Georges Jules Naday - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Georges Jules Naday



Naissance : 21 janvier 1906 - Szent Jobb, Hongrie

Point de départ vers la France Libre : Nord Afrique

Engagement dans la France Libre : en juin 1943

Affectation principale : FNFL / marine de guerre

DCAN Londres

Matricules : 584 FN43

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : ingénieur direction des travaux

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 438843

Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 10682ligne 10683

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 37996


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Georges Naday est écrit Georges Nadai dans la liste des volontaires du 21e R.M.V.E et né en Roumanide. Enfin dans la liste des faits de résistance, il est écrit Nsday né à Szent Job Hongrie et c'est la bonne écriture.
Dans son livre 'Ich stelle mich''. Hans Habe a écrit 'Le grand Nadai, un radio ingénieur hongrois, allongé à mon côté, la tête collée au sol, calculait à haute voix qu'il nous restait dix minutes à vivre tout au plus. Il émettait pour ainsi dire un point de vue technique quant à la mort. Il me démontra que la pluie d"obus se rapprochait de nous et de fait les obus explosaient de plus en plus près. Ils étaient tombés d'abord sur la route, ensuite à l'orée du bois, et maintenant les premiers arbres commençaient à tomber projetant des morceaux autour de nous.
Le radio ingénieur, blanc comme neige, murmura :
---Ils raccourcissent le tir. Ils vont nous atteindre dans cinq minutes tout au plus."

André Blitte le mercredi 19 septembre 2018 - Demander un contact

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"À propos du n° 577, août-septembre 2002

Si des chercheurs français avaient avant-guerre apporté quelques contributions à la naissance de la technique de détection des navires et des avions par échos de micro-ondes, l'essentiel du développement s'effectua pendant le dernier conflit mondial, en Grande-Bretagne et surtout aux États-Unis au Massachussetts Institute of Technology de Boston.
À la Libération, la France avait à tout organiser pour rattraper le retard avec trois Sociétés de Radioélectricité sur les rangs : le Groupe SFR/CSF, les Laboratoires Radioélectriques et le Groupe Thomson, auxquels s'adressèrent les premiers marchés d'étude passés par les pouvoirs publics, via le CNET et le STTA (Centre national d'études des télécommunications et Service technique des transmissions de l'air).
Le premier acteur à entrer en scène fut le groupe SFR avec la création d'un Centre technique CSF, rue du Maroc, dirigé par Monsieur Guitton et dont les deux têtes en matière de radar étaient notre regretté camarade Jean Ortusi (37) pour la partie micro-ondes et Georges Naday, un Français d'origine roumaine qui avait trouvé refuge à Londres pendant la guerre et acquis de bonnes connaissances dans la Marine française libre.
C'est ainsi que fut confiée à la CSF l'étude du premier radar français 10 cm destiné à la navigation maritime et commandé par les services de l'ingénieur général Ragonnet.
Peu après survint une nouvelle avancée technique, celle de l'élimination des échos fixes, le MTI (Moving Tarjet Indicator), destinée à rendre plus performants les radars d'aérodromes. Cette fois la longueur d'onde choisie était de 3 cm et ce sont les Laboratoires Radioélectriques qui en furent chargés sous la direction de Boris Kniazeff.
Entre-temps un autre événement marquant de la naissance de cette spécialité en France, celui de la parution en 1948 par les Éditions Chiron, à la base de la Revue L'Onde électrique de la Société française des radioélectriciens, d'un ouvrage de base sur les micro-ondes publié aux USA chez D. Van Nostrand par J.-L. Brainerd puis une série de quatre autres ouvrages techniques sur le radar, traduits de l'imposante série publiée aux USA par Mac Graw Hill pour le Radiation Laboratory du MIT.
Juillet 1948 :
. Technique des ultra hautes fréquences de J.-L. Brainerd.
. Techniques des Mesures en micro-ondes (2 tomes).
1950 :
. Balises radar.
1955 :
. Conception et réalisation des dispositifs radar.
. Techniques des mesures en micro-ondes (2 tomes).
Ainsi furent posées les bases de la culture technique de l'industrie française du radar."

Laurent Laloup le vendredi 01 décembre 2017 - Demander un contact

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Georges Naday, né en 1906 en Roumanie, responsable des essais au département des lampes de Levallois, transféré à Lyon en 1941, part pour Londres en 1943, et devient finalement après-guerre le responsable de l'usine de Malakoff de la SIF, spécialisée dans les radars.

Laurent Laloup le vendredi 01 décembre 2017 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mercredi 19 septembre 2018

 

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