Emile Millot - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Emile Millot



Naissance : 30 mai 1919 - Nouméa, Nouvelle-Calédonie

Point de départ vers la France Libre : Moyen Orient

Engagement dans la France Libre : Liban en aout 1941

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BIMP

A participé à la bataille de Bir Hakeim

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : 1c

Décès à 23 ans - 17 aout 1942 - en mer sur le Nino Bixio

Mort pour la France

Frère de Charles  et d'Eugène 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 419934

Dans la liste de Bir Hakeim : ligne 998

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 36339


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Emile Millot - son Livre ouvert !
 

Emile MILLOT prisonnier après la bataille de Bir Hakeim

Eric MINOCCHI le mercredi 11 août 2021 - Demander un contact

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Le Courrier Australien (Sydney, NSW) - 3 déc 1943

Laurent Laloup le mardi 19 septembre 2017 - Demander un contact

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LES COMBATTANTS CALÉDONIENS DANS LES DEUX GUERRES MONDIALES  :

laurent le jeudi 21 janvier 2016 - Demander un contact

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fr.calameo.com 

laurent le lundi 28 décembre 2015 - Demander un contact

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Hommage à Charles Millot

26 Décembre 2012   :

La prestigieuse Médaille militaire a été décernée jeudi à Charles Millot, 99 ans, vétéran de Bir Hakeim et du débarquement en Provence. En 1940, le jeune Calédonien s’était engagé dans le premier Bataillon de volontaires du Pacifique.

Depuis 1992, Charles Millot, qui aura 99 ans le 12 février, coule des jours paisibles à la maison de retraite de Boulari.

C’est là, entouré de sa famille et des amis, que le colonel Damien de Marsac, chef de corps du Rimap, lui a remis, jeudi, la Médaille militaire, au nom du président de la République française.

Comme pour Roger Ludeau, décoré lundi (lire notre édition de jeudi), une demande a été faite récemment auprès du chef de l’Etat, qui y a répondu positivement.

Honneur. « On pourrait se dire que cette cérémonie vient un peu tard, a reconnu le colonel Damien de Marsac. Mais c’est aussi une opportunité, pour nous les plus jeunes, de se souvenir de cette belle épopée du Bataillon du Pacifique. Et un grand honneur. »

La Médaille militaire est la deuxième décoration dans l’ordre hiérarchique français. Après la Légion d’honneur, mais devant l’ordre national du Mérite (1). Avant de l’obtenir, ce jeudi, Charles Millot avait déjà reçu la croix de guerre.

Silencieux, le regard fixe, le vieil homme a apprécié la cérémonie, lui qui « n’aimait pas, jusqu’à récemment, parler de ses faits d’armes », explique son neveu, Yves Millot.

Psychologue. En septembre 1940, à l’âge de 27 ans, Charles Millot s’était porté volontaire au sein du premier contingent du Bataillon du Pacifique.

Deux de ses frères, Emile et Eugène, en ont fait de même. Le premier, Emile, a péri lors du torpillage par l’armée allemande du cargo Nino Brixio, le 16 août 1942, au large de Benghazi en Libye. Le deuxième, Eugène, a survécu. Il était aux côtés de Charles, l’aîné de la fratrie, jeudi.

C’est leur grand-père, Emile senior, né en 1859 près d’Auxerre, qui avait posé le pied en Calédonie, en 1899, en qualité de gendarme, après une carrière dans l’infanterie de marine.

Qu’a fait Charles Millot pendant la guerre ? « Il m’a dit un jour qu’il était brancardier... Et psychologue, reprend le neveu, Yves. Il aimait chanter, plaisanter, même dans les moments durs. Au point que les officiers lui confiaient des hommes qui avaient le moral à zéro, en lui disant : “tu me le rendras quand il sera retapé”.»

Chanson. Au moment de la dangereuse traversée de la Méditerranée, les galonnés lui avaient même demandé d’inventer une chanson pour rassurer les camarades.

« Il nous l’a chantée sur le DVD », sourit Jacques Astakof, directeur de l’Office national des anciens combattants (Onac) de Nouvelle-Calédonie. Avec le centre de documentation pédagogique, l’office a édité, cette année, un DVD basé sur les témoignages de trois anciens de Bir Hakeim : Roger Ludeau, Maurice Meunier et Charles Millot. On y apprend aussi que ce dernier était chef de pièce de mitrailleuse à Bir Hakeim (lire ci-contre).

Blessé après le débarquement en Provence, Charles Millot avait terminé la guerre avec le grade de sergent-chef. Décoré et honoré, il a pu reprendre sa vie de retraité. Comme tous les soirs de Noël, il chantera Minuit chrétien pour ses camarades de pension.

(1) La médaille des Compagnons de la Libération est la deuxième médaille, dans l’ordre hiérarchique. Mais elle n’a été attribuée qu’entre 1940 et 1946, à 1038 personnes.

laurent le mercredi 09 décembre 2015 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mercredi 11 août 2021

 

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