Julien Roger - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Julien Roger



Naissance : 17 décembre 1919 - Paris 15e

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en juillet 1940

Affectation principale : FNFL / fusiliers marins

1er RFM

Matricules : 1630 T37, 11119 FN40

A participé à la bataille de Bir Hakeim

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : maître fusilier

Décès à 25 ans - 10 avril 1945 - Turini (06)

Mort pour la France

Même matricule 1119 FN40 que Michel Péron 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 517420

Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 12586

Dans la liste de Bir Hakeim : ligne 170

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 44862


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Fusiliers Marins,(1er R.F.M.), de Roger BARBEROT

" Dans cette-situation, nous n'avons guère le choix puisqu'il n'est pas question d'abandonner nos en­gins que l'ennemi incendierait la nuit suivante. Le talus est trop abrupt pour que les chars puissent grimper et appuyer directement l'infanterie.
Celle-ci est en nombre insuffisant. On a demandé par radio des renforts. Une première réponse est venue : « Help yourself ».
Les marins ont compris que cette situation était précaire sans que l'on ait eu besoin de leur faire un grand cours de tactique. Ceux qui ont leurs ma­chines immobilisées descendent pour combattre à terre après avoir démonté leurs mitrailleuses brow­ning. Seul reste à bord un tireur avec son arme.
Les browning et leurs bandes de trois cents cartouches font un vacarme de tous les diables. L'en­nemi risposte de plus belle, fait des tirs de mortiers. Marins et nord-africains lancent des grenades. Une belle mêlée mais que d'hommes qui tombent !
Blessés : Schnitzler, Thierry, Coppenrath, d'une balle en pleine poitrine sous le sein gauche. Blessés le Martelot, le Bras, le Lin, Damiot, Pervès, Carval, .larry, Roger, Landouar...
Sans compter les équipages de Santos et de Tartu qui sont en plein chez l'ennemi..."

Laurent Laloup le lundi 16 mars 2009 - Demander un contact

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Extrait de À FORCE DE VAINCRE, de jacques Bauche

"... le morceau fut très dur et l'infanterie ne put enlever le sommet principal d'où l'ennemi nous surveilla toute la matinée. Tertio : les prairies etaient marécageuses et, en deux kilomètres de progression, nous perdîmes neuf chars, enlisés ou détruits. En particulier, ceux de Goérée, de Barnouin, de Guaffi, de Roger, de Przibilsky et de Frémaux, et les Américains, sept. Enfin, si nos hommes étaient gonflés, les Américains, eux, je ne sais pour quelle raison, étaient assez amorphes et, par malchance, l'ennemi peu nombreux, venait de recevoir des renforts de la veille et était très mordant."

Laurent Laloup le dimanche 28 décembre 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le lundi 16 mars 2009

 

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