Maurice André Ripoche - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Maurice André Ripoche



Naissance : 27 mai 1895 - Paris 14e

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en octobre 1941

Affectation principale : Résistance intérieure / Libération

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2

Décès à 49 ans - 20 juillet 1944 - Cologne, Allemagne

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 295658

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 44504

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Recherche de renseignements

Bonsoir,

Je suis à la recherche de renseignements sur mon grand père, Jean Trividic. Il était le cousin de Maurice Vannier (adjoint de Maurice Ripoche) qui l’avait missionné pour brouiller les ondes radios des allemands et concevoir des dispositifs électriques (il était ingénieur diplômé d’arts et métiers) destinés à déclencher des explosifs à des fins de sabotage et de coups de mains contre les allemands. Maurice Vannier était son cousin germain.

Merci par avance et cordialement

Capitaine Marc Trividic

Trividic le jeudi 30 juin 2022 - Demander un contact

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Chronique de la Résistance (nouvelle édition) De Alain GUÉRIN

GR 16 P 447744 | NOUTOUR ( Jules Edmond Marcel ) | 1897-12-12 | Boulogne-sur-Mer | Pas-de-Calais | FRANCE | RIF DIR
GR 16 P 199917 | DUMEZ ( Natalis Gustave ) | 1890-04-17 | Bailleul | Nord | FRANCE | RIF DIR
GR 16 P 9452 | ALLOY ( Lionel ) | 1905-08-04 | Calais | Pas-de-Calais | FRANCE | FFc FFi DIR
GR 16 P 296395 | HOUCKE ( Jules René ) | 1898-05-20 | Nieppe | Nord | FRANCE | FFc
GR 16 P 345686 | LEBAS ( Jean Baptiste ) | 1878-10-24 | Roubaix | Nord | FRANCE | FFc DIR
GR 16 P 44675 | BELLANGER ( Claude Edmond ) | 1910-04-02 | Le Mans | Sarthe | FRANCE | RIF DIR ?

