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Michel de Cadaran de Saint-Mars ? Michel de Cadaran de Saint-Mars (1923-"Killed in action" .Morocco 1944)
www.angelfire.com 
" This is the line of William the Conqueror. I am also adding the main noble families e.g. Dukes of Norfolk, The Stafford Family, The Nevills etc., by popular request! I am constructing my own website and can be viewed above. At the moment I would be grateful not to receive emails for a while as I am working on the new site. Thanks."
awt.ancestry.com  Laloup laurent le jeudi 16 août 2007 Recherche sur cette contribution | |
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" En janvier 1939, Henri de Molènes devance l'appel sous les drapeaux et se trouve incorporé au Bataillon de l'Air numéro 136 de Pau. Lorsque survient l'armistice, il est élève à l'école de pilotage de Dax et décide, avec plusieurs camarades, en particulier le Capitaine Bécourt-Foch, de rejoindre l'Angleterre, le seul pays encore en guerre contre les forces de l'axe. Il se rendent à Saint-Jean-de-Luz où ils parviennent à embarquer sur l'Ettrick, à destination de la Grande-Bretagne.
Le 27 juin 1940, Henri de Molènes s'engage dans les Forces aériennes françaises libres (FAFL) comme Caporal Chef, élève pilote. Sur la fiche de renseignements personnels qu'il remplit alors, il mentionne en rubrique "personne à prévenir en cas d'accident : Maréchal Pétain (Philippe) Vichy (Allier) France". Il reprend son entraînement dans la RAF à la Service Flying Training School 5 de Ternhill en juin 1941. Il achève sa formation à l'Operationnel Traning Unit 59 de Crosby-on-Eden à partir de septembre . Nommé Sous Lieutenant le 9 octobre 1941, il est affecté au Squadron 615 le 18 novembre 1941 avant d'être transféré au Squadron 91 le 12 février 1942.
Le 27 août 1942, il décolle vers 12 h 50 avec son coéquipier du Squadron 91, le F/L R M Hall, à la recherche de quatre aviateurs alliés tombés en mer au large des côtes du Sussex. Les pilotes repèrent deux Dinghies avec les naufragés. Henri de Molènes se met alors à effectuer des cercles autour d'eux en attendant l'arrivée d'une vedette de sauvetage pendant que son coéquipier part à la rencontre des secours. Lorsque ce dernier revient sur les lieux, il ne retrouve pas Henri de Molènes qui selon les naufragés volait bas, probablement victime de problèmes de moteur. Son corps sera retrouvé peu de temps après, sérieusement blessé (visblement en évacuant son appareil dont il aurait heurté le gouvernail). Il décède pendant son transfert vers l'hôpital. "
www.cieldegloire.com  Laurent Laloup le mercredi 15 août 2007 Recherche sur cette contribution | |
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www.airtalk.org/ 
Deux anciens de l'escadrille Normandie-Niémen reçoivent des médailles russes
PARIS, 29 avril - par Andreï Nizamoutdinov, RIA Novosti. Deux anciens de la légendaire escadrille Normandie-Niémen, Georges Masurel et Georges Mounier, se sont vu décerner des médailles russes à l'occasion du 60e anniversaire de la victoire dans la Grande Guerre patriotique (1941-1945).
En remettant les décorations, l'ambassadeur de Russie en France, Alexandre Avdeïev, a souligné que les pilotes de Normandie-Niémen avaient écrit l'une des pages glorieuses de l'histoire de la victoire commune sur le fascisme et fourni un bel exemple de la fraternité d'armes russo-française.
Pour leur part, les anciens combattants ont déclaré qu'ils conserveraient jusqu'à la fin de leurs jours les souvenirs les plus chaleureux de tous ceux avec lesquels ils avaient combattu, plus de 60 ans plus tôt, contre l'ennemi commun.
Masurel et Mounier ont commencé leur parcours au Proche-Orient et en Afrique du Nord, puis sont arrivés en URSS à la fin de 1942 au sein d'un premier groupe de volontaires français.
"C'était une époque dure et affamée. Après deux années passées en Afrique, on avait peur de nous retrouver dans une Russie froide et enneigée. Mais l'accueil chaleureux qui nous a été réservé a dissipé toutes les craintes. Dès les premiers jours, nous avons senti appartenir à une nouvelle famille unie", a raconté Georges Masurel.
Georges Mounier lui a fait chorus en qualifiant l'accueil réservé aux volontaires français d' "absolument fantastique".
