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| François Théophile Marcel Le Querrec | |
Naissance : 17 septembre 1922 - Paris 11e
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en aout 1940
Affectation principale : Résistance intérieure / CND Castille
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2
Décès à 57 ans - 2 mars 1980 - Tennie (72)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 364708
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 30402 |
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François Théophile Marcel Le Querrec - son Livre ouvert ! Épopée du Véga (ou Wéga) Bonjour,
Épopée du Véga (ou Wéga)
Ces seize jeunes hommes, ensemble, ont tenté de rejoindre la France libre le 15/12/1940. Après leur capture et l'exécution de SCORNET François par les Allemands, le 14/03/1941, les 15 autres ont été déportés en septembre 1941 vers les prisons du Reich.
- Trois y sont morts
- Douze sont revenus, libérés ou évadé entre le 20/04/1943 et le 27/04/1945.
Sur les 16 jeunes 7 ont été homologués FFL dont un, HERVE Francis, en septembre 1941 (alors qu'il a été libéré en avril 1945). Un autre, LE QUERREC François, agent P2 engagé dans la France libre en août 1940.
Pour les autres jeunes ils sont homologués diversement, voir comme c'est le cas de LE BRIS Pierre sans homologation, comme le montre le tableau ci-joint.
Comment expliquer que tous ne soient pas FFL alors que leur départ visait à rejoindre le Général De Gaulle ?
HERVE Francis s'est-il vraiment engagé en sept 1941 et LE QUERREC François en août 1940 ?
Cordialement
Alain LAURENT 
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LAURENT le mercredi 22 janvier 2025 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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François Le Querrec Bonjour
J'ai consulté les Tables décénales des Archives de Paris.
François Le Querrec est bien né dans le 11 e arrondissement de Paris. Goasdoué Michel le samedi 17 octobre 2020 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Merci !
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François Le Querrec F.Le Querrec , résistant déporté, aurait-il mis fin à ses jours en 1980 ? Goasdoué Michel le jeudi 23 avril 2020 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Il est effectivement mort en 1980 selon les fichiers publiés par l'INSEE
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infos.service.free.fr 
Plutôt que François Querrec ou François Le Querrec, le récit ci dessous concerne peut être Lucien Le Querrec dont ce serait la photo (mais pour qui je ne trouve pas de dossier de résistant) 
Jacques Ghémard le dimanche 16 septembre 2018 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"...BARBÉ Roger, Pierre, Auguste
Né le 30 juillet 1920 à Saint-Glen (Côtes-du-Nord ; Côtes d’Armor), fusillé le 4 octobre 1941 à Rennes (Ille-et-Vilaine( ; militaire de carrière ; résistant, membre du réseau CND Castille. Son père Albert, Jean, Marie Barbé, bourrelier, épousa Augustine, Marie, Françoise Coûté, ménagère. Enfant de troupe de l’École Nationale d’Autun (Saône-et-Loire), Roger Barbé fut affecté au 32e régiment d’artillerie divisionnaire (RAD) à Vincennes (Seine ; Val-de-Marne). Fait prisonnier, il s’évada et revint à Lannion le 15 juillet 1940, habitant rue de Tréguier avec sa mère qui travaillait à la Poste de Lannion (Côtes-du-Nord ; Côtes d’Armor). Dès son retour il constitua avec Maurice Robert, un autre évadé, le premier groupe de Résistance connu dans la région de Lannion sous le nom du groupe Roger Barbé – Maurice Robert. Ce groupe d’une dizaine. de personnes, en liaison avec le réseau Confrérie Notre-Dame Castille en cours de formation à l’automne 1940, avait réussi à embaucher un certain nombre de ses membres au camp d’aviation de Servel-en-Lannion occupé par l’armée allemande. Les 28 et 29 décembre 1940, sur dénonciation, le groupe entier fut arrêté. Madame Augustine Le Nair chez qui se tinrent les réunions du groupe, à Ploulec’h (Côtes-du-Nord ; Côtes d’Armor), hébergeait le prisonnier de guerre évadé Maurice Robert. Le dimanche 29 décembre 1940 à 21h, Roger Barbé fut arrêté au lieu-dit Pen-ar-Stang en Buhulien (Côtes-du-Nord) près de Lannion chez Monsieur Tanguy où il assistait à une soirée de noces. Lors de l’interrogatoire à Lannion le capitaine allemand Hermann dit aux membres du groupe : « vous avez joué la carte anglaise et vous avez perdu. Nous vous estimons, soyez beaux joueurs. Quant à Levavasseur et Dubourg, nous nous en servons sans les estimer. Ils ont touché 100 000 franc pour l’opération. Le 30 décembre à 8h du matin, le groupe, transféré en camion, fut incarcéré à la maison d’arrêt de Pontaniou à Brest (Finistère), à l’intérieur de l’arsenal de la base marine, appelée également bâtiment de la Madeleine. Roger Barbé fut transporté seul dans une voiture, encadré par trois Allemands. Le 17 mars 1941 les membres du groupe furent transférés à la prison du Bouguen à Brest. Le 12 avril 1941 ils furent jugés devant la cour martiale de la Luftwaffe, siégeant à l’Hôtel du commerce de Brest. ,Roger Barbé, Jean Jolivet, Lucien Brout, Eugène Le Bell, Pierre Le Roux et Hyacinthe Thétiot furent condamnés à la peine de mort pour espionnage et complot gaulliste. François Querrec et Madame Le Nair furent condamnés aux travaux forcés. ..."
