Francis Michel Georges Rougé - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
Accueil
 
Presentation
Liste des Français Libres
Recherche même nom
Recherche déces même jour
Ajout d'un Français libre
Liste du SHD
Liste Chaline
Liste Ecochard
Les contributions
 
Contact
 
 

Un Français Libre parmi 63400
 

Francis Michel Georges Rougé



Naissance : 30 septembre 1921 - Paris 9e

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Passage en Espagne : janvier 1943

Engagement dans la France Libre : Maroc en mai 1943

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / divers

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant

Décès à 54 ans - 4 juillet 1976 - Paris 6e

Frère de Pierre Rougé 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 522385

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 45274


Contribuez à son livre ouvert !

Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ...

Votre nom Votre e-mail il restera caché

Titre de la contribution

Texte de la contribution

Une image (gif ou jpg) sur votre ordinateur

Et pour prouver que vous n'êtes pas un robot : 8 multiplié par 1 =  ?


Francis Michel Georges Rougé - son Livre ouvert !
 

Emile Taillefer

Vous évoquez le nom d'Emile Taillefer (X1929), chef d'escadron à la 1e DFL, tué au combat de Takrouna (Tunisie) le 18 mai 1943.
Vous trouverez sur ce site "les Français Libres" son parcours.

Merci pour sa mémoire, son neveu.

Jean-Louis BROUSSE le samedi 21 août 2010 - Demander un contact

Recherche sur cette contribution

Réponse :

La page d'Emile Taillefer 


"Les Français libres, l'autre Résistance" par Jean-François Muracciole

" Autre exemple d'engagement familial : les frères Rouge. Nés dans une famille de six enfants de la bourgeoisie parisienne (leur père, polytechnicien, est ingénieur), Pierre et Francis Rouge rejoignent la France libre. Pierre, l'aîné (né en 1911), saint-cyrien, officier de carrière, rallie en Oubangui en août 1940 (BM1). Il est tué au combat à 30 ans en Syrie, en juin 1941. Son cadet, Francis (né en 1921), élève à Polytechnique, quitte Lyon, où l'école s'est repliée, avec douze de ses camarades en janvier 1943 et s'évade de France par l'Espagne. Après cinq mois de camp dans la péninsule, il s'engage, en juin 1943, à la lre DFL où, en bon polytechnicien, il sert comme lieutenant au 1er régiment d'artillerie ; il sera cadre supérieur chez Dassault après la guerre."

Laurent le samedi 21 novembre 2009 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution


Souvenirs d'un officier d'artillerie coloniale, de Paul Morlon

" Le 25 février 1944, le Sous-Lieutenant Francis ROUGE (le plus jeune frère de Pierre) puis, le 21 mars, son camarade MANTOUX, nous rejoignent. Ayant quitté la promotion 1941 de l'Ecole Polytechnique, ils sont passés en ESPAGNE, y furent internés un certain temps, rejoignirent l'Afrique du Nord, puis le régiment. MAN­TOUX est affecté à la 5e batterie, ROUGE à la 4". Je retrouve en lui la prestance, le caractère entier et l'écriture de Pierre. Passé également par l'ESPAGNE, le cen­tral ien Gérard FAUL, frère aîné de Michel qui sera affecté au groupe comme offi­cier de transmissions. Peu après, à la suite d'un court passage à l'AD, l'Aspirant LOUBOUTIN est affecté à la 5e batterie. Je touche également un excellent Maré-chal-des-Logis chef, LAVERGNE (VANDENESCH), un des évadés d'ALLEMAGNE par la RUSSIE avec le Capitaine BILLOTTE.
Ces arrivées constituent un renfort de qualité qui bouche les vides dus à cer­tains départs. En effet, toute cette réorganisation du régiment ne se fait pas sans certains grincements de dents. Entre autres, EMBERGER pensait bien recevoir le commandement d'une batterie, tous les "anciens" estimaient qu'il le méritait lar­gement. Après les affectations, il quitta le 1er RA pour aller à ALGER. Le Lieutenant Michel FAUL devient Lieutenant de Tir de la 4e batterie. Le Chef d'Escadron GAULARD espérait être nommé commandant du 3e groupe ; ne l'ayant pas obtenu, il partit pour le Levant."

