Georges Denviolet - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Georges Denviolet



Naissance : 2 mai 1921 - Paris 8e

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : FAFL / parachutistes

Homologué FFC et DIR

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine

Décès à 52 ans - 7 janvier 1974 - Bayonne (64)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 175589

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 14762


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Georges Denviolet - son Livre ouvert !
 

Daniel Cordier, son secrétariat, ses radios: Essai critique sur Alias Caracalla

De Pascal Convert

Laurent Laloup le samedi 29 janvier 2022 - Demander un contact

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herbergement de Jo

Mr Georges Denviolet fut hébergé dans la famille Olmicia à Roanne. Mme Olmicia était ma marraine, son mari qui est rentré dans la résistance grâce à Jo a été arrêté et fusillé par la gestapo. Récit qui m'a été raconté par mon père Gibert Mus, ami de Jo et des Olmicia.

mus le vendredi 23 août 2019 - Demander un contact

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Réponse :

Plus probablement Olmiccia avec deux "c" 

Et probablement OLMICCIA Antoine Lucien: (1900-1944)
Né à Canale di Verde. Décédé en déportation, à Flössenburg (Allemagne), en 1944. Reconnu Mort en déportation. Son nom figure sur le Monument aux Morts de la commune de Canale di Verde. 


Mon père était un ami de Georges Denviolet et j'ai eu l'occasion de le rencontrer lors de manifestations à Roanne avec mes parents ( je étais assez jeune) et je gardes un excellent souvenir de Mr Georges Denviolet. Si mes souvenir son bon, il a été parachuté en tant que radio et a été hébergé chez Madame Olmisia qui était ma marraine.

Mus Marie-José le samedi 11 mai 2019 - Demander un contact

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Buchenwald

Georges était, comme mon père prisonnier a Buchenwald.
Description de Georges, par mon père: nationalité: Bretonne!
Georges est arrive a faire apprendre, et a faire chanter! aux prisonniers de leurs baraque tout les couplés de An Alarc'h en Breton!
Comme mon père il faisait pars d' un transport de Compiegne

Bernard van Eyk le dimanche 07 avril 2019 - Demander un contact

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Correctif lieu de naissance

Il serait né non pas à Brest mais à Paris (8ème arrondissement) à la même date.

PRIOL Gildas le mardi 27 juin 2017 - Demander un contact

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Georges was a guest of my family

My father, a decorated veteran of WWII in the US Army hosted M. Denviolet in the 1960s on an exchage weekend for business people in Pennsylvania. My father greatly respected M. Denviolet as a true patriot and comrade in arms.

Douglas Bell le dimanche 12 avril 2015 - Demander un contact

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Georges Denviolet etait un ami de mon père Gilbert Mus, je l'ai bien connu, c'était un homme merveilleux.

Mus marie-José le dimanche 08 avril 2012 - Demander un contact

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Alias Caracalla de Cordier Daniel

" Le rendez-vous est fixé non loin du poste de garde, dans la forêt où j'ai été présenté au capitaine Bienvenue. Deux camion­nettes nous attendent. J'ai la surprise de retrouver dix autres camarades : Denviollet, Griès, Kerjean, Loncle, Montaut, Orabona, Piet, Rouxin, Schmidt et Vourc'h.
Fidèles aux consignes du capitaine, aucun d'entre nous ne s'est confié.
À Camberley, nous prenons un train, où deux compartiments nous sont réservés. Notre accompagnateur anglais nous annonce un voyage de quelques heures, mais n'en révèle pas la destination."

laurent le dimanche 16 août 2009 - Demander un contact

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precision

Georges DENVIOLET fut déporté à Buchenwald le 25 juin 1943 sous le numéro 14572 au départ de COMPIEGNE dans le convoi n° I 110

Levi cabanel le dimanche 07 juin 2009 - Demander un contact

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Georges DENVIOLET, aka GUDGEON - born 02.05.1921

www.nationalarchives.gov.uk/ 

Laurent Laloup le mardi 02 septembre 2008 - Demander un contact

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www.60ansdesmjc.fr 

"Georges DENVIOLET(dit "Géo")

Né à Paris le 2 mai 1921. Mort à Bayonne (Pyrénées- Atlantique) le 7 janvier 1974. Français libre, résistant dans la Loire, déporté à Buchenwald, directeur d’une des premières Maison de jeunes à Annecy puis délégué régional de la FFMJC.

