Jacques Adrien Mantoux - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Jacques Adrien Mantoux



Naissance : 5 septembre 1921 - Genève, Suisse

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Passage en Espagne : aout 1942

Engagement dans la France Libre : Londres en janvier 1943

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / artillerie

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant

Décès à 89 ans - 21 décembre 2010 - Paris 16e

Frère d'Étienne Mantoux 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 390305

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 33911


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Jacques Adrien Mantoux - son Livre ouvert !
 

Nom :MANTOUX
Prénom :Jacques Adrien
Sexe :M
Jour de naissance :05
Mois de naissance :09
Année de naissance :1921
Code insee naissance :99140
Commune de naissance :Geneve
Pays de naissance :SUISSE
Jour de décès :21
Mois de décès :12
Année de décès :2010
Code insee deces :75116
Commune de décès :Paris 16e Arrondissement
Pays de décès :FRANCE

Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE

Laurent Laloup le dimanche 04 octobre 2020 - Demander un contact

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quelle énergie et dédication pour vivre et survivre dans des conditions difficiles
Je n'avais jamais assez apprécié les difficultés que représentaient passer en Espagne.
J'ai connu des françaises qui sont passés par les Pyrénées ainsi afin de rejoindre leur père et mari à Londres aussi dans la resistance.
J'apprécie mieux la difficulté que cela avait dû représenter
Avec toute mon admiration et ma sympathie
Sabine Landreau-farber
je ne suis pas de religion juive mais l'élément anti-sémitique m'attriste
Avez-vous lu Le journal d'Hélène Berr un chef-d'œuvre ?

Sabine Landreau-Farber le vendredi 29 septembre 2017 - Demander un contact

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COMMENT RECRUTEZ VOUS

PUIS JE VOUS DEMANDER comment sont choisis les noms inclus dans votre base de données
Je n'y trouve pas un certain nombre d'évadés de France ( ou d'ailleurs) a commencer par le frère de Jacques Mantoux, Etienne, qui a rejoint Londres au départ des USA
cordialement
f lalande isnard

LALANDE ISNARD le jeudi 22 janvier 2015 - Demander un contact

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Réponse :

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Tous les évadés par l'Espagne n'ont pas rejoint les FFL, certains ont choisi Giraud

Il peut y avoir des oublis, si vous avez des éléments pour ajouter une personne dans cette liste, n'hésitez pas à me les communiquer 


Jacques Mantoux Polytechnique



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CONTE Ariel le vendredi 28 novembre 2014 - Demander un contact

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Les Français libres / Jean-François Muracciole

" Mantoux (Jacques) : né en 1921, élève à l'École polytechnique en rupture de ban, rallié en mars 1943 après une évasion par l'Espagne, lre DFL, 1er RAFFL, lieutenant. Fils de l'historien Paul Mantoux, ancien colla­borateur de Clemenceau, directeur politique à la SON (1920-1927) et cofondateur de l'Institut universitaire des hautes études internationales de Genève (1927), et frère d'Etienne Mantoux, docteur es sciences économiques, lieutenant des FAFL, mort pour la France en avril 1945 à Berchtesgaden, Jacques Mantoux fut dirigeant de sociétés indus­trielles après la guerre."

Laurent le mercredi 02 décembre 2009 - Demander un contact

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Souvenirs d'un officier d'artillerie coloniale, de Paul Morlon

" Le 25 février 1944, le Sous-Lieutenant Francis ROUGE (le plus jeune frère de Pierre) puis, le 21 mars, son camarade MANTOUX, nous rejoignent. Ayant quitté la promotion 1941 de l'Ecole Polytechnique, ils sont passés en ESPAGNE, y furent internés un certain temps, rejoignirent l'Afrique du Nord, puis le régiment. MAN­TOUX est affecté à la 5e batterie, ROUGE à la 4". Je retrouve en lui la prestance, le caractère entier et l'écriture de Pierre. Passé également par l'ESPAGNE, le cen­tral ien Gérard FAUL, frère aîné de Michel qui sera affecté au groupe comme offi­cier de transmissions. Peu après, à la suite d'un court passage à l'AD, l'Aspirant LOUBOUTIN est affecté à la 5e batterie. Je touche également un excellent Maré-chal-des-Logis chef, LAVERGNE (VANDENESCH), un des évadés d'ALLEMAGNE par la RUSSIE avec le Capitaine BILLOTTE.
Ces arrivées constituent un renfort de qualité qui bouche les vides dus à cer­tains départs. En effet, toute cette réorganisation du régiment ne se fait pas sans certains grincements de dents. Entre autres, EMBERGER pensait bien recevoir le commandement d'une batterie, tous les "anciens" estimaient qu'il le méritait lar­gement. Après les affectations, il quitta le 1er RA pour aller à ALGER. Le Lieutenant Michel FAUL devient Lieutenant de Tir de la 4e batterie. Le Chef d'Escadron GAULARD espérait être nommé commandant du 3e groupe ; ne l'ayant pas obtenu, il partit pour le Levant."

