Stanislas Pierre Mangin - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Stanislas Pierre Mangin



Naissance : 20 septembre 1917 - Paris 16e

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en avril 1941

Affectation principale : FNFL / fusiliers marins

BCRA

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine

Décès à 68 ans - 16 juin 1986 - Paris 19e

Frère de Louis Mangin 
Beau frère de Diego Brosset  , de Jacques Lecompte Boinet  et de Janine Quinel 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 295537

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 33838


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www.memoresist.org 

" Pierre PIGANIOL

Né le 10 janvier 1915 à Chambéry en 1938 agrégé de Normale Sup. Sciences il est appelé sous les drapeaux. Après la drôle de guerre il échoue à Pailloles dans le Lot-et-Garonne. Un groupe de jeunes officiers décident après le 18 juin 1940 de poursuivre la lutte. Pierre PIGANIOL, un autre normalien promotion 1933 Raymond CROLAND, Roger WARIN officier d’active et Stanislas MANGIN fils du général. Les 2 premiers resteront en France, les deux autres rejoindront Londres.

Retour à Paris Pierre PIGANIOL et Raymond CROLAND retrouvent leurs laboratoires à l’école normale supérieure, rue d’Ulm. Dès octobre 1940 des agents envoyés par Roger VARIN, probablement encore en zone libre, recueillent les informations et les transmettent au réseau Ali-Tir situé en zone sud et agissant pour le compte de la France Libre.

Roger WARIN devenu WYBOT rejoindra à Londres le B.C.R.A. dirigé par André DEWAVRIN alias « Colonel PASSY » . Pierre PIGANIOL et Raymond CROLAND, dans leurs laboratoires respectifs, travaillent de façon à ce que l’un puisse remplacer l’autre immédiatement en cas de problème. Ils recherchent les renseignements dans tous les domaines susceptibles d’intéresser Londres sur la situation française et son évolution. Ils appellent leur réseau Vélite, les anglais par la suite lui donneront le nom de Thermopyles. En liaison avec André FRANCOIS, Lise et Annette BLOSSER, ils réussissent à cerner le potentiel allemand.

Vélite recrute des agents à plein temps, se développe, l’importance des renseignements recueillis demande un tri : Charles CORBIER et sa femme Anne se chargent du travail.

Les liaisons radio se développent, Vélite est rattaché à la centrale de transmission Prométhée qui deviendra par la suite Praxitèle. Son chef Guy DUBOÿS sera déporté et remplacé par Jean GUYOT alias « Périclès » directeur de la société Entrepose.

En 1944 les Allemands arrêtent Yvan de COLOMBELLE et Raymond CROLAND qui mourront avant la capitulation de l’Allemagne. Pierre PIGANIOL entame alors la vie difficile de clandestin. Par hasard dans un train, bourré d’officiers allemands, il rencontre des relations de sa vie de chercheurs, il passe au travers pour se trouver face à Roger BEAURIN chargé de responsabilités aux jeunesses chrétiennes. Pierre PIGANIOL consacrera un an à la Libération, pour la liquidation du réseau, plus de 1000 personnes à démobiliser, enregistrer les états de services, avertir les familles des disparus, proposer les décorations etc.

Il tient à signaler le courage d’une étudiante de l’école de Sèvres, Françoise DUPONT , qui arrêtée le 19 février 1944 a fait 7 tentatives d’évasions pour être finalement libérée le 1er mars 1945."

Laurent Laloup le mercredi 05 août 2020 - Demander un contact

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Stanislas Mangin au 1er rfm (Alsace)



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Florence Roumeguere le vendredi 11 octobre 2019 - Demander un contact

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Réponse :

Un marin avec l'insigne des FFL terriens ! (Mais il est vrai que c'est un marin occasionnel)


Son père  Charles MANGIN Le Général (Charles M Emmanuel MANGIN)
Saint-Cyr (71e, entre 1886 et 1888 - Promo_Des_Châlons), Général (***) de Division - comdt_la_10ème_Armée, Académie des Sciences Coloniales (1923)

