Marcel Ernest Armand Mingant - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Marcel Ernest Armand Mingant



Naissance : 4 septembre 1903 - Plougonvelin (29)

Engagement dans la France Libre : Indes en juillet 1940

Affectation principale : Résistance intérieure / Mingant

Homologué FFC DIR et FFL

Décès à 83 ans - 16 décembre 1986 - Paris 16e

Epoux de Sylviane Pepi 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 295563


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Jacques Ghémard le mercredi 03 avril 2024 - Demander un contact

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Toutefois, dès 1940 se développe une résistance clandestine – huit réseaux ont été homologués après la guerre – au sein des bureaux du Service de Renseignement Inter-colonial (réseaux « Giraud-Lan », « Graille », « Maupin-Levain » et « Mingant ») ou parmi les civils (« Nicolau-Bocquet », « Plasson » – du nom d’un commerçant de Phnom Penh – et « Tricoire »). Multiforme, elle fait essentiellement du renseignement au service des Alliés et de la France libre, « Bjerring » étant le seul réseau action. Un neuvième réseau, créé par Camille Huchet à Saïgon et qui travaillait pour l’Intelligence Service ; son chef étant décédé lors de son retour en France avant d’avoir déposé son dossier au Service d’homologation du général Dejussieu Pontcarral – ses membres ont, pour l’essentiel, été pris en charge par des réseaux avec lesquels ils avaient travaillé après l’arrestation de Huchet par les autorités vichystes ...."

www.france-libre.net 

GR 16 P 297857| HUCHET ( Camille )| 1889-03-18| Paris 9| Seine| FRANCE|

Laurent Laloup le lundi 18 mai 2020 - Demander un contact

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La France en Chine de Sun Yat-sen à Mao Zedong, 1918-1953 De Nicole Bensacq-Tixier



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Laurent Laloup le mardi 26 novembre 2019 - Demander un contact

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Hanoï, 1936 – Etat-Major du Commandant Supérieur (1)
Notice : Etat Major du général Verdier, Commandant Supérieur des troupe de l’Indochine.
Photographie prisedevant la Concession, le jour du départ du général Verdier le 11 janvier 1936.

Le recto de la photographie indique de gauche à droite :

Lieutenant Guiol
Capitaine Mingant
Capitaine Guichardot
Lieutenant Wernert
Commandant Bugeau
Capitaine Barbier
Lieutenant Colonel Le Bris
Capitaine Lefèvre
Colonel Aymée
Capitaine Tutenges
Capitaine Boitard
Général de Division Verdier
Capitaine Vallier
Lieutenant-Colonel Hary
Capitaine Sacquet
Capitaine Le Pulloch
Commandant Duchaussoy
Lieutenant Péguy
Capitaine Espiau
Commandant Sol

www.aavh.org 



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Laurent Laloup le dimanche 30 juin 2019 - Demander un contact

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Evasions de Pierre Boulle, d'Eugène Robert et de Raymond Labussière. Indochine.

Bonjour.

Mon père, Robert Jaillon, a caché à Hanoï Robert et Labussière, deux extraordinaire personnages (sans compter Pierre Boulle).
Le Capitaine Mingant, est entré en contact avec mon père à ce sujet, sans doute pour enquêter sur la suite donnée à cette évasion dont il était l'instigateur (et sans doute l'accompagnateur). Suite à quoi mon père échappa à la prison japonaise.
Je souhaiterais pouvoir contacter la fille du Colonel Mingant afin de la féliciter pour son commentaire au sujet du sort que nous réservaient les japonais (y compris pour les femmes et les enfants sauf intervention des USA).

Veuillez lui transmettre mon respectueux souvenir. Jean Pierre Jaillon. 50 Coutances.

