René Manuel d'Oliveira - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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René Manuel d'Oliveira



Naissance : 10 février 1920 - Calais (62)

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en mai 1941

Affectation principale : FAFL / Lorraine

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant

Décès à 56 ans - 30 janvier 1977 - Istres (13)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 188249

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 15915ligne 39274

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Complément

René d'Oliveira poursuit après guerre une carrière militaire dans l'armée de l'air où il obtient le grade de capitaine. Il décédé le 30 janvier 1977 à l’âge de 57 ans.

Fred Bentley le mardi 04 octobre 2022 - Demander un contact

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Aviation magazine / président-directeur général P. Laureys 1956/11/29
Edité en 1956
Source: Gallica



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Laurent Laloup le dimanche 05 décembre 2021 - Demander un contact

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Jacques Ghémard le dimanche 05 décembre 2021 - Demander un contact

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Revue de la Fondation de la France Libre -mars 2014

Laurent Laloup le samedi 10 août 2019 - Demander un contact

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Quel bonheur

Bravo pour ce recueil d'informations je suis la petite nièce de renée d'oliveira, fille d'Élisabeth qui était la soeur de manuel d'oliveira qui a écrit plus haut. Merci encore.

Flavie d'oliveira le vendredi 26 juin 2015 - Demander un contact

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Le brevet de pilote de tourisme de René d'Oliveira donne Oliveira comme nom. Il a obtenu son brevet de pilote de tourisme n°9663, validé à la date du 20 décembre 1937. Il demeurait alors à Tourlaville.
Il a appartenu à la section d'aviation populaire (puis prémilitaire) de Cherbourg.
Il est arrivé à l'école élémentaire de pilotage de Saint-Brieuc le 13 novembre 1939,sur concours. Il est jugé apte le 30 novembre 1939. Il quitte l'école le 24 février 1940 et retourne dans ses foyers. Précision sur le cahier de marche de l'EEP n°25 de Saint-Brieuc dans la case départ: "père espagnol".

Didier Lecoq le dimanche 14 avril 2013 - Demander un contact

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felicitations

félicitations pour pour ce récit qui parle de mon oncle rené d'oliveira . si cela vous intéresse je possède quelques photos de cet époque. cordialement manu d'oliveira

manuel d'oliveira le samedi 07 juillet 2012 - Demander un contact

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Réponse :

N'hésitez pas à scanner ces photographies et à les déposer ici

Cordialement
Jacques Ghémard


" HARTFORDBRIDGE.

De gauche à droite:

LOUSTEAU, Sergent NEY, Observateur. MORISSEAU, Sergent d'OLIVIERA, Pilote. Sergent BERTHELOT, Mécanicien-avion.

(source: ICARE N° 171) "

halifax346et347.canalblog.com 



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Laurent le vendredi 28 août 2009 - Demander un contact

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<< Les sans culottes de l'air >> Du Général Valin et de François Sommer

" 10 heures, la nuit tombe rapidement sur le plateau et je descends avec Trois-Pièces boire un verre au bar. Il est fermé, bizarre. Et nous n'avons pas dîné. Un comble!
Un planton arrive et, sur la porte close, affiche le « battle order » qui va faire des heureux et des mécontents; puis il repart de son pas pesant. Il s'en fout, lui; ça ne lui dit rien, ne le mène à rien, sauf qu'on l'em... à le retenir si tard ce soir.
Faute d'autre occupation, nous nous dirigeons vers la hutte, pour aller dormir quelques heures.
En rentrant, nous rencontrons trois petits sergents pilotes de l'escadrille : Vannier, d'Oliveira, et Mouriez ( Houriez : porté disparu quelques jours après, puis tué en combat aérien.) qui nous posent une foule de questions, persuadés que nous leur cachons quelque chose en affirmant que nous n'en savons pas plus qu'eux, railleurs. "

Laurent le dimanche 05 juillet 2009 - Demander un contact

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" Pierre Desprez et René d'Oliveira, de Tourlaville, après avoir traversé la ligne de démarcation, rejoignirent l'Angleterre par Marseille et les Antilles. En 1944, Desprez fut abattu par la Flak (la D.C.A. Allemande), en attaquant des rampes de lancement de V.1 dans le Nord."

assoc.orange.fr/memoiredeguerre 

Laloup laurent le mercredi 26 septembre 2007 - Demander un contact

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LES AVIATEURS

A la même époque. trois jeunes gens de Tourlaville. impatients de servir leur patrie, Pierre DESPREZ, René d'OLIVEIRA et René LECTEUR, décident de tenter de rejoindre l'Angleterre. Après quelques tentatives infructueuses, ils consultent le résistant cherbourgeois Paul GUILBERT qui leur indique l'adresse d'un horloger de Caen susceptible de les aider.

Munis d'un peu d'argent par leurs parents et des patriotes, Mlle LEVASLOT et Mme LEMAGNEN, ils quittent Cherbourg et obtiennent à Caen le nom d'un passeur qui. moyennant rétribution pourra les aider à franchir, à Bléré, la ligne de démarcation séparant la zone occupée par l'ennemi de la zone dite libre, sous administration française.

A Bléré, la nuit était glaciale. et la sentinelle allemande gardant le pont à la limite des deux zones, emmitouflée dans son manteau, ne se montra pas trop exigeante. Mais l'accueil en zone libre des autorités françaises n'étant pas très encourageant, les trois amis, presque dépourvus d'argent, réussissent cependant à gagner Marseille où, par chance, DESPREZ et d'OLIVEIRA sont admis comme maître-mécaniciens sur le paquebot " Winnipeg ", desservant les Antilles.

Arraisonné par une corvette hollandaise, le navire se trouve contraint de se rendre à l'île anglaise de la Trinité, d'où les deux intrépides jeunes gens peuvent rejoindre, en septembre, les Forces Françaises Libres en Angleterre.

Entrés dans l'aviation, les deux amis font partie du célèbre groupe de bombardement " Lorraine ". Malheureusement, au cours d'une opération sur une rampe de lancement près de Saint-Omer, Pierre DESPREZ trouve la mort, abattu par la Défense anti-aérienne allemande, dans les premiers jours de l'année 1944.

beaucoudray.free.fr 

Laurent Laloup le dimanche 15 juillet 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mardi 04 octobre 2022

 

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