Laurent Laloup le vendredi 27 février 2009 - Demander un contact

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" les départs échelonnés pour l’Espagne en janvier 1943 de Jacques HERTZ (X1940) et d’élèves de la 41, Jean AUDIBERT, Geoges BRAUER, André DAUBOS, Frédéric GOURIO (mort pour la France en 1944), Jacques MANTOUX, René PÉRINEAU, Francis ROUGÉ et Abel THOMAS, suscitent une vive émotion à Lyon et à Vichy. PÉTAIN dépêche sans délai Jean BICHELONNE (X1923) pour stigmatiser la conduite des absents ("J’ai vu le Maréchal qui m’a chargé de vous dire que vos camarades sont des traîtres") et organiser aussitôt trois conseils de discipline présidés par le Colonel de TARLÉ."

x-resistance.polytechnique.org 

Laurent Laloup le jeudi 21 août 2008 - Demander un contact

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www.xresistance.org 

" En janvier 1941, le Général De GAULLE décide de créer au Moyen-Orient une Division Française qui assure la présence directe de la France aux côtés des Alliés (parallèlement avec les forces regroupées au Tchad).
Ainsi est constituée une “Brigade Française d’Orient”, formée avec les premiers volontaires des Forces Françaises Libres, venus de Londres puis d’Afrique Equatoriale Française.
Dès sa création en 1941, la D.F.L. compte des polytechniciens dans ses armes techniques, et fin 1941, lorsque la 1ère Brigade Française Libre rejoint la 8ème Armée en Tripolitaine, elle compte sept X ; mais l’un d’eux, Louis FLORENTIN (X1933), meurt le 05-01-42.
Ainsi en 1942, à Bir Hakeim
il y en a six :
• au Génie : André GRAVIER (X1931), Commandant, et qui le dirige.
• au 1er R.A. : 5 officiers, dont 3 tués lors de la sortie (nuit du 10-11 juin) :
Georges BOURGET (X1936), Lieutenant, tué le 11 juin 1942, Charles BRICOGNE (X1932), Capitaine, tué le 11 juin 1942, René GUFFLET (X1931), Capitaine, tué le 11 juin 1942, Paul MORLON (X1933), Capitaine, Robert SAUNAL (X1940), Aspirant dans les fonctions indiquées sur l’ordre de bataille ci-contre. Il faut y ajouter Gérard MARSAULT (X1932), Capitaine, engagé avec des éléments de la 2ème Brig. Fr. L., en Tripolitaine Sud, de Mai à juillet 1942, dans des opérations de diversion de la VIIIème Armée Britannique.
À partir de fin 1942, d’autres les rejoindront, du Moyen Orient ou en Afrique du Nord. Deux sont tués en 1943 : Mathieu HADAMARD (X1918), Lieutenant, tué au 1er R.A. en Libye, Émile TAILLEFER (X1929) Chef d’escadron, tué en Tunisie, au Génie Divisionnaire.
En 1944, pendant la campagne d’Italie, trois sont tués au 1er R.A. : Jacques SOULEAU (X1934), Capitaine, tué le 5 juin 1944, Pierre MERCIER (X1932) Capitaine, tué le 13 juin 1944, Jean-Paul BRIARD (X1934), Capitaine, tué le 14 juin 1944.
À la fin de cette campagne, l’ordre de bataille du 1er R.A. au débarquement de Provence le 15 août, compte 9 officiers polytechniciens ; outre les trois déjà cités, MORLON, MARSAULT (chefs-esc.) et SAUNAL (Ss-Lt), ce sont : René MESSAGER (X1934), Capitaine, tué dans les Vosges le 21 novembre 1944, Pierre FLEURY (X1934), Capitaine, Raymond HORGUES-DEBAT (X1937), Capitaine, Jean-Claude COMPAIN (X1938), Lieutenant, Francis ROUGÉ (X1941), Sous-Lieutenant, Jacques MANTOUX (X1941), Sous-Lieutenant.
Pendant la campagne de France, d’autres X seront affectés à la D.F.L. (Génie, DCA, ou R.A.), à des dates variables ; notamment au 1er R.A. Pierre LEGOUX (X1927), et Jean DUCHÈNE (X1940), tous deux anciens F.F.L. Peut-être d’autres, en 1945, (R.A., Génie ou FTA)."