Masurel et Mounier étaient mécaniciens lors de la première campagne de l'escadrille qui a duré la plus grande partie de 1943, puis ils ont été rappelés.
"Nous voulions rester au sein de l'escadrille, j'ai demandé même qu'on me permette de passer l'examen de pilotage, car j'avais de l'expérience de vol, mais l'attaché militaire français de l'époque était catégorique", a-t-il expliqué.
On ne contredit pas les ordres, et les amis sont rentrés au Proche-Orient où ils se sont battus au sein des troupes françaises de l'étranger, puis ont participé à la libération de la France, et Masurel était déjà pilote.
Le sculpteur russe Vladimir Sourovtsev qui a assisté à la cérémonie a exposé aux anciens combattants son projet de monument aux combattants de l'escadrille Normandie-Niémen qui représenterait deux pilotes, un Français et un Russe, rentrant après une mission.
L'idée a semblé plaire aux combattants français qui ont demandé au sculpteur que le pilote russe ressemble à leur chef, le général Zakharov. Laurent Laloup le mercredi 15 août 2007 Recherche sur cette contribution | |
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GOULIN Daniel (né le 17/10/1921 au Liban, aucun renseignement) un des 42 mécaniciens français du Normandie Niemen. Arrivé en U.R.S.S. le 28 novembre 1942, il est muté au Moyen-Orient le 18 août 1943.
perso.orange.fr/francois.goulin/ Généalogie mondiale des familles Goulin, Goullin, Goulain et Bascans Laurent Laloup le mercredi 15 août 2007 Recherche sur cette contribution | |
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Madame Giovancarli Source : www.calixo.net 
"12 janvier 1945 : incendie rue de la Victoire
Témoignage de Mariette Giovancarli, née Roth (photo Guy Frank, 3 septembre 2003)
On se trouvait dans la cave de la brasserie Imbach, quand ma cousine Antoinette Kling est venue me chercher, en me disant qu'il y avait le feu chez eux, dans la Wolfsgasse. Je suis allée l'aider pour essayer de sauver quelques affaires, des vêtements et du linge. Nous avons ainsi fait plusieurs voyages avec une "marikkutsch" entre la Wolfsgasse et notre maison rue des Vignerons.
Nous étions dans la grange Kling quand un nouvel obus est tombé dans la rue. Antoinette a été blessée à la gorge, et moi à l'œil et aux deux jambes. Je voulais rejoindre notre maison par la rue de la Petite Porte car les obus continuaient à tomber dans la Wolfsgasse, mais je me suis évanouie devant la maison d'Engel Marie. Là, le Dr Kretz ou Pflimlin, je ne sais plus, est venu m'examiner, et voyant la gravité de mes blessures, il m'a fait évacuer vers Colmar.
Nous étions quatre dans l'ambulance. Moi-même, Albert Bernhart, et deux autres personnes. A l'hôpital Pasteur, une infirmière m'a fait des compressions pour essayer de sauver ma jambe. Le chirurgien allemand voulait m'amputer, mais le Dr Dettloff m'a opérée, en disant que ce serait dommage de couper la jambe à une jeune fille de 20 ans.
Avaient également été blessés cette nuit-là et ont survécu à leurs blessures : ma tante Mme Kling née Schmitt, ma cousine Antoinette Kling, Braun Joseph, père de l'appariteur Louis Braun, et Lucie Zibolt.
Quand je suis revenue à Wintzenheim au mois d'avril, j'ai fait la connaissance de mon mari, Laurent Giovancarli, sergent-chef mécanicien d'armement dans l'armée de l'air, groupe "Ardennes". Il logeait chez les Breysacher, dans le haut du village. En effet, les sous-officiers logeaient chez les particuliers et se restauraient chez Imbach, rue de la Brasserie. Les hommes de troupe étaient logés et nourris dans l'usine "Jaz", et les officiers à l'Hôtel Meyer.
Source : témoignage recueilli par Guy Frank le 3 septembre 2003 
Laurent Laloup le mercredi 15 août 2007 Recherche sur cette contribution | |
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" Trois hommes sous chaque aile, deux sous la queue et un aux commandes, moteur en route, témoigne Jean Calorbe, mécanicien de Tulasne. Les pilotes avaient beau nous donner un coup de main, ce n'était pas une sinécure."
www.defense.gouv.fr  Laurent Laloup le mercredi 15 août 2007 Recherche sur cette contribution | |
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