| |  | | | | Un Français Libre parmi 63566
| | | Michel Malaguti | |
Naissance : 27 mars 1898 - Guingamp (22)
Activité antérieure : militaire
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en mars 1943
Affectation principale : Terre - Londres / divers
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : general
Décès à 81 ans - 14 septembre 1979 - Paris
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 386105
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 33508 |
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Michel Malaguti - son Livre ouvert !
Michel Colment est passé en Espagne le 4 mai 1943 avec un groupe Cantarel, de Witasse, Malaguti, Delpierre et d'autres dont mon père Van De Velde Gilbert, évadé belge les ayant rejoint en Andorre (Hotel Coma)
Tout est confirmé dans un carnet de voyage de mon père.. Michel Van De Velde le samedi 23 mai 2020 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution Réponse : Je lis dans la page de Cantarel " Le 22 avril, vers 11 heures, ils franchissent la frontière, au port de Siguer. Ils amorçent ensuite une pénible descente vers la principauté. Le groupe arrive à Ordino dans la soirée et s'installe à l'hôtel Coma. de nombreux juifs séjournent dans cet établissement. Les fugitifs du général Cantarel restent là jusqu'au 27 avril, en raison des fêtes pascales. Le 28 avril, le groupe Cantarel rejoint seul San Julia de Loria pour arriver le 5-mai à Manresa ..."
San Julia de Loria est en Andore et Manresa est en Espagne, donc ça correspond bien à ce que dit votre père. Mais je suppose que le passage en Andore est considéré comme un passage en Espagne
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 Michel Malaguti
•Né le 27 mars 1898 - Guingamp (Bretagne)
•Décédé le 14 septembre 1979 - Paris, à l'âge de 81 ans
•Général de corps d'armée
Parents
• Charles-Joachim Malaguti 1851-1914
◦ Sélima Moureau †
Union
• Marié le 3 février 1920, Paris, avec Marcelle Gardet 1900-1980
Laurent Laloup le vendredi 22 mars 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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José Aguilera Un des auteurs de ma thèse, le mécanicien madrilène José Aguilera Pérez (1919-?), dont le parcours de vie est passionnant, a servi la Résistance française sous les ordres du général Malaguti dans la divison Leclerc après un passage par Londres et Brazaville. Il est ensuite réincarcéré sous l'Espagne de Franco de 1947 à 1952. Si quelqu'un l'a connu, je serais ravie de vous lire ! Aurore le vendredi 26 février 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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MALAGUTI au 41e BCC En 1940 mon père Francis HENAULT était radio au 41e BCC. Il avait gardé un bon souvenir du Commandant MALAGUTI. "C'était un chef !" aimait préciser mon père quand il me parlait de lui. Il m'a souvent raconté cette anecdote :
« La nuit, les chars étaient gardés par des sentinelles armées. Dans certains régiments, il était arrivé que des sentinelles se fassent tuer à l’arme blanche par des parachutistes allemands. Le Commandant Michel MALAGUTI avait voulu s’assurer personnellement que les sentinelles du 41e BCC montaient correctement et efficacement la garde du bataillon. Une nuit, il s’était glissé furtivement entre les chars pour surprendre une des sentinelles, quand il a senti une douleur entre les omoplates et une voix lui dire « Les mains en l’air !». C’était une sentinelle qui lui avait collé brutalement le canon du fusil dans le dos. MALAGUTI lui répondit : « Je suis le Commandant MALAGUTI ». « Je ne veux pas le savoir. Les mains en l’air ! », et la sentinelle lui redonna un sérieux coup entre les omoplates avec son fusil pour l’obliger à obtempérer. C’est les mains en l’air et le fusil pointé dans le dos que MALAGUTI s’est retrouvé au poste de garde. A ce moment seulement, la sentinelle a claqué des talons et salué le Commandant MALAGUTI en lui présentant ses excuses. Pour cet évènement, le Commandant MALAGUTI donna une permission exceptionnelle à cette sentinelle vigilante qui avait fait preuve d’une extrême prudence. Nous, on enviait cette sentinelle car il est extrêmement rare d’avoir une permission en temps de guerre ». HENAULT Michel le vendredi 05 février 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Général Malaguti Mon père, Pierre Havard, a servi sous les ordres du colonel Malaguti dans la 2eme DB. Jusqu'à la fin de sa vie (1975) il en a gardé un respectueux souvenir, plein d'admiration et d'estime.
Ils se sont revus en 1972 et je sais que ce fut un très bon moment. Les liens de combat sont indéfectibles à jamais surtout avec des hommes de la trempe du Général Malaguti.
