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Extrait de "Le temps des crtitudes" de Yves Guena "...Géo Bouvier, tu avais quitté les charmes de la concession française de Shangaï pour rejoindre l'Afrique française libre; tu es le dernier que je vois régulièrement et nous évoquons ensemble, pour notre plaisir, toute cette aventure..."
Georges Bouvier est l'auteur de : LES COMPAGNONS DE LA LONGUE MARCHE ,editions Muller
"Un vrai tourbillon d'aventures qui s'enchaînent à travers le vaste monde. Le Leitmotiv étant quatre retours en Chine. Successivement le lecteur sera transporté dès 1935 dans le voyage en "Transsibérien" par l'Est de la France, l'Allemagne, la Pologne, la Russie jusqu'à Vladivostok puis Shanghaï. Du fait de la guerre en 1940, un nouveau périple nous entraîne à Hong-Kong, Singapour, l'Afrique du Sud à Cape Town, la remontée du Congo jusqu'à Léopoldville et Brazzaville. L'aventure s'accélère et devient une épopée avec les combats de la France libre, en Lybie, en Tunisie. Deux contributions originales enrichissent ce passage Le 1er Régiment de Spahis marocains dans la campagne d'Erythrée de Pierre Mercinier et L'Opération Himeimat pendant la bataille d'El Alamein de Roger Barberot. Ensuite nous suivons la montée en puissance de la 2ème D.B. en Algérie, au Maroc et la Préparation de l'opération Overlord en Angleterre, le débarquement à Omaha Beach, la bataille de Normandie, la Libération de Paris, les combats dans les Vosges où l'auteur est blessé. Second retour en Chine à Chung-King, Georges Bouvier y a été nommé attaché militaire. Sa blessure le faisant souffrir, il va se faire soigner en Inde à Calcutta. Troisième retour en Chine à Shanghaï cette fois où il retrouve enfin ses parents et est démobilisé. Ensuite la poursuite des études aux Etats-Unis à Harvard et le quatrième retour en Chine. On vit l'évolution politique chinoise sous les régimes différents : les concessions internationales, le nationalisme de Tchang Kaï-chek, l'occupation japonaise avec la terrible Kempetaï, puis l'accession au pouvoir de Mao. Enfin, c'est le retour en France. " 
Laurent laloup le mercredi 21 février 2007 Contribution au livre ouvert de Georges Michel Bouvier | |
