui lutte pour l’Algérie française.
L’OAS s’acharnera contre lui. Après avoir été la cible de plusieurs tentatives d’attentats à Alger, il est grièvement blessé par balles en octobre 1961. Evacué à Paris, il est hospitalisé au Val-de-Grâce. Pierre Sergent envoie alors à Paris un commando de l’OAS avec mission de l’achever sur son lit d’hôpital."
www.ldh-toulon.net Laurent Laloup le lundi 05 janvier 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Colonel « Passy » : Mémoires du chef des services secrets de la France libre Odile Jacob, 2000 , notes de JL Cremieux-Brilhac :
" Joël Le Tac, parachuté à nouveau en France, et son frère Yves jouèrent d'octobre 1941 à février 1942 un rôle capital dans l'organisation des liaisons clandestines par mer avec le Nord-Finistère avant d'être arrêtés et déportés ainsi que leur famille. Joel Le Tac fut député gaulliste de gauche de 1958 à 1981." Laurent Laloup le lundi 05 janvier 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Dachau A Dachau :
« ...Puis je réussis à faire admettre, toujours chez ragot, Yves Le Tac à qui me lie très vite une amitié qui n'a fait que se renforcer au long de notre déportation et de notre vie. Il était déjà le Don Quichotte qu'il est resté, admiré pour sa droiture, son courage, son moral sans défaillance, craint par les « proéminents » qui, le sachant protégé par nous tous, n'osaient pas trop l'attaquer. Il me raconte ses missions de liaison entre la Bretagne et Londres en 1941 et 1942 par voiliers et de nuit. Et par extraordinaire, c'est avec Brooks-Richards qu'il a accompli ces missions. Je lui confie alors que c'est avec ce même Brooks-Richards que j'ai fait la guerre de Tunisie. Je lui révèle que Georges Breuillot n'est pas mon vrai nom, que je fais partie du BCRA....
Source : « Le sel, la cendre et la flamme » de H. Rosencher Laurent Laloup le dimanche 26 novembre 2006 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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