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| Jacqueline Jeanne Marie de la Rochebrochard épouse de Lorne d’Alincourt / Péry | |
Naissance : 20 décembre 1919 - Plaine-d'Argenson (79)
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en novembre 1942
Affectation principale : Résistance intérieure / Delegation générale
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2
Décès à 89 ans - 21 avril 2009 - Paris 17eEpouse de Pierre Pery
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 168162
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 14523 / ligne 41117 |
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Son premier époux Joseph Jean Marie L'ORNE D'ALINCOURT (DE)
Mort pour la France le 23-03-1941 (Nuremberg, Allemagne)
Né(e) le/en 02-03-1911 à Luzy-sur-Marne (52 - Haute-Marne, France)
30 ans, 0 mois et 21 jours
Carrière
Statut militaire
Unité 404e régiment d'artillerie de défense contre aéronefs ou contre-avion (404e RADCA)
Mention Mort pour la France
Cause du décès maladie
Sources Service historique de la Défense, Caen
Cote AC 21 P 79733 Jacques Ghémard le lundi 26 avril 2021 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Disparition de Jacqueline Péry d’Alincourt www.humanite.fr Tribune libre - Article paru le 29 avril 2009
" Jacqueline Péry d’Alincourt, alias Violaine dans la clandestinité, une des collaboratrices de Jean Moulin, est décédée mardi dernier à l’âge de quatre-vingt-neuf ans. Née de la Rochebrochard, au sein d’une famille de l’aristocratie bretonne, jeune veuve de guerre, elle avait rejoint la Résistance en 1942, après avoir vu un enfant portant l’étoile jaune dans le métro parisien. « Il faut choisir, le Christ ou Hitler », expliquait-elle plus tard, lorsqu’elle évoquait son engagement au péril de sa vie dans l’équipe de Daniel Cordier, secrétaire de Jean Moulin. Elle y assura « l’intendance » comme « boîte aux lettres » jusqu’à son arrestation, le 24 septembre 1943 à Paris. Elle sera torturée pendant cinq jours, rue des Saussaies, par la Gestapo qui tentera vainement de la faire parler.
Emprisonnée à Fresnes, puis déportée en avril 1944 dans le camp de concentration de Ravensbrück en Allemagne, elle y partagera pendant des mois le sort de Geneviève Anthonioz de Gaulle et de Germaine Tillion, ses compagnes de déportation. Sauvée par la Croix-Rouge suédoise, elle quittera le camp en avril 1945.
Après la guerre, elle n’a jamais cessé de témoigner sur la Résistance et la déportation. Son témoignage a été recueilli dans un ouvrage publié en janvier 2008 par François Berriot aux éditions l’Harmattan. Jacqueline Péry était grand officier de la Légion d’honneur." Laloup Laurent le lundi 04 mai 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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