Laurent Laloup le vendredi 14 août 2020 - Demander un contact

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"... Robert Masson («Samson», «Bob») fonda ce réseau et le dirigea avec François Aubry («Conrad», «Albin»). Fils d industriel, Robert Masson 7 est né en 1914 à Paris. Il devient cadre dans l industrie et effectue son service militaire en dans l armée de terre, après être passé par une école d élèves officiers. Mobilisé en 1939 comme sous-lieutenant de réserve, il est démobilisé à Alger après l armistice de juin De retour en métropole, il entre dans la Résistance en janvier 1941 comme agent du SR Air à Paris. Il assure la liaison avec le mouvement de résistance Ceux de la Libération et se trouve dès lors en contact avec les membres du comité directeur de ce mouvement : Maurice Ripoche, Henri Pascal, Jacques Ballet et Gilbert Védy («Médéric»). En même temps, Robert Masson monte un réseau personnel et assure une liaison mensuelle avec le commandant Badré à Vichy, où il achemine le courrier dont les renseignements sont transmis à Londres par radio. Il traverse ainsi la ligne de démarcation à 50 reprises. En décembre 1942, il passe en Espagne mais il est arrêté et emprisonné à Lérida. Il s évade, rejoint Gibraltar avant de gagner Alger puis Londres. En avril 1943, il est parachuté en Normandie avec un poste de radio ; il a pour mission de mettre sur pied un nouveau réseau remplaçant le précédent. Il crée alors le réseau des Forces françaises combattantes «Samson», assure des liaisons radio, organise un service de reproduction du courrier. En mai 1943, il regagne Londres. À sa demande, à la suite d arrestations compromettant le fonctionnement de plusieurs sous-réseaux (structure locale dépendant d un réseau), il est de nouveau parachuté en France le 9 février Il organise le regroupement des postes du SR de zone nord et du réseau Samson. Le 3 juin 1944, il se rend à nouveau en Grande-Bretagne et est affecté au BCRA de Londres, tout en gardant la direction de Samson jusqu à la libération du territoire national. En décembre 1945, Robert Masson quitte l armée avec le grade de commandant et devient administrateur d une société de transport aérien. Par la suite il fera carrière à Sud-Aviation. Il a été fait Compagnon de la Libération par décret du 12 juin François Aubry nous reste largement ignoré en l état de nos sources. Né à Pont-à-Mousson en 1908, il était parisien, marié et père de deux enfants. Son dossier individuel conservé par le Bureau Résistance est purement administratif et ne nous permet pas de reconstituer son parcours résistant. Avec le pseudo «Albin», il est homologué comme agent P2 du réseau à compter du 1 er mai Plusieurs sous-réseaux ont été identifiés : sur le littoral méditerranéen, en Bretagne et Normandie, à Bordeaux et à Caen, en région parisienne, à Laon et à Troyes. Le réseau a réceptionné une dizaine de parachutages en et cinq atterrissages entre août 1943 et juin de ses membres ont été déportés, 17 ont disparu et trois ont été fusillés. En février 1943, la section Renseignement du BCRA décide la création d une centrale de renseignement et de transmission en France occupée, dont la mission est de rassembler tout le renseignement d ordre militaire recueilli par divers réseaux ou organisations de résistance et de le transmettre par radio ou opérations aériennes au BCRA en vue de son exploitation. Cette centrale, qui transmet les renseignements collectés par Samson, a changé plusieurs fois de nom selon les pseudonymes de ses chefs successifs : Parsifal, Périclès, Phidias puis Praxitèle 9. Son rôle est très important : assurer la coordination entre la France occupée et le BCRA, permettre à des réseaux privés de moyens de transmission autonome de faire parvenir le renseignement, préparer les grandes opérations aériennes de En février 1943, la section Renseignement du BCRA décide la création d une centrale de renseignement et de transmission en France occupée... Un réseau actif dans l Aube À partir de mars 1943, un jeune officier sorti de Saint- Cyr, Maurice Dalit («Deborre»), implante le réseau Samson dans le département de l Aube 10. Il dispose de deux adjoints : Hugues Portailler («Ridder»), entrepreneur de peinture à Troyes, et Albert Cligny, à Romilly-sur-Seine. Les membres les plus importants appartiennent à la famille troyenne Launay. Le fils, Jacques, instituteur, entre dans la clandestinité en Doté d un nouvel état civil, il effectue des missions de liaison entre la Champagne et la Bourgogne. À Romilly-sur- Seine, Maurice André, ingénieur à la SNCF, coordonne la collecte de renseignements que fournissent indistinctement la sage-femme Delphine Aigle, le tailleur Maurice Herzkowicz ou le cheminot André Bachmann. Le garagiste Pierre Férat de Mailly-le-Camp draine également nombre d éléments intéressants sur le centre d entraînement allemand proche du village. Afin de permettre au réseau Samson de fonctionner dans de meilleures conditions, deux postes radio sont installés grâce à l aide de l organisation auboise Résistance-Fer, et un plan de transmission avec Londres est donné aux opérateurs dès l été 1943, en vue d opérations aériennes dans le secteur. Deux agents se rendent alors dans l Aube pour procéder à cette opération. Ils sont reçus par Maurice Dalit qui les met en relation avec un agent des chemins de fer, et ce dernier leur permet d installer deux postes émetteurs et une antenne dans les combles de la gare, à l étage situé au-dessus des bureaux des services des cheminots allemands. ..."

Yonne-memoire-1943-la-marine-allemande 

GR 16 P 042 | AIGLE ( Delphine ) | 1899-02-23 | Romilly-sur-Seine | Aube | FRANCE | FFc
GR 16 P 26198 | BACHMANN ( André Jules Auguste ) | 1920-12-26 | Romilly-sur-Seine | Aube | FRANCE | FFc FFi

Laurent Laloup le jeudi 12 mars 2020 - Demander un contact

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Complément au témoignage de Georges Savourey, recueilli par Jeanne Patrimonio

GR 16 P 393809| MARIAGE ( Pierre )| 1896-11-30|||| FFc



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Laurent Laloup le jeudi 19 décembre 2019 - Demander un contact