Jean Pierre Jaillon le jeudi 08 mars 2018

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" Le colonel Marcel Mingant, Infanterie de Marine, président d’honneur de la Fédération des Réseaux de la Résistance en Indochine FFL-FFC, est décédé le 16 décembre 1986 à Paris, la veille même du jour où était inauguré, à Paris, le square des Combattants d’Indochine. La famille ayant exprimé le souhait que les obsèques se déroulent dans l’intimité, aucun faire part n’a été publié. Un service religieux, suivant le rite préconciliaire, a été célébré en présence de M.G. Fontes, secrétaire d’État aux Anciens Combattants, qu’entouraient des camarades de combat et des amis de Marcel Mingant, le 8 janvier 1987, en l’Église Saint-Nicolas du Chardonnet.
La vie du colonel Mingant, commandeur de la Légion d’honneur, croix de guerre 1939-1945, rosette de la Résistance, Medal of Freedom (USA) peut se résumer par les paroles de l’hymne de l’Infanterie de Marine. Dernier né d’une famille bretonne de pêcheurs en haute mer, Marcel Mingant, tout jeune encore, avait embarqué sur un morutier avant de souscrire à Brest un engagement dans l’infanterie coloniale. Il avait « le coeur d’un matelot et celui d’un soldat ».
Très rapidement, le jeune soldat Mingant devient sergent, puis il réussit le concours de Saint-Maixent et gagne sa première barette dorée. « La fantaisie des désignations coloniales » suivant l’expression de son vieil ami, le colonel Armand Guiol, le conduit en 1935 à l’état-major du général commandant supérieur des Troupes de l’Indochine où, jeune capitaine, il assure la direction des Renseignements Intérieurs (sécurité militaire), Guiol de son côté assurant la direction des renseignements extérieurs. Là se créent entre les deux jeunes officiers, devait écrire Guiol, des « liens d’amitié que ni le temps, ni l’éloignement, ni l’éternité ne pourront dénouer ». De retour en France en 1938, il est rapidement désigné pour assurer la direction adjointe du secteur I du Service de renseignement intercolonial à Shanghaï, son ami Guiol prenant la direction adjointe du secteur II du même service à Hanoi, que commande le colonel Maupin.
L’armistice de 1940 conduit le colonel Maupin, les capitaines Mingant, Guiol, Levain et Graille à appliquer la consigne permanente qui avait été donnée par G. Mandel, ministre des Colonies au service de renseignement colonial lors de sa création : en cas de rupture des relations avec la métropole, établir le contact avec les alliés les plus proches. C’est ainsi que naîtront les réseaux Maupin-Levain, Graille (tous les deux réseaux FFL) et Mingant, qui prend contact avec les Américains en Chine. Relevé de son poste par l’amiral Decoux, haut commissaire de Vichy en Indochine, Mingant doit quitter la Chine, mais il conserve ses contacts américains et renseigne les Alliés sur les activités nippones. Par chance le coup de force nippon qui balaye l’infrastructure administrative et militaire française en Indochine (9 mars 1945), Marcel Mingant échappe au filet des tortionnaires de la Kempeitaï (gendarmerie nippone) et c’est comme prisonnier de guerre qu’il est libéré à Saïgon par la victoire alliée.
Il regagne alors la France, et poursuit sa carrière militaire tout en jetant les bases de la Fédération des réseaux de la Résistance en Indochine (FRRIC) afin de défendre les droits de ses camarades de combat. Il devait en assurer la présidence tout en siégeant au titre de la Résistance extra-métropolitaine dans diverses commissions nationales. Il fait alors preuve d’une disponibilité de tous les instants, d’une infinie générosité et d’un dévouement sans faille en faveur de ses camarades de la Résistance.
La grande famille des Forces Françaises Libres dont la Fédération des réseaux de la Résistance en Indochine fait partie se joint à la famille en deuil, partageant sa peine. Elle gardera le souvenir du colonel Marcel Mingant, comme celui non seulement d’un camarade, mais plus encore d’un exemple.
Jacques Dauphin
Extrait de la Revue de la France Libre, n° 258, 2e trimestre 1987."

