Pierre Alfred Marie Beuchon - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Pierre Alfred Marie Beuchon



Naissance : 16 avril 1900 - Poitiers (86)

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en octobre 1940

Affectation principale : Résistance intérieure / Libération

Décès à 92 ans - 5 novembre 1992 - Neuilly-sur-Seine (92)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 57109

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 5386

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Pierre Alfred Marie Beuchon - son Livre ouvert !
 

Nom :BEUCHON
Prénom :Pierre Alfred Marie
Sexe :M
Jour de naissance :16
Mois de naissance :04
Année de naissance :1900
Code insee naissance :86194
Commune de naissance :Poitiers
Pays de naissance :FRANCE
Jour de décès :05
Mois de décès :11
Année de décès :1992
Code insee deces :92051
Commune de décès :Neuilly-sur-Seine

Relevé effectué par : GeneaNet
Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE à partir des informations reçues des communes dans le cadre de leur mission de service public. 

Laurent Laloup le lundi 16 décembre 2019 - Demander un contact

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"... Il est difficile de mesurer l'action de CDLL au cours de l'année 1941. Il semble que l'extension géographique du mouvement date surtout de l'année 1942. Au cours de déplacements en province, certains de ses agents, comme Maurice Vannier ou Guy Trouvé, organisent des groupes. Georges Wauters, désigné en 1941 comme délégué de CDLL en Champagne, développe ainsi le mouvement dans cette région. Pierre Beuchon, ancien des chars, y effectue le même travail en Bourgogne dont il est originaire. Assez rapidement, le mouvement est surveillé de près par la police. Après Henri Pascal, un des premiers membres de CDLL, Maurice Ripoche manque d'être arrêté le 9 octobre 1941. Il doit fuir, lui aussi, la région parisienne ; il rejoint Lyon sous le pseudonyme de "Dufour". Sur place, il continue à diriger le mouvement mais c'est Georges Savourey qui a pris la tête de l'organisation en zone occupée. Lorsque ce dernier se rend en zone libre en janvier 1942, il apprend que de lourdes menaces pèsent sur le mouvement dont l'activité est connue des services de police. Alors que Ripoche et Rivet lui conseillent de demeurer à Lyon, Savourey reprend le chemin de Paris, n'ayant pas préparé sa succession. Il consacre les semaines suivantes à terminer le travail en cours. Il désigne un successeur et est finalement appréhendé le 1er mars 1942. Le renseignement revient à Jacques Ballet. Le mouvement continue de fonctionner grâce aux membres du comité directeur (Henry Chareyron, Raymond Jovignot...).
En dépit de cette menace permanente, l'année 1942 voit la création de nouveaux services et l'extension du mouvement : le service Action et le service Evasion sont mis sur pied. Ce dernier voit le jour sous la direction de René Leduc, vraisemblablement vers la fin de l'année. Il s'agit, à l'origine, de faire passer en zone libre les prisonniers français et anglais évadés et les Français désireux de rejoindre les FFL ou la zone non occupée. A la fin de l'année 1942, l'activité s'étend aux aviateurs alliés et aux agents de Londres. Des équipes sont constituées dans l'Eure, le Calvados, une partie de la Bretagne et en Ile-de-France. Elles recueillent les candidats au départ, les dirigent vers Paris où ils sont hébergés par un réseau de logeurs. Toute une logistique accompagne ce travail. Léon Roulin d'Argenteuil appartient par exemple au groupe de la préfecture de la Seine : il aide à la fourniture de fausses cartes d'identité, de cartes d'alimentation... Deux circuits géographiques rejoignent ensuite les Pyrénées via le lieu de transit principal de la filière Evasion, une ferme landaise bien camouflée. Localement, le réseau est dirigé par Guy Trouvé (alias "Perdu"). Des passeurs espagnols prennent ensuite le relais. René Leduc estime avoir convoyé lui-même une trentaine d'aviateurs jusqu'en février 1944. Le nombre total d'aviateurs ayant utilisé les filières du réseau aurait été de 150. L'arrestation de René Leduc le 2 février 1944 met un terme à l'activité du service..."

museedelaresistanceenligne.org 

Laurent Laloup le lundi 16 décembre 2019 - Demander un contact

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nom d'un de ses "agent de liaison"

René Gaignier , né en 1907 , a fait son service dans les chars , et lorsque la guerre a été déclarée , c'est en tant qu'instructeur qu'il a combattu sous les ordres de son Capitaine - c'est ainsi qu'il a eu comme élève Jean Nohain et son frère Claude Dauphin ...
après la capitulation , il n'a pas pu reprendre son activité de 1939 , son taxi ayant été réquisitionné -
c'est tout naturellement qu'il s'est tourné vers son capitaine qui l'a engagé comme chauffeur dans l'entreprise dont il était directeur - la SOFIM

de chauffeur , René est tout naturellement passé au rôle d'agent de liaison-

j'ai encore en mémoire les histoires que mon père nous racontait ... de même que la tristesse qu'il affichait au retour des "déjeuners des anciens des chars" , en nous annonçant la disparition de l'un de ses amis -

mon père est mort en 1989 ..

Gaignier Claude Catherine le vendredi 06 mars 2009 - Demander un contact

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"Mr Beuchon de "Ceux De La Libération" écrit :
"Notre réseau a apporté à Vidal ce qui lui était nécessaire, car il était démuni de tout et peu habitué à la vie clandestine dont nous avions deux ans d'expérience".
...
L'association "A la Mémoire du Général DELESTRAINT" dont les buts sont de "Défendre, honorer, perpétuer sa mémoire" comporte cent quatre vingt adhérents, dont la plupart l'ont connu.

Ici, ne parlons pas des anciens des chars, ni des anciens déportés, mais abordons les témoignages de ceux qui l'ont connu pendant la Résistance. Tous gardent du Général Vidal un souvenir privilégié. Soit qu'ils nous aient quittés, et donc ont laissé leur témoignage, soit qu'ils aient survécu à ces épreuves et apportent leur suffrage sans réserve. Les militaires comme les civils.

Que ce soient des officiers, tels les Généraux LE RAY, de WITASSE, GRANIER, le Capitaine de vaisseau THEOBALD et bien d'autres, les AUBRAC, ou des civils, anciens de la Résistance, tels les BRISSOT, les BEUCHON de la Zone Nord, lui apporteront une caution sans réserve. Aucun n'a apporté les mêmes accusations qu'Henri FRENAY et certains de ses adjoints, qui les réitérèrent inlassablement. "

delestraint 

Laurent Laloup le dimanche 28 octobre 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le lundi 16 décembre 2019

 

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