Gérard Yves Trévien - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
Accueil
 
Presentation
Liste des Français Libres
Recherche même nom
Recherche déces même jour
Ajout d'un Français libre
Liste du SHD
Liste Chaline
Liste Ecochard
 
Contact
 
 

Un Français Libre parmi 62958
 

Gérard Yves Trévien



Naissance : 26 février 1920 - Brest (29)

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en janvier 1941

Affectation principale : Résistance intérieure / Velite Thermopyles

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2

Décès à 51 ans - 8 octobre 1971 -

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 577735

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 50399

Contribuez à son livre ouvert !

Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ...

Votre nom Votre e-mail il restera caché

Titre de la contribution

Texte de la contribution

Une image (gif ou jpg) sur votre ordinateur

Et pour prouver que vous n'êtes pas un robot : 3 multiplié par 6 =  ?


Gérard Yves Trévien - son Livre ouvert !
 

"DARLEY André
Naissance : 24 décembre 1920 - Brienon-sur-Armançon (89)
Année d’entrée en résistance ou F.F.I. : 1941
Résistance : Groupe Trotskyste (P.O.I)
Secteur(s) d’action : Brest
Arrêté⋅e, Déporté⋅e
Décès : 16 juillet 1985 - Brest

À compter d’avril 1941, un petit bulletin, puis un journal ronéoté, Bretagne Rouge est composé et diffusé (juillet 1941). Les militants disposent d’une ronéo, cachée chez André Calvez, et dont l’abri a été construit par Alfred Darley, le père d’André. Sur la première page de Bretagne Rouge, un dessin représente un homme en arme sous un drapeau rouge symbolise le groupe, qui paradoxalement refuse l’action terroriste et refuse toute alliance avec les groupes non-ouvriers. L’organisation est encore fragile en octobre 1942, lors de la première distribution de tracts à Brest (1000 exemplaires ?) contre la relève : le thème principal du tract est : les prolétaires français en Allemagne ne feront rien contre leurs frères soviétiques, mais tout pour saboter la machine de guerre hitlérienne.

La cellule brestoise du Parti Ouvrier Internationaliste est composée en 1942 d’un noyau de militants : Gérard Trévien, Micheline Guérin, future épouse de Gérard, André Darley, Marguerite Métayer, André Calvez (qui et deux militants non identifiés (ils utilisent des pseudo). Au Relecq-Kerhuon, Yves Bodénez, André Floch et Paul Bienvenu. Un second cercle de sympathisants, parmi lesquels on trouve Albert Goavec.

Lors de la manifestation interdite d’octobre 1942, où des milliers de personnes protestèrent contre les départs d’ouvriers vers l’Allemagne, les membres du groupe chantent L’Internationale et La Jeune Garde dans les rues de Siam et Jean-Jaurès, les principales artères de Brest.

André Darley se marie le 8 février 1943 avec Jeanne Le Faou, 19 ans, employée de commerce chez sa mère, en centre-ville. Il exerce alors la profession d’ouvrier photographe. ..."

www.resistance-brest.net 

GR 16 P 260069| GOAVEC ( Albert Louis François )| 1921-06-09|
GR 16 P 59125| BIENVENU ( Paul )| 1921-04-07| Pringy| Seine-et-Marne| FRANCE|

Laurent Laloup le lundi 23 décembre 2019 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution


claire.trevien.net 

Laurent Laloup le jeudi 03 janvier 2019 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution


TRÉVIEN Gérard, Yves

Né le 26 février 1920 à Brest (Finistère), mort le 8 octobre 1971 ; charpentier ; militant JS puis JSOP, PCI, POI ; résistant.

Fils d’un cocher, Gérard Trévien, ouvrier charpentier tôlier engagé à l’Arsenal en 1936, ajiste, militait en 1938-1939 au Jeunesses socialistes ouvrières et paysannes (JSOP) après un court passage de trois mois aux JS en 1937. Il participa à la constitution du PCI et à la diffusion de Bretagne rouge, puis, en mai-juin 1941, rejoignit le POI, diffusant Front ouvrier à l’Arsenal de Brest. Il recruta Yves Bodénez qui mourut en déportation. Il militait avec Robert Cruau qui fut exécuté par la police allemande.

Arrêté le 7 octobre 1943, Gérard Trévien fut déporté à Buchenwald puis à Dora. Après la Seconde Guerre mondiale, il fut membre du PCI.

