| | | | | Un Français Libre parmi 62922 | | | Georges Ungar | |
Naissance : 30 mars 1906 - Budapest, Hongrie
Activité antérieure : liberal / cadre
Nationalité : Hongrois
Engagement dans la France Libre : Londres en mars 1941
Affectation principale : Terre - Londres / santé
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant
Décès à 71 ans - 26 juillet 1977 - Epoux d'Alberte Levillain
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 581033
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 50708 |
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Elève de Georges Ungar Dans les années 1970 à Houston, j'ai eu la chance d'être l'élève de Georges Ungar, qui m'initia à la fois à la biochimie de la mémoire et à l'American way of life !
Georges Chapouthier
Directeur de Recherche Emérite au CNRS CHAPOUTHIER Georges le mardi 04 août 2015 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Les Hommes Partis De Rien" de René Cassin " En réalité, dans les premiers jours après son appel, le général de Gaulle avait espéré que les fabrications françaises de guerre pourraient, pour l'armement de ses forces, jouer le rôle qu'effectivement elles n'ont pu exercer. Certains de nos savants : physiciens, médecins et chimistes, comme Halban, Kowarski, disciples de Joliot-Curie, Guéron, Cordier, Cathala, Ungar, ont eu une place éminente dans les laboratoires ou usines anglaises. Mais le nombre de nos territoriaux du Nord, évacués de Dunkerque et demeurés en Angleterre, comme à Wolverhampton, demeura fort réduit. C'est donc cette déception qui fut la véritable cause du différend entre l'état-major et Labarthe et de l'espèce de congédiement, regrettable à mon avis, dont il fut l'objet de la part du colonel Antoine." Laurent Laloup le mercredi 18 février 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"In memoriam—
Georges Ungar, D.Sc., M.D. 1906–1977
Psychoneuroendocrinology, Volume 3, Issue 1, 1978, Page 109"
www.sciencedirect.com
"Grandeur et décadence de la scotophobine
Comment un souvenir est-il codé dans notre cerveau ? A plusieurs reprises, quelques chercheurs ont cru trouver la réponse. Exemple, dans les années 1960, avec l'Américain Georges Ungar, qui soutenait avoir découvert le peptide responsable d'un souvenir phobique chez les souris.
LéonTrotskyvouaitles contre-révolutionnaires « aux poubelles de l'histoire » . Mais en matière de science bien des révolutionnaires ont disparu des chroniques après leur heure de gloire. Exemple : l'étonnante carrière du chercheur américain d'origine française Georges Ungar, qui découvrit en 1972 une petite molécule aux propriétés extraordinaires. Injectée à une souris, la scotophobine (du grec scotos : obscurité et phobos : peur) semble provoquer la peur de l'obscurité ! Ungar échafaude alors une théorie du code moléculaire de la mémoire, selon laquelle chaque souvenir est codé par un ensemble de molécules spécifiques assemblant entre eux des neurones. Elle reçoit un accueil spectaculaire, mais à peine dix ans plus tard, plus aucun chercheur ne croit au codage moléculaire de la mémoire sous cette forme simpliste, et l'article de Ungar a disparu des citations scientifiques. Retour sur une découverte révolutionnaire, mais transitoire. L'affaire de la scotophobine tire ses racines dans l'effervescence théorique qui agite les biologistes des années 1960. Les découvertes de la structure de l'ADN, puis du code génétique ont placé la notion d'information au centre de la réflexion biologique. « Le triomphe de la biologie moléculaire a exercé une très grande influence sur notre façon d'envisager le problème de la mémoire. Il a soulevé la question d'un code dans lequel l'information acquise est enregistrée, retenue et manipulée dans le système nerveux », reconnaît Ungar dans les..."
www.larecherche.fr/
"Shunning the Dark. The announcement was made by Hungarian-born Neurochemist Georges Ungar, 64, who has spent years experimenting with memory transfer. In his most notable experiment (TIME, April 19, 1968), he jolted rats and mice with an electrical shock whenever they strayed into a blacked-out box, eventually conditioning them to fear the dark. Then, after decapitating his fear-trained animals, he injected a broth made out of their brain tissue into the abdominal cavities of normal mice, which ordinarily prefer the dark. More often than not, he found, the injected rodents—contrary to their nature—also began to shun the dark."
www.time.com
SZ/OEMU/1/14/6 Georges and Alberte Ungar 1941-1944
Contains 24 items of correspondence with R.E. Stradling, R.R. Welch, Prof. Le Gros Clark, G.A. Brinson, C.E. Warwick, and the Free French Forces (FFF) concerning the secondment of the Ungars to the OEMU, their scientific qualifications, the work on which they would be engaged, and their subsequent return to service with the FFF. The FFF was prepared to pay the Ungars' salaries while they worked for the OEMU but reserved the right to recall them.
SZ/OEMU/9/2 Dr Ungar's papers 1943-1946
Contains six items being: a letter from Ungar to SZ enclosing offprints of his recent articles and recapitulating the main stages of his research; SZ’s reply thanking Ungar for the papers; and copies of papers by Ungar. These papers cover: traumatic shock and the uses of nupercaine and ascorbic acid; histamine release inhibition; the endocrine function of the spleen and its participation in the pituitary-adrenal response to stress; the severity of shock in guinea-pigs in relation to the degree of trauma; and the influence of ascorbic acid on the survival of traumatized guinea-pigs.
SZ/OEMU/9/3 Dr Ungar's paper on the use of ascorbic acid in treating shock 1942
Contains four items being drafts and two final versions, reprinted from Nature. The paper, OEMU Report No. 39, was entitled Effect of ascorbic acid on the survival of traumatized animals.....
www.lib.uea.ac.uk
MINISTRY OF HOME SECURITY RESEARCH & EXPERIMENTS DEPARTMENT OXFORD EXTRA-MURAL UNIT 1916-1980
Note :
OEMU = the Human Anatomy Department at Oxford (the Oxford Extra-Mural Unit, or OEMU), Laurent Laloup le mercredi 22 octobre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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