Orphelin très jeune, Georges Denviolet fut élevé à Brest par une grande tante. Il fréquenta le collège technique et pratiqua le scoutisme. C’est avec d’autres scouts qu’il gagna l’Angleterre sur un bateau de pêcheurs en 1940. Il s’engagea dans les FFL et reçut une formation de parachutiste. Il fut envoyé en mission près de Roanne en novembre 1942 mais subit un grave accident : le parachute resta bloqué lors du largage et Georges Denviolet fut projeté contre l’avion. Il fut grièvement blessé à la tête et au dos. Recueilli et soigné, il effectua sa mission de liaison avec les groupes de résistants locaux pendant six mois. Poursuivi par la Gestapo, il chercha à regagner l’Angleterre via l’Espagne. Trahi par un passeur, il fut arrêté, emprisonné puis déporté à Buchenwald en mai (juin ?) 1943. Rapatrié au printemps 1945, son état nécessita deux mois d’hospitalisation à Paris. Il retourna à l’été 1945 en Angleterre pour épouser sa fiancée dont la famille, membre des Amis de la France libre, l’avait accueilli en permission pendant sa formation de parachutiste. En 1946, il fut fait chevalier de la Légion d’honneur à titre militaire, décoration remise par Vincent Auriol.

Pendant sa déportation, Georges Denviolet avait appartenu à un groupe de déportés qui s’étaient intéressés aux questions éducatives, en particulier à la réforme pédagogique. Alors qu’il était hospitalisé à Paris au printemps 1945, il avait pris contact avec la République des jeunes (future Fédération française des Maisons des jeunes et de la culture), fondée autour d’André Philip. A l’automne 1945, il fut envoyé par cet organisme auprès de la Maison des jeunes de Caen pour y effectuer un stage de directeur de trois mois. En février 1946, il arriva à Annecy pour y animer une Maison des jeunes. Annecy connaissait alors une intense activité d’éducation populaire, autour du Centre éducatif des Marquisats. Ce centre fondé par le comité départemental de Libération était animé par des résistants venus pour certains des équipes volantes d’Uriage (Jean Le Veugle* le directeur) ou des Glières. Ils avaient fondé en parallèle Peuple et Culture de Haute-Savoie. Le centre des Marquisats menait son action en liaison étroite avec les organisations syndicales pour lesquelles il organisait de multiples stages. Un projet de Maison des jeunes y avait également vu le jour et une association présidée par Georges Malinjoud avait été fondée en janvier 1946.

Après trois mois de présence à Annecy, Georges Denviolet ouvrit en mai 1946, la Maison des jeunes dans le local très vétuste qui avait été accordé à l’association. Lui-même et sa famille étaient logés dans une pièce unique du même immeuble, dans des conditions d’une extrême précarité. Denviolet réussit, en dépit de multiples difficultés matérielles et morales, à attirer un petit groupe de jeunes qui formèrent le premier noyau d’animateurs. Des activités de plein-air, de théâtre, des cercles d’études étaient régulièrement organisés. Progressivement la MJC se structura et prit sa place dans l’ensemble culturel et éducatif annecien.