Laurent Laloup le jeudi 03 janvier 2019 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution


Lettre de Gérard Trévien à André Calves (Ned)

Transcription de la lettre de Gérard Trévien concernant la mort de Yves Bodénez
Vendredi
Cher vieux André
Je viens d’avoir ta lettre. Il était temps que tu donnes signe de vie. Je ne voulais pas t’écrire car pour moi « à bientôt » ce n’est pas si loin qu’à ton idée. Je vais très bien et fume comme un sapeur. J’espère ne pas fumer tout avant ton arrivée. J’ai hâte de te serrer la main, tu sais tu m’as l’air toujours aussi bohême. J’ai repris le travail. Ici ça n’a pas l’air d’aller sur des roulettes, et les tuiles se succèdent. On espère remonter sous peu. Liber ( ?) t’a appris la mort d’Yves, pauvre vieux, il n’a pas eu de chance, il est mort dans le courant de mars, l’année dernière. Il a pris froid à une désinfection où nous avons passé la nuit dehors dans le …( illisible à l’endroit du pli détérioré par le ruban adhésif)
… travaillaient dans le tunnel de Dora. On ne sortait que 3 heures par jour on dormait dans ce tunnel, inutile de te décrire l’atmosphère, fumée, poussière, poudre, tu vois ce que c’est. Il est resté deux jours sur une paillasse dans un mauvais état mais avec un moral bon tout de même. J’ai fait ce que j’ai pu pour lui, pas grand-chose puisque je ne le pouvais. Il est monté ensuite au Rever ( ?) (Hôpital) du camp et a du mourir assez rapidement, manque de soins.
Si tu veux des renseignements sur notre activité à Compiègne et Buchenwald, va trouver Liber, il était avec nous, ça m’évitera de faire un journal de ma lettre. A Dora, nous étions quatre, Riquet de Nantes, un gars à Yves de Kerhuon appelé André Floch, chic type mais pas formé du tout, Yves et moi. Riquet est rentré. Nous étions bons copains et quand nous avions le temps, on discutait.
Floch n’est pas encore revenu, s’il revient ? Je l’espère, je l’ai quitté le 2 avril en bonne santé mais leur évacuation a été assez dure. Il a du quitter Dora le 4 ou le 5. Moi j’avais été vidé avant, mesure de prudence des « droits communs allemands » qui nous dirigeaient. J’ai été expédié en Kommando de discipline pour le travail de mine ( ?) comme forte tête avec quelques autres Français. Heureusement que l’évacuation a eut lieu le lendemain, et après 9 jours de route (200 km) nous avons été libérés par les Américains, je t’expliquerai mieux pour la suite. Parlons d’Yves.
Tu te rappelles qu’il avait eu quelques flottements avant les arrestations. Nous avons effacé ça à Compiègne car nous avions besoin de toutes nos forces pour travailler dans le camp. Malheureusement, le départ pour l’Allemagne a été trop rapide et Buchenwald nous a vu regroupés, pour ce qui concerne ces camps et notre travail politique, vois Liber…
…J’aimais son don d’observation des gens. Ça m’a amusé. Maintenant je ne regrette pas d’être venu ici, me dit-il, c’est quelque chose de presque indispensable à tout militant révolutionnaire, on voit des individus sous une autre face, la priorité de l’argent et de la classe sociale n’existe plus. Ici nous sommes égaux. Regarde le commandant ramasser les croûtes de pain qui traînent. J’ai discuté avec cet officier, assis côte à cote, aux chiottes, j’avais envie de le traiter de matérialiste. Yves prenait plaisir dans la société des officiers. Il s’était fait un ami en la personne d’un colonel et si j’avais envie de vraiment m’amuser, je les écoutais. Yves le tutoyait et c’était le Colon qui lui disait vous. J’enviais sa façon de les attaquer et de les convaincre. J’en ferai un militant de ce colonel, me disait-il en riant. Je suis trop ouvrier, trop brusque pour discuter avec ces types là. J’aurais voulu être comme Yves, mais je ne pouvais. A chaque fois que j’en prenais un, je manquais de me battre avec lui, c’est plus fort que moi.. Yves regrettait que tu ne sois pas avec nous et j’aurais voulu te voir aux prises avec les bourgeois. Je crois que pendant un certain temps ils t’auraient plus intéressé que les prolos. Nous étions vêtus assez bizarrement de défroques de toutes sortes et je me rappelle Yves s’extasiant sur un bonnet à poils de lapin d’une drôle de forme : André aurait sûrement changé sa margarine pour cette coiffure, disait-il, ou pour ce boutons à faucille et marteau. J’ai l’impression qu’il ne se trompait pas !
Liber donnait des leçons de marxisme à des gars du PC. Il s’y prenait tellement bien que ces types ne le lâchaient plus. Je ne sais ce qu’ils sont devenus. Nous avions parfois des réunions pour mettre au point notre dispositif de bataille et des mesures de sécurité. Avec Yves nous parlions souvent de Le Corbusier et de ses réalisations. Il était très épris de la « Cité Joyeuse ». Je crois que sur ce point, Alain et lui devaient s’entendre, c’est peut-être très joli mais il y a autre chose à faire avant.
Quand à Buchenwald on vous parlait de Dora, c’était le camp « d’où on ne revient pas » et le premier transport, nous y étions. A quoi bon s’en faire, dis-je, on ne meurt qu’une fois, répéta Yves. Pauvre vieux, un mois après il n’était plus. Maintenant quand je chante « Les survivants »
…Brisé, torturé dans les bagnes
Vaincu, tu terrasses la mort…
Je pense à lui, et ai un frère à venger.
A ce camps, nous étions comme des bêtes, pas la moindre minute à nous même, on ne pouvait discuter qu’avec les copains de travail, pour moi je n’avais que des bourgeois dont beaucoup sont morts, et quelques prolos dont quatre d’intéressants. Je n’ai pas de chance avec mes copains, deux ont suivi Yves, et je viens d’apprendre la mort du troisième et meilleur pendant l’évacuation. C’était un grenoblois. Le quatrième est un vieux militant communiste, secrétaire de syndicat que j’ai convaincu des erreurs du PC et de la mort de la troisième (Internationale) et qui m’a fait plaisir, le jour où il m’a dit que c’était à la Quatrième de relever le drapeau. J’ignore s’il est encore vivant. J’espère le savoir bientôt.
Comme je te l’ai dit, nous étions commandés par les SS et pour la direction du camp : cabanes, douches, vêtements, etc… Sur le travail dans les Kommandos, par des droits communs allemands ou alors par des Polonais, des Tchèques. Ces brutes profitaient de toutes les occasions pour nous frapper ou nous voler. Ce qui me console, c’est que j’ai tué l’un d’entre eux avec l’aide d’un copain. J’ai écrasé sa tête comme on écrase un crapaud. Il en avait fait mourir, je suis heureux de les avoir vengés. Les politiques allemands n’étaient pas nombreux dans mon camp, et ne valaient pas cher non plus. J’ignore ce qu’ils ont fait pour être « politique », je n’ai connu que deux à peu près potables et encore inabordables pour nous simples Halflings (hobbit ?demi-portions ?). Je vais m’arrêter car je ne suis pas loin du journal. J’espère pouvoir te serrer la main sous peu et discuter de nos tribulations depuis octobre 43. J’oubliais de te parler des Polonais. Il peut leur arriver quoi que ce soit, je ne lèverai pas un doigt pour les défendre, ne crois pas que je suis patriote, loin de là, je n’ai pas changé d’idée, je l’ai au contraire renforcée, mais ils se sont montré plus bas qu’un homme puisse descendre, et cela dans tous les camps. Quant aux Russes, je me demande s’ils savent ce que « communiste » veut dire, mais ceci est une autre histoire. Je ne parle pas des Français, à part ceci pour te donner une idée : le neveu du commandant d’aviation (je crois) Jouanneau a aidé un SS à porter son sac pendant l’évacuation, c’était un Gaulliste !
Plus de place
A bientôt, vieux frère
Gérard