Entretien filmé : 

Laurent Laloup le lundi 30 octobre 2017 - Demander un contact

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"... Très rapidement, le jeune soldat Mingant devient sergent, puis il réussit le concours de Saint-Maixent et gagne sa première barette dorée. « La fantaisie des désignations coloniales » suivant l’expression de son vieil ami, le colonel Armand Guiol, le conduit en 1935 à l’état-major du général commandant supérieur des Troupes de l’Indochine où, jeune capitaine, il assure la direction des Renseignements Intérieurs (sécurité militaire), Guiol de son côté assurant la direction des renseignements extérieurs. Là se créent entre les deux jeunes officiers, devait écrire Guiol, des « liens d’amitié que ni le temps, ni l’éloignement, ni l’éternité ne pourront dénouer ». De retour en France en 1938, il est rapidement désigné pour assurer la direction adjointe du secteur I du Service de renseignement intercolonial à Shanghaï, son ami Guiol prenant la direction adjointe du secteur II du même service à Hanoi, que commande le colonel Maupin.
L’armistice de 1940 conduit le colonel Maupin, les capitaines Mingant, Guiol, Levain et Graille à appliquer la consigne permanente qui avait été donnée par G. Mandel, ministre des Colonies au service de renseignement colonial lors de sa création : en cas de rupture des relations avec la métropole, établir le contact avec les alliés les plus proches. C’est ainsi que naîtront les réseaux Maupin-Levain, Graille (tous les deux réseaux FFL) et Mingant, qui prend contact avec les Américains en Chine. Relevé de son poste par l’amiral Decoux, haut commissaire de Vichy en Indochine, Mingant doit quitter la Chine, mais il conserve ses contacts américains et renseigne les Alliés sur les activités nippones. Par chance le coup de force nippon qui balaye l’infrastructure administrative et militaire française en Indochine (9 mars 1945), Marcel Mingant échappe au filet des tortionnaires de la Kempeitaï (gendarmerie nippone) et c’est comme prisonnier de guerre qu’il est libéré à Saïgon par la victoire alliée. ..."

Laurent Laloup le jeudi 05 octobre 2017 - Demander un contact

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Photo Mme & m. LUN avec Colonel MINGANT & Mme Mingant



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David WHITING le mercredi 18 février 2015 - Demander un contact

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Un hommage à mon père

C'est avec joie que je découvre ces lignes qui ramènent à ma mémoire les actions héroiques, le courage, la témérité de mon père Marcel Mingant, dans la lutte contre les envahisseurs Japonais, en Indochine, où je suis née le 23 octobre 1945 et où, sans la bombe atomique, j'aurais été massacrée comme des milliers de Français.

J'exprime mon admiration et ma reconnaissance envers un homme hors du commun que j'ai si bien connu pour avoir eu la chance d'être unie à lui par les liens du sang. Il est toujours à mes yeux un vaillant chevalier sans peur et sans reproche et sa mort en 1986 fut une perte incommensurable.

Marcel, où que tu sois, je te rends hommage et je te remercie d'avoir été mon père dans la vie terrestre.

Avec tout mon amour

Maria Mingant le jeudi 02 décembre 2010 - Demander un contact

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" The most damning version of Norton's death came from an anti-Vichy, French Army intelligence officer, Capt. Marcel Mingant, who had previously called for the wholesale execution of all Vichy collaborators in Vietnam. The captain refused to cooperate with the French army underground which he considered pro-Vichy, guilty of collaborating with the Japanese, and (wrongly) under the control of the Surete or Deuxieme Bureau. Mingant objected to "the about-face of certain leaders who, formerly notorious Vichyists are now throwing themselves too visibly into the pro-Allied movement and at its head...." Mingant consequently seized on the death of Norton to discredit his personal enemies in the French army underground. He informed the American command that Norton had been turned over to the Vichy Resident of Bac Giang province, Rouilly, and Rouilly's military subordinate, Jourdan. The two Vichy officers surrendered the pilot to Japanese military authorities as requested. The Japanese then tortured him and killed him. Yet another version found in Fourteenth Air Force records, probably also provided by Mingant, stated Norton was "beaten to death by French police chief (vichy)," possibly a reference to Jourdan."

findarticles.com 

Laurent Laloup le mercredi 15 octobre 2008 - Demander un contact

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war.megabaze.com 

René J. POUJADE Souvenirs épars

"Le réseau Huchet, qui, dans les derniers temps communiquait par le poste radio du Commandant Grailles, Chef de l'antenne BSM de Saïgon, passa sous le contrôle du Réseau Plasson, de Phnom Penh, au Cambodge.(Le BSM, Bureau des Statistiques Militaires était le camouflage du Service de Renseignement Intercolonial, dépendant du Ministère des Colonies: En Indochine, il travaillait clandestinement avec les Alliés. Un Brestois, le Capitaine Marcel Mingant, F.F.L. comme beaucoup d'officiers du BSM, avait été ramené de force de Shang Haï et dirigeait une antenne au Tonkin. C'est lui qui fit évader Robert en 1944."