Photo de Roger Barbé 

Laurent Laloup le lundi 27 août 2018 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution Réponse : Je lis aussi "Deux jours plus tard, les six autres condamnés à mort apprirent que leur peine avait été commuée en Internement à perpétuité. Le 9 octobre 1941, ils furent transférés à la prison de Fresnes (Seine ; Val-de-Marne). Puis le 16 octobre 1941, ils furent incarcérés en Allemagne en forteresse dans des maisons de réclusion à Rheinbach, près de Bonn et à Siegburg. Maurice Robert fut jugé et condamné à la peine de mort puis fusillé au Mont-Valérien à Suresnes le 22 décembre 1941"
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L'équipée tragique de la Wega " Seize volontaires s’embarquent le 15 décembre 1940 au port du Dourduff, sur une grosse barque appelée « la Wega » pour rejoindre l’Angleterre et le général de Gaulle.
Tous très jeunes (nés entre 1918 et 1924), Louis Gueginer, Pierre Le Bris, et Jean Le Lourec ont mis au point le projet ; le bateau serait manoeuvré par Fernand Guillard, Roger Goasguen, Roger Le Corre et Pierre Troadec, pendant que Jean-Yves Guillard et François Le Querrec s’occuperaient du moteur, et Jean Feat serait à la barre.
Le lendemain du départ, le bateau est pris dans une violente tempête de nord-ouest, la boussole tombe en panne et le moteur lâche. L’équipage doit donc se résigner à accoster sur l’île de Guernesey. Ils sont aussitôt arrêtés par les troupes allemandes, et internés à Jersey.
Le 3 janvier 1941, les seize inculpés sont traduits devant le tribunal de la Feldkommandantur 515 de Jersey à Saint-Hélier. Les motifs d’accusation sont « aide à l’ennemi » et de « crime concerté de trahison envers la Patrie »
6 sont condamnés à mort : seul François Scornet, considéré par les Allemands comme le meneur, est fusillé le 14 mars 1941 à Saint-Ouen (Guernesey); alors que les 5 autres voient leurs peines commuées en travaux forcés. Début mars 1941 les prisonniers sont transférés à la prison de Caen, puis vers celle du Cherche-Midi à Paris, d’où 14 d’entre eux partent en déportation le 4 septembre 1941 vers l’Allemagne, en wagons cellulaires
Parmi eux, 5 sont libérés en avril 1943 à la suite d’une mesure de grâce décidée par Hitler le jour de son anniversaire, 5 rentrent des prisons de Diez-sur-Lahn, d’Hamein, et de Siegburg, 3 sont décédés, le dernier s’évade en avril 1945 lors de l’évacuation de la prison de Straubing.
Dans le même train, ils côtoient un groupe de 5 Bretons, dont une femme, arrêtés à Lannion dans les Côtes d’Armor après le démantèlement du groupe de Résistance Roger Barbé au camp de Servel-Lannion le 28 décembre 1940; son chef sera fusillé le 4 octobre 1941 à la Maltière à Rennes.
Tous les membres de ce groupe sont libérés à la fin de leur peine de prison en Allemagne. Les 4 autres hommes de ce transport, connaissent des parcours de prisons ; 2 sont libérés à la fin de leur peine à Butzbach (Jolivet Jean et Thétiot Hyacinthe); les 2 autres sont envoyés respectivement dans les prisons de Berlin-Moabit et de Rheinbach (Le Roux Pierre et Lelay jean), mais la suite de leur parcours et leur sort reste inconnu. Le parcours de ces déportés est uniquement carcéral, excepté pour la seconde femme du transport Marcelle Arphand) qui est transférée en janvier 1945 de la prison de Cottbus au camp de Ravensbrück. Elle est décédée, par la suite, au camp de Bergen-Belsen.
Déportés le 4 septembre 1941 en Allemagne
FEAT Jean. Né le 15/05/1922 à Plougasnou (29). Lieux de déportation: Kassel, Rheinbach, Siegburg. Décédé le 26/12/1943 à Siegburg. NR
GUILLARD Fernand. Né le 20/07/1920 à Paris (75). Lieux de déportation: Kassel, Rheinbach, Siegburg, Hamein. Libéré le 07/04/1945 à Hamein. R
GOASGUEN Roger. Né le 21/09/1921 à Pluezoc’h (29). Lieux de déportation: Kassel, Rheinbach, Dz. Libéré en mai 1944 à Diez/Lahn. R
HERVE Françis. Né le 29/11/1920 à Plouegat (29). Lieux de déportation: Kassel, Rheinbach, Siegburg, Libéré le 10/04/1945 à Siegburg. R
LE BRIS Pierre. Né le 10/11/1920 à Plougonven (29). Lieux de déportation: Kassel, Rheinbach, Siegburg DCD 17/05/1945. NR
LE CORRE Roger. Né le 23/03/1918 à Ploujean (29) Lieux de déportation: Kassel, Rheinbach, Kas, Strau Evadé lors de l'évacuation du camp le 23/04/1945 R
LELAY Jean. né le 25/07/1921 à Morlaix (29). Lieux de déportation: Kassel, Rheinbach, Siegburg, Libéré le 10/04/1945 à Siegburg . R
LELOUREC Jean. Né le 05/10/1921 à Tonquedec (22) . Lieux de déportation: Kassel, Rheinbach, Siegburg Dz R 27/04/1945 Diez/Lahn . R
LE QUERREC François M 17/09/1922 Paris (75). Kassel, Rheinbach, Siegburg. Libéré le 25/05/1944 à Metz. R
TROADEC Pierre M 10/10/1923 Le Havre (76) Lieux de déportation: Kassel, Sarrebruck, Frankenthal. Mannheim. Décédé le 26/01/1943 à Hôpital de Mannheim."
memoiredeguerre  Laloup laurent le mardi 23 octobre 2007 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution Réponse : autre source : Mémorial des déportés de France. Tome I, page 294
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