CALVES Michel le mardi 21 décembre 2010 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution

Réponse :

L'original de la lettre au format pdf 


Gerard Trevien

"Robert Cruau dispose d'un groupe jeune et solide, dont les membres ont entre dix-neuf et vingt-cinq-ans. Il est constitué par les frères Georges et Henri Berthome, André Darley, un photographe, Marguerite Métayer, Eliane Ronel, Gérard Trévien, ouvrier tôlier à l'arsenal de Brest, et Yves Bodenes, qui travaille lui aussi à l'arsenal et qui assume la direction bretonne du POI.
Le petit groupe ne se singularise pas seulement par sa jeunesse, mais aussi par une sorte de flair instinctif; ces jeunes militants du POI n'aiment pas les palabres pseudo-théoriques qu'on souvent leurs aînés. Ils préférent se fier à leur sixième sens pour discerner ce qui est une priorité ou non dans une circonstance donnée.
L'un des camarades qui ont milité à leurs côtés, André Calvès, dit Ned, abattra à la Libération le maire de Puteaux, l'ancien socialiste Georges Barthélémy, qui avait réclamé la guillotine pour les communistes. Ned est alors tout juste âgé de vingt-cinq ans. Il se sent proche de Cruau et de ses camarades qui, peut-être, ne parlent pas, comme lui, sa langue nourricière, le breton. Ned, marin puis pointeau dans une tréfilerie, est l'ami de Gérard de Sède, un jeune du POI lui aussi, qui apprécie en Ned l'"autodidacte" "brillant et intelligent". De Sède fait partie de la relève et appartient à cette génération de trotskistes qui ne se contentent plus de débattre dans les congrès. L'action politique se déroule aussi sur le terrain.
Le postier Robert Cruau partage cette opinion. Avec son petit groupe de Bretons trotskistes, têtus et audacieux, il est devenu la bête noire de la Gestapo. Le groupe a réussi à embrigader une trentaine de soldats allemands qui partagent avec lui l'essentiel : un attachement de principe à l'internationalisme prolétarien et une haine farouche de l'hitlérisme. Or, si l'armée allemande n'aime pas la propagande défaitiste qui sape, abaisse le moral des troupes et discrédite la hiérarchie, elle aime encore moins que ses soldats s'enrôlent dans des cellules trotskistes et diffusent des pamphlets révolutionnaires.
La Gestapo intervient en infiltrant un informateur parmi les soldats de Brest, Konrad Leplow, le neveu de Franz Lehar, un grand compositeur de valses viennoises. En octobre 1943, une rafle décime le groupe. Robert Cruau tente de s'enfuir. Il est abattu par la feldgendarmerie. Georges Berthome est arrêté puis déporté. Il mourra à Buchenwald en 1945. Yves Bodenes ne reviendra pas du camp de Dora, Albert Goavec, un sympathisant du POI non plus; André Darley, le photographe, passera trois mois en prison avec toute sa famille avant d'être expédié à Buchenwald, où il mourra; Gérard Trévien, l'ouvrier tôlier, sera, lui, envoyé à Dora, dont il reviendra en 1945. "

