| | | | | Un Français Libre parmi 62959 | | | Alfred Rosenzweig | |
Naissance : 31 mai 1918 - Metz (57)
Point de départ vers la France Libre : Moyen Orient
Engagement dans la France Libre : Liban en aout 1941
Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / QGCompagnie du QG n°51
A participé à la bataille de Bir Hakeim
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sous lieutenant
Décès à 90 ans - 25 octobre 2008 - Strasbourg (67)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 520479
Dans la liste de Bir Hakeim : ligne 3251
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 45120 |
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Alfred Rosenzweig - son Livre ouvert ! Mon dernier jour et ma sortie de l’enfer de Bir Hakeim (10 - 11 juin 1942) par Lucien Bourderioux
www.france-libre.net
"Nous arrivons aux véhicules de la compagnie de QG où je retrouve avec joie d’autres copains de l’échelon B, comme Proust, Rosenweig, etc.
On m’apporte de quoi me laver, me raser pour reprendre visage humain. On nettoie, désinfecte et panse ma hanche, ainsi que mes nombreuses égratignures. Je perçois un slip, un short et une chemise et je me sens revivre.." laurent le jeudi 17 décembre 2015 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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confirmation des informations concernant mon Père
1-engagement dans les F.F.L le 15/08/1941 à Beyrouth(Liban)
date"officiel" selon l'etat des services mais selon un document rédigé sous la dictée de mon Père,a rejoint en Mai 1941 au camp de Qastina (?)
2-venait de Syrie où il effectuait son service militaire
3-a terminé la guerre avec le grade de sous-lieutenant
4-mon Pére n'a jamais été adjudant :il a éte nommé aspirant le 16/03/1943.Miss Travers s'est trompée ou de grade ou de personne .Mais il est de fait qu'il a eté -à cette époque -un gros fumeur.Sur l'anecdote ,j'ai également des doutes sur le fait qu'il soignait des soldats malades car il était affecté pendant la campagne de Lybie au Q.G 51 de la 1 ere B.F.L .
Guy ROSENZWEIG le mercredi 23 juin 2010 Recherche sur cette contribution | |
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rectifications 1-a rejoint les FFL à Questina Liban en avril 1941
2-a terminé la guerre avec le grade de sous-lieutenant
3-contrairement au texte de Susan Travers,mon Père n'a pas été adjudant.Il a nommé aspirant,début 1942 ou 1943,-je le vérifie et je le confirmerai.
4-pour l'anecdote, je tiens de mon Père que c'est le Général Koenig qui lui a donné ses propres galons d'aspirant Rosenzweig Guy (son fils ainé) le jeudi 08 avril 2010 Recherche sur cette contribution Réponse : Quastina était en Palestine, le Liban était encore sous domination de Vichy
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Alfred Rosenzweig ? TANT QUE DURE LE JOUR de TRAVERS SUSAN :
"Les repas, annoncés par une sonnerie de clairon, étaient un des seuls événements de la journée, mais ils ne présentaient pas un très grand intérêt. Pour commencer, je mangeais à la cuisine, et mon ordinaire était parfois amélioré par des boîtes de sardines ou d'asperges de la cantine des officiers que le général ou Amilak envoyaient à mon abri. Mais la cuisine était un endroit bien isolé car tous les hommes étaient éparpillés aux quatre coins du campement et je finis par timidement demander si je ne pourrais pas manger avec les sous-officiers. Ils prenaient leurs repas dans une étrange tente en forme de pyramide qui devait venir de Syrie, car aucune tente anglaise ne ressemblait à ça.
— Croyez-vous que cela dérangerait quelqu'un si je mangeais avec vous ? demandai-je à Rosenzweig, un gentil adjudant qui soignait les soldats malades.
Percevant son hésitation, j'ajoutai :
— Je ne vous dérangerai pas et en échange, je vous donnerai mes rations de whisky et de cigarettes.
Après des délibérations hors de ma présence, les hommes tombèrent d'accord. Je partageai donc leurs repas, troquant leur compagnie contre mes rations mensuelles. C'était un marché honnête. Je ne buvais plus, ni ne fumais, et c'était merveilleux d'avoir des gens à qui parler. Sans eux, je serais souvent restée plusieurs jours d'affilée sans échanger un seul mot avec quiconque. Ils étaient trois : Rosenzweig, un gros fumeur, Schmidt, l'intendant alsacien au sens de l'humour dévastateur, et un jeune caporal de l'atelier dont je ne me rappelle pas le nom. Je le surnommais « Lofty », le Haut, car il était plus petit que moi." Laurent Laloup le lundi 23 février 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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