Né le 6 juillet 1866 (vendredi) - SARREBOURG 57
Décédé le 12 mai 1925 (mardi) - PARIS VII 75, à l'âge de 58 ans
Membre du conseil supérieur de la guerre

Parents
Antoine M Ferdinand MANGIN, Officier des Eaux et Forêts 1823-1894
Conservateur (27 février 1873) des Forêts à Alger
Nestorine POIRSON 1837-1892

Unions et enfants
Marié vers 1895 avec Madeleine Henriette JAGERSCHMIDT ca 1875-ca 1905 (Parents : Charles JAGERSCHMIDT ca 1840- & Lucy FEUILLET DE CONCHES ca 1850-)
Marié le 31 juillet 1905 (lundi) avec Charlotte Antoinette CAVAIGNAC 1880-1969 (Parents : Godefroy CAVAIGNAC, Ingénieur des Ponts et Chaussées 1853-1905 & Blanche MOJON 1855-1931) dont
Jacqueline MANGIN 1910-
Françoise MANGIN 1911-2009
Stanislas MANGIN, Compagnon de la Libération 1917-1986

Sa soeur  Jacqueline MANGIN
Née le 14 janvier 1910 (vendredi) - PARIS 75
Mariée le 24 août 1931 (lundi) avec Diego Charles Joseph Le Général BROSSET, Général (**) de Brigade 1898-1944

Sa 2e soeur  Françoise MANGIN
Née le 27 janvier 1911 (vendredi) - PARIS VII 75
Décédée en mars 2009, à l'âge de 98 ans
Mariée le 9 juin 1930 (lundi), JUVISY SUR ORGE 91, avec Jacques LECOMPTE-BOINET, Compagnon de la Libération 1905-1974

Jacques Ghémard le mardi 21 mai 2019 - Demander un contact

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Effectuant une étude sur le réseau Ajax, je lis dans votre article qu'Ali-tir l'a mit sur pied, de même que beaucoup d'autres réseaux.
Il me serait intéressant de connaître quels étaient les rapports entre Maurice Andlauer et Achille Péretti (chef d'Ajax) et les conditions dans lesquelles ce dernier est parti pour Londres, avec l'idée de constituer son propre réseau Ajax... au détriment de Ali.
Merci de m'indiquer si vous avez des éléments sur ce point, ou de me préciser d'autres sources.
Cordialement. Y. M.

Yves Mathieu le dimanche 30 mai 2010 - Demander un contact

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" Le 1er avril 1941, Edgard Tupët devient, avec quatre camarades de résistance (Mangin, Warin, Tavian et Maurice Andlauer), le premier engagé militaire secret dans les Forces françaises libres "

" Il forme avec Stanislas Mangin, Maurice Andlauer, Edgard Thomé et son camarade du 407e RA, Roger Warin, un groupe hostile à l’armistice [...] Le 1er avril 1941, Gaston Tavian devient, avec ses quatre camarades de résistance, le premier engagé militaire secret dans les Forces françaises libres "