revolution.celeonet.fr 

Laurent Laloup le mercredi 08 avril 2009 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution


Déporté à Dora

www.bddm.org 

Laurent Laloup le mercredi 08 avril 2009 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution


"... Au début de septembre 1943 nous avions 27 soldats dans l’organisation, et nous tirions le journal « Der Arbeiter » à 150 exemplaires.

Conrad fut chargé de surveiller un nouveau, un autrichien, Ernst, qui semblait trop curieux. Conrad nous déclara qu’il n’y avait pas de danger.

Fin septembre, je partis en Belgique et je revins le 13 octobre avec des stencils, de l’encre et, en passant à Paris, un sympathisant m’avertit qu’on parlait d’arrestations à Brest.

Je voulais voir de près. Je suis arrivé à Brest le 14 à midi. Le premier type que j’aperçois sur le quai, Conrad ! Il passait avec un autre soldat et ne m’avait pas vu. Je lui tape sur l’épaule et me regarde d’un air étonné - C’est plus tard que j’ai vraiment apprécié cet air- Courte discussion. Tout va bien ? Pas d’arrestation ? André est chez lui ? Oui tout va bien, il ne s’est rien passé, André est chez lui. Viens à 2 heures, j’y serais. Et Conrad me répète 3 fois 2 heures.

On a parfois de bonnes intuitions. Je ne vais pas chez moi. Je me dirige au lieu de travail de Yolande en faisant x et y détours. Elle s’assoit en me voyant : « Max est arrêté, André arrêté, Gérard Trévien arrêté, etc. » Je m’assois à mon tour et je réponds que j’ai vu Conrad qui m’a assuré que tout allait bien. « C’est Conrad qui a trahi ! »

Sur ces entrefaites, la femme de Gérard Trévien arrive et éclate en sanglots

Je laisse ma valise dans un coin sûr. Le soir je couche à Kerhuon et le lendemain, j’étais à Paris.

Plus tard, j’ai eu des détails. Je suis revenu en Bretagne, à 20 kilomètres de Brest la semaine suivante et un copain d’une cellule qui n’avait pas été touché me raconta l’histoire.

La Gestapo occupait le logement d’André et m’attendait à 2 heures, puis elle alla chercher mon frère à son travail et fouilla la maison. Ce fut la 7ème perquisition chez moi. La Feldgendarmerie ne trouva pas l’issue du souterrain cimenté que nous avions construit dans le jardin et dans lequel était la ronéo, le papier, les armes, les tracts, etc.

Mais elle fouilla pourtant avec conscience puisqu’elle trouva trois boites de thé anglais datant de 1940, alors que toute la famille était persuadée qu’il n’y en avait plus ! ..."

andre-calves.org 

Laurent Laloup le mercredi 08 avril 2009 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution


FFL Trotskyste

asmsfqi.org 

(Association pour la sauvegarde de la mémoire de la section française de la Quatrième internationale )

Laurent Laloup le mercredi 08 avril 2009 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution

Dernière mise à jour le lundi 23 décembre 2019

 

Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté





fiche.php PHPisé et MySQLisé par Jacques Ghémard le 28 1 2024  Hébergé par Nuxit  Temps entre début et fin du script : 0.76 s  8 requêtes