Laurent Laloup le vendredi 27 février 2009 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution


" les départs échelonnés pour l’Espagne en janvier 1943 de Jacques HERTZ (X1940) et d’élèves de la 41, Jean AUDIBERT, Geoges BRAUER, André DAUBOS, Frédéric GOURIO (mort pour la France en 1944), Jacques MANTOUX, René PÉRINEAU, Francis ROUGÉ et Abel THOMAS, suscitent une vive émotion à Lyon et à Vichy. PÉTAIN dépêche sans délai Jean BICHELONNE (X1923) pour stigmatiser la conduite des absents ("J’ai vu le Maréchal qui m’a chargé de vous dire que vos camarades sont des traîtres") et organiser aussitôt trois conseils de discipline présidés par le Colonel de TARLÉ."

x-resistance.polytechnique.org 

Laurent Laloup le jeudi 21 août 2008 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution


www.xresistance.org 

" En janvier 1941, le Général De GAULLE décide de créer au Moyen-Orient une Division Française qui assure la présence directe de la France aux côtés des Alliés (parallèlement avec les forces regroupées au Tchad).
Ainsi est constituée une “Brigade Française d’Orient”, formée avec les premiers volontaires des Forces Françaises Libres, venus de Londres puis d’Afrique Equatoriale Française.
Dès sa création en 1941, la D.F.L. compte des polytechniciens dans ses armes techniques, et fin 1941, lorsque la 1ère Brigade Française Libre rejoint la 8ème Armée en Tripolitaine, elle compte sept X ; mais l’un d’eux, Louis FLORENTIN (X1933), meurt le 05-01-42.
Ainsi en 1942, à Bir Hakeim
il y en a six :
• au Génie : André GRAVIER (X1931), Commandant, et qui le dirige.
• au 1er R.A. : 5 officiers, dont 3 tués lors de la sortie (nuit du 10-11 juin) :
Georges BOURGET (X1936), Lieutenant, tué le 11 juin 1942, Charles BRICOGNE (X1932), Capitaine, tué le 11 juin 1942, René GUFFLET (X1931), Capitaine, tué le 11 juin 1942, Paul MORLON (X1933), Capitaine, Robert SAUNAL (X1940), Aspirant dans les fonctions indiquées sur l’ordre de bataille ci-contre. Il faut y ajouter Gérard MARSAULT (X1932), Capitaine, engagé avec des éléments de la 2ème Brig. Fr. L., en Tripolitaine Sud, de Mai à juillet 1942, dans des opérations de diversion de la VIIIème Armée Britannique.
À partir de fin 1942, d’autres les rejoindront, du Moyen Orient ou en Afrique du Nord. Deux sont tués en 1943 : Mathieu HADAMARD (X1918), Lieutenant, tué au 1er R.A. en Libye, Émile TAILLEFER (X1929) Chef d’escadron, tué en Tunisie, au Génie Divisionnaire.
En 1944, pendant la campagne d’Italie, trois sont tués au 1er R.A. : Jacques SOULEAU (X1934), Capitaine, tué le 5 juin 1944, Pierre MERCIER (X1932) Capitaine, tué le 13 juin 1944, Jean-Paul BRIARD (X1934), Capitaine, tué le 14 juin 1944.
À la fin de cette campagne, l’ordre de bataille du 1er R.A. au débarquement de Provence le 15 août, compte 9 officiers polytechniciens ; outre les trois déjà cités, MORLON, MARSAULT (chefs-esc.) et SAUNAL (Ss-Lt), ce sont : René MESSAGER (X1934), Capitaine, tué dans les Vosges le 21 novembre 1944, Pierre FLEURY (X1934), Capitaine, Raymond HORGUES-DEBAT (X1937), Capitaine, Jean-Claude COMPAIN (X1938), Lieutenant, Francis ROUGÉ (X1941), Sous-Lieutenant, Jacques MANTOUX (X1941), Sous-Lieutenant.
Pendant la campagne de France, d’autres X seront affectés à la D.F.L. (Génie, DCA, ou R.A.), à des dates variables ; notamment au 1er R.A. Pierre LEGOUX (X1927), et Jean DUCHÈNE (X1940), tous deux anciens F.F.L. Peut-être d’autres, en 1945, (R.A., Génie ou FTA)."