Jacques Ghémard le mercredi 19 août 2009 - Demander un contact

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" Commune de Ménétréols-sous-Vatan
Dans la nuit du 1er au 2 mars 1942, dans le cadre de l’opération CREME, le Lysander du lieutenant Guy Lockhart se pose sur la commune de Ménétréols-sous-Vatan (Indre), à sept kilomètres et demi au sud de l’agglomération de Vatan, à deux kilomètres et demi à l’ouest du domaine de Villeneuve et à vol d’oiseau à deux kilomètres au nord-ouest du domaine des Lagnys qui est situé sur la commune de Saint-Valentin. Il vient prendre deux passagers : Stanislas Mangin et Louis Andlauer et laisse un paquet. C’est Jean Faillon, l’exploitant du domaine des Lagnys, qui hébergea les deux hommes avant leur départ. L’opération de la nuit du 1er au 2 mars 1942 fut organisée pour le compte du réseau “Ali-Tyr ”, une des ramifications du réseau “Ronald ”.
Dans le même secteur, le terrain “Faucon ” est utilisé dans la nuit du 26 au 27 avril 1942 par le lieutenant Guy Lockhart dans le cadre de l’opération GAZELLE toujours pour le compte du réseau “Ali-Tir ”. L’opération est demandée par Edgart Tupet, mais c’est Gaston Tavian (alias “Collin ”) qui assure la réception au sol alors qu’il n’a reçu aucune formation. Le Lysander amène un passager Pierre Beech (alias “Gazelle ”) qui vient rejoindre le réseau “Ali-Tir ” comme opérateur-radio et repart avec deux agents : Gaston Tavian lui même et le lieutenant de vaisseau Mariotti (alias “Rousseau ”).
Cette opération faillit tourner à la catastrophe comme l’indique le pilote Guy Lockhart : “Malheureusement le terrain d’atterrissage était sur une éminence et je fis un bond. Le moteur commençait à brûler. Je coupai le contact... ... au bout de six à sept minutes les flammes s’éteignaient. Je remis le moteur en marche et roulait jusqu’à la lumière A ”. Après cet incident toute demande de réception d’un vol par un agent non formé préalablement en Angleterre fut refusée. Gaston Tavian une fois formé revint aux Lagnys lors de l’opération SHRIMP dans la nuit du 29 au 30 mai 1942.
Lors de cette nuit du 29 au 30 mai 1942, le Lysander piloté par le commandant Alan Murphy dépose outre Gaston Tavian, également Jacques Pain et embarque Edgard Thome (alias “Tupet ”), et Philippe Roques.
Dans la nuit du 18 au 19 novembre 1942 la première tentative de doublé Lysander fut tentée en direction du terrain des Lagnys. Mais les Lysander ne purent se suivre dans les nuages et l’opération fut annulée.
Dans la nuit du 22 au 23 novembre 1942 les deux Lysander du lieutenant-colonel Charles Pickard et du capitaine John Bridger dans le cadre de l’opération SKATE/SQUID déposent deux agents : Lardy et Denviollet (un opérateur-radio devant assister Jean Moulin) et en embarquent trois : Gaston Tavian (alias “Collin ”), Georges Descroizette et Philippe Serra (alias “ Morisot ”). C’est le premier doublé Lysander officiellement réussi.
Nuit du 2 à 3 mars 1944 reprise des opérations sur le terrain, cette fois pour le compte du réseau Mithridate. Le Lysander piloté par le capitaine Murray Anderson dans le cadre de l’opération GITANE dépose deux passagers W.-J. Savy, Eileen Nearne et en prend deux Georges Lovinfosse et Maurice Durieux."

www.deols-tourisme.fr 

Laurent Laloup le mardi 02 septembre 2008 - Demander un contact

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"ALI, affecté aux renseignements eut pour chefs, successivement Wybot (pseudo Ronald), d’avril à octobre 1941; Mangin (pseudo Pierre), d’octobre 1941 à février 1942; Andlauer (pseudo Antoine) de février à décembre 1942 tandis que TIR, branche Action du réseau eut pour chefs Tupet (pseudo Thome), de novembre 1941 à avril 1942 et Tavian (pseudo Collin) d’avril à décembre 1942. ALI-TIR mit sur pied d’autres réseaux qui finalement furent mis en rapport avec Londres. Ce furent : Roques Philippe (alias Rondeau) et Augure; Thermopyle (alias Groland), remplacé après son arrestation par Pignaniol; Fabre, rattaché à Phalanx (alias Garnier) et Christian Pineau; Peretti, réseau Ajax; Bornier, dit Bouche, réseau Sal; Raimondi, réseau Rud Corse; Jean Charron, dit Rocher, réseau Dur. Dès août 1941, ALI-TIR eut des relations par radio avec le B.C.R.A. et entre novembre 1941 et novembre 1942 eut à son actif neuf opérations aériennes dont trois parachutages d’hommes et de matériel et six atterrissages comportant des réceptions et des départs d’agents. Sur un effectif de 75 agents, quatre furent tués, cinq furent déportés et un mourut en déportation."

www.france-libre.net 

Laurent Laloup le mercredi 29 août 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mercredi 05 août 2020

 

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