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"... Il est difficile de mesurer l'action de CDLL au cours de l'année 1941. Il semble que l'extension géographique du mouvement date surtout de l'année 1942. Au cours de déplacements en province, certains de ses agents, comme Maurice Vannier ou Guy Trouvé, organisent des groupes. Georges Wauters, désigné en 1941 comme délégué de CDLL en Champagne, développe ainsi le mouvement dans cette région. Pierre Beuchon, ancien des chars, y effectue le même travail en Bourgogne dont il est originaire. Assez rapidement, le mouvement est surveillé de près par la police. Après Henri Pascal, un des premiers membres de CDLL, Maurice Ripoche manque d'être arrêté le 9 octobre 1941. Il doit fuir, lui aussi, la région parisienne ; il rejoint Lyon sous le pseudonyme de "Dufour". Sur place, il continue à diriger le mouvement mais c'est Georges Savourey qui a pris la tête de l'organisation en zone occupée. Lorsque ce dernier se rend en zone libre en janvier 1942, il apprend que de lourdes menaces pèsent sur le mouvement dont l'activité est connue des services de police. Alors que Ripoche et Rivet lui conseillent de demeurer à Lyon, Savourey reprend le chemin de Paris, n'ayant pas préparé sa succession. Il consacre les semaines suivantes à terminer le travail en cours. Il désigne un successeur et est finalement appréhendé le 1er mars 1942. Le renseignement revient à Jacques Ballet. Le mouvement continue de fonctionner grâce aux membres du comité directeur (Henry Chareyron, Raymond Jovignot...).
En dépit de cette menace permanente, l'année 1942 voit la création de nouveaux services et l'extension du mouvement : le service Action et le service Evasion sont mis sur pied. Ce dernier voit le jour sous la direction de René Leduc, vraisemblablement vers la fin de l'année. Il s'agit, à l'origine, de faire passer en zone libre les prisonniers français et anglais évadés et les Français désireux de rejoindre les FFL ou la zone non occupée. A la fin de l'année 1942, l'activité s'étend aux aviateurs alliés et aux agents de Londres. Des équipes sont constituées dans l'Eure, le Calvados, une partie de la Bretagne et en Ile-de-France. Elles recueillent les candidats au départ, les dirigent vers Paris où ils sont hébergés par un réseau de logeurs. Toute une logistique accompagne ce travail. Léon Roulin d'Argenteuil appartient par exemple au groupe de la préfecture de la Seine : il aide à la fourniture de fausses cartes d'identité, de cartes d'alimentation... Deux circuits géographiques rejoignent ensuite les Pyrénées via le lieu de transit principal de la filière Evasion, une ferme landaise bien camouflée. Localement, le réseau est dirigé par Guy Trouvé (alias "Perdu"). Des passeurs espagnols prennent ensuite le relais. René Leduc estime avoir convoyé lui-même une trentaine d'aviateurs jusqu'en février 1944. Le nombre total d'aviateurs ayant utilisé les filières du réseau aurait été de 150. L'arrestation de René Leduc le 2 février 1944 met un terme à l'activité du service..."

museedelaresistanceenligne.org 

Laurent Laloup le lundi 16 décembre 2019 - Demander un contact

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"... Avec le docteur Hubert Canale, il dirige le secteur ouest (jusqu’à Pontoise, sauf Versailles) de « Ceux de la Libération – C.D.L.L », mouvement de Résistance intérieure française (en zone occupée) dont le chef est l’industriel lyonnais Ripoche. Le C.D.L.L est l’un des huit grands mouvements de résistance membres du Conseil national de la Résistance (CNR), mis en place par Jean Moulin en 1943.
Marcel Roby est arrêté le 11 novembre 1942 ..."
www.museedelaresistanceenligne.org 

GR 16 P 515544 | ROBY ( Marcel Félix ) | 1884-10-02 | Paris 6 | Seine | FRANCE | FFc DIR

Leçon d'histoire de France: Saint-Germain-en-Laye : des antiquités ...
De François Boulet



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Laurent Laloup le mercredi 30 octobre 2019 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le jeudi 30 juin 2022

 

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