Jérôme Havard Havard le mardi 22 juillet 2014 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Les adieux à Yves Bricard Mon père Yves Bricard qui vient de décéder à l'age de 97 ans fut sous les ordres du Genéral Malaguti qu'il admira d'ailleurs toute sa vie durant.
Le Général Malaguti disait à mon père: "Bricard, vous n’êtes pas un héros, mais vous êtes un vrai soldat".
Une messe d'adieu aura lieu très prochainement en l'église du Val-de-Grâce (1, place Alphonse-Laveran, 75005 Paris)
Henri Bricard
México - Distrito Federal, le 17 octobre 2013
henriybricard@gmail.com
0052 55 56 68 41 38 Henri Bricard le vendredi 18 octobre 2013 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Guillaume Piketty : Francais En Résistance - Carnets De Guerre, Correspondances, Journaux Personnels :
"Gabriel Brunet de Sairigné"
" Mars 1943
Le colonel Vautrin vient de prendre la place de chef d'état-major de la division ; c'est un ami de papa dont j'avais entendu parler déjà. Pour une fois, ce sera un officier d'EM sérieux chez les Free French.
le colonel Malaguti vient d'arriver de France, lui aussi ; il n'a pas encore absolument notre manière de penser.
Par la suite, le colonel Malaguti fut affecté à la 2e DB en formation. Très vite une vive incompatibilité d'humeur avec le général Leclerc se manifesta, au point que le colonel Malaguti fut finalement démis de son commandement. " laurent le dimanche 12 juillet 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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www.chars-francais.net
"JANVIER - FEVRIER - MARS 1944
L'entraînement est intense et si l'affûtage des personnels est en rapport direct avec l'agressivité, nous devons être au point car nous devenons violents et coléreux. Nos officiers en font souvent les frais mais devaient s'y attendre car ils font tout leur possible pour ne pas relever les incartades et arrondir les angles.
C'est pendant cette période que nous avons "avalé" matin, midi et soir, très souvent des aubergines bouillies. Nous ne pouvions plus les voir ne serait-ce qu'en peinture et même notre cochon mascotte "Malenbouti" n'en voulait plus, après, il est vrai, en avoir avalé des centaines de litres en deux ou trois mois.
L'histoire de ce cochon mérite d'être contée : Il nous avait été donné à la 1ère Cie pour avaler les surplus divers de la cuisine et "fournir" plus tard un supplément très substantiel au rata quotidien. Mais il était devenu gentil et populaire à la Cie, il ne quittait jamais notre cantonnement, bien qu'il fut en liberté et après sa visite journalière à chacune de nos guitounes il retournait à son P.C., c'est à dire à la cuisine où Le Bouter et Berthou le nourrissait.
Dans le cadre de notre esprit agressif nous l'avions appelé "Malembouti", onomatopée de Malaguti, colonel, venu de je ne sais où, Commandant la Brigade chars de la 2ème D.B. à savoir 501 R.C.C. 12ème Cuirassiers et le 12ème Chasseurs (que nous appelions 12ème Nazi) " Laurent Laloup le lundi 22 décembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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" Un soir quand il faisait nuit quelqu'un est passé parmi nos guitounes pour nous dire qu'il fallait nous rassembler à la NAAFI car il y avait là un officier qui était venu soit de France, soit d'Afrique du nord qui voulait nous parler. C'était le Colonel Malaguti, un homme des chars lui aussi. Je ne me souviens pas des détails de ce qu'il nous a dit mais j'ai un très vif souvenir de son émotion évidente quand il nous a vu rentrer dans le NAAFI et, du grand honneur qu'il nous a fait en nous félicitant de ce que nous avions fait depuis 1940 et, en nous disant, merci. Ça a été un moment très spécial car, en vérité nous avions été jusqu'à présent une compagnie qui vivait dans elle-même et, pour ma part, je ne savais pas ce que les Français pensaient de nous.
Le Colonel Malaguti devait venir de France car il nous a parlé de la France et de toute sa misère sous l'occupation. Je me souviens de sa grande colère en parlant de tout ce que la France subissait. C'est dans celle ci que le «En Tuer» est né et c'est lui qui nous a dit ces deux mots. Je garde un très vif et très précieux souvenir de cette occasion. C'était le commencement d'une autre étape vers notre but. Quelqu'un hors de la compagnie nous avait dit «Merci»! "
www.gastoneve.org.uk Laurent Laloup le jeudi 26 juin 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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