Georges Denviolet continuait à souffrir de phases de dépression et d’épuisement physique, séquelles de la période de la guerre. En 1950, il assura le transfert de la MJC dans les locaux des Marquisats, suite à la suppression du centre éducatif, victime à la fois des restrictions budgétaires et de ceux qu’inquiétaient les menées « subversives » d’un centre d’éducation populaire. La fédération française des MJC (FFMJC) intervint et réussit à préserver certaines des activités du centre éducatif, en particulier les stages. En 1953, Georges Denviolet abandonna la MJC des Marquisats, confiée à Marc Malet*, pour le poste de délégué régional de la FFMJC pour le Sud-ouest. Les responsables de la FFMJC estimaient que cette fonction, qui relevait davantage de la coordination et l’administration, serait plus à même de ménager son état de santé. Cette position était discutable, surtout si l’on songe que Georges Denviolet devait prendre en charge depuis Biarritz -où la famille s’installa- l’ensemble des régions comprises entre Tours et la frontière espagnole. Au cours des quinze années suivantes, il participa à la création de nombreuses MJC, surtout lorsqu’à partir de 1959, ces institutions connurent un grand essor, favorisé par le soutien des pouvoirs publics. Un premier infarctus en 1964 ralentit toutefois ses activités. Devant la crise qui secoua la FFMJC à la fin des années 60, Georges Denviolet éprouva un profond malaise. Il était attaché à la FFMJC qui subissait les attaques des ministres Missoffe puis Comiti mais comprenait mal l’attitude des nouvelles générations de directeurs entrés à la fédération depuis le début de la décennie. Sa méfiance vis-à-vis du syndicat CGT, largement majoritaire chez les directeurs, se doublait d’interrogations au sujet de l’idéal éducatif des MJC, vingt ans après leur création.

En 1969, il fit le choix de la scission, suivant en cela André Philip*, le délégué général Lucien Trichaud* et la majorité de ses collègues délégués. Il rejoignit l’UNIREG (Union des fédérations régionales de MJC) qui acceptait de se conformer aux exigences du gouvernement, à la différence de la FFMJC « maintenue », où l’influence communiste grandissait. Ce choix était minoritaire dans les MJC, comme chez les directeurs. Georges Denviolet exerça à partir de 1970 ses fonctions de délégué pour le compte de la fédération des MJC UNIREG d’Aquitaine. Il dut rapidement faire face aux difficultés financières qui menaçaient les activités fédérales et le financement de son emploi de délégué. Il aspirait à exercer enfin, à plus de cinquante ans, un emploi normal, loin de l’incertitude et des emplois du temps élastiques qui avaient été les siens, comme directeur puis délégué. Début 1973, il quitta l’UNIREG et trouva difficilement un emploi de cadre dans une société de gardiennage. Il fut frappé par un deuxième puis un troisième infarctus, avant de décéder quelques mois plus tard, le 7 janvier 1974.

Sa disparition fut la première parmi le noyau d’hommes, directeurs devenus délégués, qui avaient bâti les MJC depuis les origines. Elle fut à ce titre perçue comme la fin d’une époque, marquée par l’engagement total d’un petit groupe d’hommes pour qui l’expérience des MJC prit souvent l’aspect d’un choix existentiel. Ses collègues ont souligné l’idéalisme d’un homme et une gentillesse qui le rendait sans défense. Sans doute, Georges Denviolet était-il davantage l’homme des premiers temps des MJC marqués par une foi profonde dans leur œuvre éducative que celui des MJC institutionnalisées, dont les combats et les enjeux lui restaient étrangers.

SOURCES :

Arch. FFMJC, dossier de personnel.
Entretiens avec Paul Jansen et Marc Malet.
Jean Le Veugle, « Georges Denviolet, créateur de la première maison des jeunes d’Annecy », Annesci, n° 21, 1978, p. 155-159.
"

