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Et puis, en 2 ou 3 jours, nous avons parlé avec ceux qui s’appelaient Rossignon, Muhr, Berrué et nous avons réalisé que nous n'avions pas le monopole du combat pour l'honneur, de la détermination et du patriotisme, et que les nouveaux venus avaient pris des risques aussi grands que les nôtres pour venir nous rejoindre. En quelques jours, la fusion était faite.
Au fil des mois et des années, d'autres arrivèrent à la Compagnie, après la Tunisie, à Casablanca, venant d'Espagne : Bellan, Bichendaritz, Ricoy et d'autres encore à Paris : Quillet, Huckendubler…
Si fort était l'esprit de la Compagnie, et si préparés aussi à le recevoir ceux qui nous rejoignaient, qu'ils ne manquaient pas d'en être immédiatement saisis. Laloup laurent le mardi 09 octobre 2007 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |