Marcel Gabriel Joseph Rey - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Marcel Gabriel Joseph Rey



Naissance : 16 juin 1909 - Paris 15e

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en juillet 1940

Affectation principale : FNFL / fusiliers marins

1er RFM

Matricules : 2345 C30, 11077 FN40

A participé à la bataille de Bir Hakeim

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : maître principal fourrier

Décès à 76 ans - 3 avril 1986 - Créteil (94)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 507579

Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 12350

Dans la liste de Bir Hakeim : ligne 166

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 44149


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roumeguere le lundi 30 octobre 2017 - Demander un contact

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Fusiliers Marins,(1er R.F.M.), de Roger BARBEROT

" La première batterie en colonne, est attaquée pendant plusieurs heures par des M.E. 110 volant en rase-motte.
Elle en descend quatre vers 20 heures à El-Telim, un par la pièce Belzic, un par Malczieux, deux par Rey qui d'un seul coup transperçant l'aile d'un ME 110 voit ce dernier faire une forte embardée et accrocher son voisin. Les deux s'écrasent au sol, une des ailes coupant en deux un de nos camions.
Tôt le matin, un gros convoi de ravitaillement nous amène des munitions, des vivres mais pas d'eau. Il repart le soir avec les Hindous délivrés, les deux cent cinquante prisonniers, nos quatre pièces de 20 m/m et trois pièces de 25 m/m.
2 JUIN.
Vers 7 heures, le S.-M. Tassel rentre à Bir-Hacheim avec 1.000 coups de Bofors. Un camion anglais d'une brigade voisine apporte 1.000 autres coups."

Laurent Laloup le dimanche 15 mars 2009 - Demander un contact

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Fusiliers Marins, (1er R.F.M.) par Roger BARBEROT

" 1er JUIN.
Vers neuf heures la première batterie (Bauche-Le Goffic-Rey) part escorter le Pacifique à Rotunda Signali.
Vers dix heures, la mitrailleuse quadruple du Q/M Audren part escorter le commandant Puchois.
Quatre grosses attaques du camp :
11 h. 50 : 12 Ju. 87.
13 heures : 4 Ju. 88.
18 heures : 12 Ju. 87.
18 h. 45 : 4 Ju. 88.
Grosse dépense de munitions.
A la première attaque une bombe de 200 kilos et deux bombes de 50 kilos tombent à quelques mètres de la pièce Le Borgne.
Q.-M. Le Borgne, Q.-M. Guitton, Q.-M. Bertin, Mt Moniot, Mt Choquer, Mt Giorgy, Mt Génovini, tous servant la pièce, sont tués sur le coup à leur poste «le combat.
Le Q.-M. Daviault en réchappe seul avec des éclats dans la jambe.
Les tués sont enterrés à 15 heures."

Laurent Laloup le dimanche 15 mars 2009 - Demander un contact

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"A force de vaincre...de Jacques Bauche

" 20 heures : Alerte aérienne. Quatre Messerschmitts 110 piquent sur nous en rase-motte et nous mitraillent. Je saute avec mon chauffeur hors du pick-up pour m'abriter sous les loues. La mitraille crépite autour de nous. Ma voiture est touchée, deux roues tordues et crevées, le moteur atteint. Der­rière moi, me première pièce tire sans résultat. Les avions virent et recommencent leur attaque à trente mètres d'altitude loin derrière moi. Quatre avions piquent derrière la falaise, trois réapparaissent, une énorme explosion, un nuage de fumée noire : la première pièce de la deuxième section de ma batte­rie, commandée par Malesieux, vient d'abattre son premier avion en le covupant en deux.
Il y a maintenant six M. 110 et trois M. 109 qui nous sur-volent de près. Ma deuxième pièce, à huit cents mètres derrière moi, est touchée par la mitraille au moment d'ouvrir le feu. Le chef de pièce, Frémaux, n'a rien, mais Monville, Pouvrasseau et Miremont sont blessés, ainsi que la chienne de la sec­tion qui reçoit trois éclats. Personne n'est atteint grièvement. nais le tracteur est transpercé et son moteur démoli.
20 h. 05 : Nouvelle attaque en rase-motte par le même ennemi. Six avions, en deux groupes, piquent pour se croiser au-dessus de la pièce de Rey, avec qui je suis. La mitraille commence; l'armement de la pièce, sans sourciller, continue à tirer. Le bruit des moteurs à vingt mètres, celui des mitrail­leuses et du canon qui tire deux coups par seconde, sont noyés dans un tonnerre assourdissant, des flammes, une fumée noire, de l'huile chaude qui gicle partout autour de nous, des explo­sions dans tous les coins, des morceaux de tôle gros comme une armoire, tombent en sifflant. Nous sommes tous couchés par terre, suffoqués par la fumée... Que s'est-il donc passé?
Lorsqu'on y voit plus clair, je me relève pour constater...personne n'est blessé.."

Laurent Laloup le jeudi 25 décembre 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le lundi 30 octobre 2017

 

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