Laloup laurent le jeudi 27 mars 2008 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution

Réponse :

GR 16 P 90424 | BRIARD (Jean Paul Charles) | 1913-04-06 | Paris | Seine | FRANCE pas d'homologation  Mort pour la France le 14-06-1944 (FCM 3 - Zeppronam, Italie)


" A 18 ans en 1940 il passe les examens d’entrée à Polytechnique repliée à Bordeaux. Il part à Bayonne pour trouver un embarquement pour l’Angleterre. Finalement il se retrouve à Casablanca et ne trouve pas à s’engager. Il revient en France métropolitaine en septembre 1940. Son père enseignant est mis à la retraite d’office par les lois anti-juives.
Il repasse l’entrée à polytechnique repliée cette fois à Lyon, il est reçu et intègre l’école en septembre 1941.
Lorsque la Wehrmacht envahi la zone sud avec un camarade, il rejoint Perpignan le 27 décembre 1942 pour trouver un passeur. Ils finissent par en trouver un. Ils rencontrent un de leurs camarades de Polytechnique SCIAMA. Le premier compagnon de Jacques renonce après un échec sans conséquence judiciaires. Jacques MANTOUX et SCIAMA le 5 janvier 1943 partent à 3 heures du matin derrière un guide, qui les laisse à la nuit tombante en Espagne. Ils passent la nuit à la belle étoile dans le froid. Au matin ils atteignent le premier village espagnol et continuent à la recherche d’un guide. Ils en trouvent un qui les conduit à pieds jusqu'à Barcelone, où ils pénètrent le 9 janvier au matin. Ils trouvent leur contact et vont au consulat américain. Sept camarades de promotion les rejoignent. Le 8 mars 1943 ils prennent le train pour Madrid munis par le consulat américain de papiers canadiens. Après une quinzaine de jours ils se retrouvent tous à Gibraltar, où deux officiers français recrutent l’un pour l’armée d’Afrique, l’autre pour les F.F.L. (Forces Françaises Libres)
Jacques MANTOUX choisi les F.F.L.
Il arrive à Londres le 8 avril 1943, est affecté à l’artillerie, nommé sous-lieutenant, retrouve son frère Etienne MANTOUX officier des F.A.F.L. (Forces Aériennes de la France Libre).
Jacques MANTOUX et son ami ROUGé sont affectés à la 1ère DMI qu’ils rejoignent à Nabeul en Tunisie le 18 mars 1944. Ils débarquent à Naples et remontent au prix de durs combats toute l’Italie.
Puis le 16 août 1944 la DFL débarque en Provence et est chargée de libérer Toulon.
Jacques MANTOUX est blessé près de Lure,. Il rejoint comme officier de liaison le Bataillon de marche 24. Le 8 janvier 1945 le bataillon est encerclé à Boofzheim et après des pertes sévères est fait prisonnier.
Jacques MANTOUX et ROUGé seront enfermés au camp de Hammelburg, après une éphémère libération par une colonne légère américaine ils sont repris, mais s’évadent à nouveau dans le désordre d’une Allemagne qui se sait battue mais dont les fanatiques agissent dans le désespoir.
Ils retrouvent avec quelques difficultés l’armée française à Strasbourg.

AUTEUR DE LA FICHE Marc Fineltin
COMMENTAIRE DE L'AUTEUR Source : Résumé d’après le livre de Philippe Lacarrière « A travers les barreaux, Récits d’évasion de Résistants » paru aux « Éditions LBM Little Big Man » en 2005"

Source : www.memoresist.org 

Laurent Laloup le jeudi 14 juin 2007 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution

Réponse :

GR 16 P 542107 | SCIAMA (Jean Henri Maxime) | 1921-02-06 | Paris | Seine | FRANCE pas d'homologation
SCIAMA Jean Henri Maxime Naissance 06/02/1921 Paris 16e, Décès 13/01/2007 Paris 14e

Dernière mise à jour le samedi 21 août 2010

 

Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté





fiche.php PHPisé et MySQLisé par Jacques Ghémard le 16 4 2025  Hébergé par Nuxit  Temps entre début et fin du script : 0.79 s  8 requêtes