| | | | | Un Français Libre parmi 62936 | | | Bernard Floris Paul Edouard Pauphilet | |
Naissance : 28 janvier 1918 - Paris 7e
Activité antérieure : militaire
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en février 1941
Affectation principale : Résistance intérieure / Combat
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2
Décès à 97 ans - 30 janvier 2015 - Paris 18e
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 40405 |
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Bernard Floris Paul Edouard Pauphilet - son Livre ouvert ! " Bernard Pauphilet Consultant Décédé le 30/01/2015
Pauphilet, Bernard, Floris, Paul, Edouard, Consultant. Né le 28 janvier 1918 à Paris 7e. Fils d'Albert Pauphilet, Directeur de l’Ecole normale supérieure, et de Mme, née Madeleine Grandvarlet. Père de 3 enfants : Guénola [Mme Jean-Pierre Bourdon], Gilles, Cyrille.
Etudes : Lycée du Parc à Lyon, Lycée Louis-le-Grand à Paris, Facultés de droit de Paris et d’Alger. Diplômes : Diplômé de l’Ecole libre des sciences politiques (finances publiques), Diplômé d’études supérieures juridiques.
Carrière : Secrétaire au Comité français de libération nationale à Alger (1943-44), Secrétaire de l’Emergency Economic Committee for Europe à Londres (1945-47), Directeur des ventes de différentes sociétés, Conseiller technique au Commissariat à la productivité à Paris (1952-57), Directeur général (1957) de la société AMP France (matériel électrique et électronique), Président-directeur général (1960) de la société Becton-Dickinson France (appareils médico-chirurgicaux), Conseil de direction de différents groupes (1965), Président-directeur général de Pennsalt Equipements industriels (1967), Management Consultant, Conseil en gestion financière et épargne privée (1978-2002), Auditeur de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) (1970). Décoration : Officier de la Légion d’honneur, Croix de guerre 39-45, Médaille de la Résistance.
Sport : marche. Membre et Président de l’Association de la libération française du 8 novembre 1942, Président puis Président honoraire de la section Paris 18e de la Société d'entraide des membres de la Légion d'honneur (SEMLH) et Membre du bureau de l'Association nationale des médaillés de la Résistance (ANMRF), Délégué au Comité d'action de la Résistance (Car), Membre du conseil des Anciens combattants des services du renseignement (ACSR)."
whoswho.fr Laurent Laloup le mercredi 15 juillet 2020 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Le texte ci dessous vaut une petite réponse, il me semble :
"La France Libre était absente" mais non, puisque Bernard Pauphilet était là. Il était la France Libre ce jour là, non ?
"L'Histoire officielle de la France donne plus de place à la prise de l'insignifiante oasis de Koufra par Leclerc qu'à la prise d'Alger par 300 résistants juifs pour la plupart". Mais à Koufra Leclerc et ses hommes créent l’événement alors qu'à Alger ces 300 résistants ne font que participer à l'évènement. Et y auraient-ils participé si un an et demie plus tôt, à Koufra, Leclerc n'avait pas montré que la France Libre pouvait surprendre et vaincre ?
Image venant de www.morial.fr Jacques Ghémard le samedi 10 décembre 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Yves et Myriam DECHEZELLES Mes parents ont participé à l'action du 8 novembre 1942 et connu l'aspirant Bernard Pauphilet, qui plus tard a présidé l'association du 8 novembre avec talent et fidélité.
Yves Dechezelles est décédé en janvier 2007 et Myriam Dechezelles, qui aura 100 ans le 2 septembre 2014, tient à saluer l'activité et la fidélité de ce résistant et ami, toujours jeune dans sa mémoire conservée. DECHEZELLES Jean-Jacques le jeudi 26 juin 2014 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Les origines du Corps Francs et du Special detachement :
Interview de Romain Durand, par la Revue de la France libre : (Extrait)
Q : Avez-vous élucidé la question des origines du CFA ?
R : Pratiquement, une partie des résistants qui avaient su fortement contribué au succès du débarquement du 8 novembre 1942 s'étaient regroupés en vue de combattre aux côté des alliés. L'aspirant Bernard Pauphilet (qui avait « gardé » l'amiral Darlan et le général juin pendant la nuit du 8 novembre) ouvre un bureau de recrutement au 7, rue Charras et un ami d'Henri d'Astier met à sa disposition une ferme à Cap-Matifou. Les premiers volontaires – dont certains étaient issus des réseaux travaillant en liaison avec les Britanniques avant même le débarquement – constituent le « Special Detachment » qui par pour le front dès le 16 novembre.
Mais les volontaires continuent de se présenter rue Charras. Pauphilet entre alors en contacte avec le général de Monsabert, qui est sans commandant du fait de sa participation au débarquement. Il lui demande s'il n'est pas possible de constituer un commando administré par l'armée française avec les nouveaux candidats.
Au même moment, l'armée d'Afrique s »organise pour la campagne de Tunisie et elle ne souhaite pas incorporer les volontaires non mobilisables ou indésirables à ses yeux : gaullistes, activistes, israélites, étrangers, hommes âgés ou non instruits militairement, etc..C'est dans ce contexte que la directive n°2 du commandement en chef crée le 25 novembre, un Corps Franc d'Afrique autonome, qui sera employé hors de la zone attribuée au XIXe Corps Français"
www.livresdeguerre.net Laurent Laloup le jeudi 28 février 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Au 26 de la rue Michelet, le Consul Général des États-Unis, chez le Professeur Aboulker, insista auprès de Jousse pour que Juin ne fût pas inquiété. Murphy se rendrait lui-même auprès du général à sa résidence, la villa des Oliviers et lui annoncerait le débarquement américain, en y mettant les formes évidemment. Toutefois Jousse, prudent, laissa en place le cordon sanitaire établi sur le devant de la villa, par un groupe de volontaires que commandait Bernard Pauphilet, un jeune aspirant de réserve.
Je résume le compte-rendu que celui-ci a rédigé en 1945, et dont il a bien voulu me communiquer le texte.
Le 7 novembre 1942, au cours de la dernière réunion qui se tenait au 26 de la rue Michelet, mais cette fois au niveau du 4ème étage, dans l’appartement de Jacques Brunel, Jousse, qui était son beau-frère, remit à Pauphilet l’ordre de mission suivant: ..."
war.megabaze.com
Jean L’Hostis
1940 - 1942
Ma participation à la Résistance en Algérie
GUERRE 1939 - 1945
Témoignage Laurent Laloup le jeudi 28 février 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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ARC 011 - Bernard Pauphilet
Bernard Pauphilet faisait partie de la résistance gaulliste à Alger en 1941-1942.
« Compte rendu sur l'activité de Bernard Pauphilet dans la préparation et l'exécution du débarquement ainsi que dans les événements postérieurs, jusqu'à la date de l'exécution de l'amiral Darlan »
Témoignage sur l'effervescence qui régnait dans les milieux résistants à Alger (réseau Combat autour de René Capitant et groupe Henri d'Astier), dans les jours qui ont précédé le débarquement allié du 8 novembre 1942, pour contrer les directives de Vichy, dont l'amiral Darlan était le porte-parole. Mise au point sur les différentes étapes de la création du Corps franc d'Afrique.
[20 pages rédigées en 1945, École normale supérieure de la rue d'Ulm]
Répertoire des archives de l'IHTP
Archives, témoignages et documents écrits
Seconde Guerre mondiale
www.ihtp.cnrs.fr Laurent Laloup le jeudi 05 juillet 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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