war.megabaze.com 

R.J. POUJADE Cours martiales d’Indochine

Un marsouin à la "barre de l’Indochine"

"A cette époque, Paris se libérait et c'était vraiment la panique chez tous ceux qui, partout, s'étaient compromis dans la politique de la Révolution Nationale : sans vergogne, ils recherchaient le contact avec des gens qu'ils méprisaient une semaine plus tôt, tandis que les "Francisques" disparaissaient des revers de vestes dans les égouts. Cependant, ceux qui allaient devenir les chefs de la "Résistance Officielle" ne pensaient pas encore à libérer les "dissidents" : on retrouvait le même comportement que celui des autorités d'A.F.N. à l'époque du Général Giraud, encore imprégnées de Révolution Nationale. Le Commandement d'Indo-Chine discutait d'une réintégration des officiers comme 2ème classe… alors que l'ex-Génésuper était Chef de la Résistance, reconnu par le Génésuper. Il est vrai que le Général Ayme fut un des rares à arborer la Francisque que lui avait décerné le Maréchal Pétain…

A Hanoï, les résistants des premiers temps profitaient du relâchement des niveaux subalternes et avaient mis au point un plan d'évasion des gaullistes de Saïgon. Ceux-ci en furent informés et l'opération "Farman" fut classée. Le nouveau plan avait été préparé par l'équipe Mingant et Lan, au Tonkin, mais en liaison avec leurs correspondants à Saïgon. L'apprenant, et bien que très faible, Robert demanda à réintégrer la prison; ce qui lui fut accordé avec empressement, nul ne tenant à le voir s'évader de sa surveillance.....
En fin de 1944, Lan descendit de Hanoï sur Saïgon : accompagné de Tastagnière, du Commissariat de la Gare de Saïgon entré dans la Résistance, il vint prévenir les prisonniers de l'imminence de l'opération et de ses grandes lignes, dont le passage en Chine. Lan, fortement engagé dans la Résistance depuis longtemps, avait rendu service à l'E.M. de Hanoï (au Lieutenant-Colonel Cavalin), ce qui lui avait donné l'opportunité, avec le Capitaine Mingant du B.S.M. et résistant de 1940, de "monter un coup" : il s'agissait d'organiser l'évasion du groupe entier des "dangereux gaullistes" à l'occasion de leur "transfert de sécurité", que les comploteurs provoqueraient. ..."

Laurent Laloup le jeudi 17 juillet 2008 - Demander un contact

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BNET Business Network: 

" Colonel Marcel Mingant was the famed military hero and leader of the ultra-secret French espionage apparatus known as "Reseau Mingant." Aside from du Berrier himself, Mingant was perhaps the one most concerned for the American's fate. Mingant's concern was undoubtedly heightened because he and du Berrier had become close friends, as well as colleagues. Beyond that, however, was the colonel's understanding that his own life and the life of every member of his network would be worthless if du Berrier spoke their names.

"In spite of grave suffering; and the torture to which he was submitted," Colonel Mingant later wrote, "Mr. du Berrier never pronounced a name." "He suffered a veritable martyrdom in the Japanese prison without ever revealing the organization for which he had worked so hard, willingly," said Mingant, and "by his courage, his intelligence, and his disregard for danger, he saved many." Among those whom Mingant credits du Berrier with indirectly saving were American aviators who had crash-landed or bailed out over China and Indo-China. It was often a neck-and-neck race to rescue them before the Japanese captured them. Mingant received the American Freedom Medal for rescuing American flyers and attested that he thought it "scandalous" that the U.S. government not only failed to recognize du Berrier's heroic efforts, but antagonists within the U.S. State Department actually penalized him. Colonel Mingant and other French military heroes continued fighting for years to gain recognition for du Berrier. In 1999, thei r long efforts finally bore modest fruit; the French government recognized some of du Berrier's achievements and awarded him a small pension."

Laurent Laloup le jeudi 17 juillet 2008 - Demander un contact

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