Laloup laurent le jeudi 27 mars 2008 - Demander un contact

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GR 16 P 90424 | BRIARD (Jean Paul Charles) | 1913-04-06 | Paris | Seine | FRANCE pas d'homologation  Mort pour la France le 14-06-1944 (FCM 3 - Zeppronam, Italie)


" A 18 ans en 1940 il passe les examens d’entrée à Polytechnique repliée à Bordeaux. Il part à Bayonne pour trouver un embarquement pour l’Angleterre. Finalement il se retrouve à Casablanca et ne trouve pas à s’engager. Il revient en France métropolitaine en septembre 1940. Son père enseignant est mis à la retraite d’office par les lois anti-juives.
Il repasse l’entrée à polytechnique repliée cette fois à Lyon, il est reçu et intègre l’école en septembre 1941.
Lorsque la Wehrmacht envahi la zone sud avec un camarade, il rejoint Perpignan le 27 décembre 1942 pour trouver un passeur. Ils finissent par en trouver un. Ils rencontrent un de leurs camarades de Polytechnique SCIAMA. Le premier compagnon de Jacques renonce après un échec sans conséquence judiciaires. Jacques MANTOUX et SCIAMA le 5 janvier 1943 partent à 3 heures du matin derrière un guide, qui les laisse à la nuit tombante en Espagne. Ils passent la nuit à la belle étoile dans le froid. Au matin ils atteignent le premier village espagnol et continuent à la recherche d’un guide. Ils en trouvent un qui les conduit à pieds jusqu'à Barcelone, où ils pénètrent le 9 janvier au matin. Ils trouvent leur contact et vont au consulat américain. Sept camarades de promotion les rejoignent. Le 8 mars 1943 ils prennent le train pour Madrid munis par le consulat américain de papiers canadiens. Après une quinzaine de jours ils se retrouvent tous à Gibraltar, où deux officiers français recrutent l’un pour l’armée d’Afrique, l’autre pour les F.F.L. (Forces Françaises Libres)
Jacques MANTOUX choisi les F.F.L.
Il arrive à Londres le 8 avril 1943, est affecté à l’artillerie, nommé sous-lieutenant, retrouve son frère Etienne MANTOUX officier des F.A.F.L. (Forces Aériennes de la France Libre).
Jacques MANTOUX et son ami ROUGé sont affectés à la 1ère DMI qu’ils rejoignent à Nabeul en Tunisie le 18 mars 1944. Ils débarquent à Naples et remontent au prix de durs combats toute l’Italie.
Puis le 16 août 1944 la DFL débarque en Provence et est chargée de libérer Toulon.
Jacques MANTOUX est blessé près de Lure,. Il rejoint comme officier de liaison le Bataillon de marche 24. Le 8 janvier 1945 le bataillon est encerclé à Boofzheim et après des pertes sévères est fait prisonnier.
Jacques MANTOUX et ROUGé seront enfermés au camp de Hammelburg, après une éphémère libération par une colonne légère américaine ils sont repris, mais s’évadent à nouveau dans le désordre d’une Allemagne qui se sait battue mais dont les fanatiques agissent dans le désespoir.
Ils retrouvent avec quelques difficultés l’armée française à Strasbourg.

AUTEUR DE LA FICHE Marc Fineltin
COMMENTAIRE DE L'AUTEUR Source : Résumé d’après le livre de Philippe Lacarrière « A travers les barreaux, Récits d’évasion de Résistants » paru aux « Éditions LBM Little Big Man » en 2005"

Source : www.memoresist.org 

Laurent Laloup le jeudi 14 juin 2007 - Demander un contact

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GR 16 P 542107 | SCIAMA (Jean Henri Maxime) | 1921-02-06 | Paris | Seine | FRANCE pas d'homologation
SCIAMA Jean Henri Maxime Naissance 06/02/1921 Paris 16e, Décès 13/01/2007 Paris 14e

Dernière mise à jour le dimanche 04 octobre 2020

 

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