Laurent Laloup le mardi 02 septembre 2008 - Demander un contact

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" Commune de Ménétréols-sous-Vatan
Dans la nuit du 1er au 2 mars 1942, dans le cadre de l’opération CREME, le Lysander du lieutenant Guy Lockhart se pose sur la commune de Ménétréols-sous-Vatan (Indre), à sept kilomètres et demi au sud de l’agglomération de Vatan, à deux kilomètres et demi à l’ouest du domaine de Villeneuve et à vol d’oiseau à deux kilomètres au nord-ouest du domaine des Lagnys qui est situé sur la commune de Saint-Valentin. Il vient prendre deux passagers : Stanislas Mangin et Louis Andlauer et laisse un paquet. C’est Jean Faillon, l’exploitant du domaine des Lagnys, qui hébergea les deux hommes avant leur départ. L’opération de la nuit du 1er au 2 mars 1942 fut organisée pour le compte du réseau “Ali-Tyr ”, une des ramifications du réseau “Ronald ”.
Dans le même secteur, le terrain “Faucon ” est utilisé dans la nuit du 26 au 27 avril 1942 par le lieutenant Guy Lockhart dans le cadre de l’opération GAZELLE toujours pour le compte du réseau “Ali-Tir ”. L’opération est demandée par Edgart Tupet, mais c’est Gaston Tavian (alias “Collin ”) qui assure la réception au sol alors qu’il n’a reçu aucune formation. Le Lysander amène un passager Pierre Beech (alias “Gazelle ”) qui vient rejoindre le réseau “Ali-Tir ” comme opérateur-radio et repart avec deux agents : Gaston Tavian lui même et le lieutenant de vaisseau Mariotti (alias “Rousseau ”).
Cette opération faillit tourner à la catastrophe comme l’indique le pilote Guy Lockhart : “Malheureusement le terrain d’atterrissage était sur une éminence et je fis un bond. Le moteur commençait à brûler. Je coupai le contact... ... au bout de six à sept minutes les flammes s’éteignaient. Je remis le moteur en marche et roulait jusqu’à la lumière A ”. Après cet incident toute demande de réception d’un vol par un agent non formé préalablement en Angleterre fut refusée. Gaston Tavian une fois formé revint aux Lagnys lors de l’opération SHRIMP dans la nuit du 29 au 30 mai 1942.
Lors de cette nuit du 29 au 30 mai 1942, le Lysander piloté par le commandant Alan Murphy dépose outre Gaston Tavian, également Jacques Pain et embarque Edgard Thome (alias “Tupet ”), et Philippe Roques.
Dans la nuit du 18 au 19 novembre 1942 la première tentative de doublé Lysander fut tentée en direction du terrain des Lagnys. Mais les Lysander ne purent se suivre dans les nuages et l’opération fut annulée.
Dans la nuit du 22 au 23 novembre 1942 les deux Lysander du lieutenant-colonel Charles Pickard et du capitaine John Bridger dans le cadre de l’opération SKATE/SQUID déposent deux agents : Lardy et Denviollet (un opérateur-radio devant assister Jean Moulin) et en embarquent trois : Gaston Tavian (alias “Collin ”), Georges Descroizette et Philippe Serra (alias “ Morisot ”). C’est le premier doublé Lysander officiellement réussi.
Nuit du 2 à 3 mars 1944 reprise des opérations sur le terrain, cette fois pour le compte du réseau Mithridate. Le Lysander piloté par le capitaine Murray Anderson dans le cadre de l’opération GITANE dépose deux passagers W.-J. Savy, Eileen Nearne et en prend deux Georges Lovinfosse et Maurice Durieux."

www.deols-tourisme.fr 

Laurent Laloup le mardi 02 septembre 2008 - Demander un contact

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"ON RETROUVE LE PARACHUTISTE PERDU ! Les heures s'écoulant dangereusement, le groupe prêt à s'en aller entendit des pas sur la route. Le chef radio formé à Londres, Georges Denviolet dit "Jo" arrivait enfin au soulagement de tous. La corde de son parachute le reliant à l'avion ne s'était pas rompue au moment du saut et il était resté accroché, voyant son ami Marius sauter après lui sans le remarquer. Enfin libéré de l'avion, c'est près de la N7 que Jo se posa dans un arbre. Commotionné, il enterra néammoins son parachute et regagna à pied St Haon le Châtel où il comptait demander asile au Presbytère. C'est tout à fait par hasard que son chemin le fit passer près du groupe découragé par ses vaines recherches.
A la lueur des lampes de poches, Marius remonta une mitraillette Thomson et distribua à chacun un pistolet, moyen de défense pour chacun, craignants d'êtres attaqués à chaque moment.
Le matériel stocké à St Romain la Motte fut déménagé la nuit du lendemain et caché dans un égout. La camionette gazogène de Mimi Gauthier, maraîcher à Roanne assura le tranport à la barbe des Allemands. "


mairie.stromain.free.fr 

Laurent Laloup le samedi 01 septembre 2007 - Demander un contact

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Photo

Extrait du site des Anciens Combattants d'Ille-et-Vilaine 

Laurent Laloup le lundi 27 novembre 2006 - Demander un contact

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