Roger Lucien Emile Mengin - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Roger Lucien Emile Mengin



Naissance : 16 novembre 1895 - Paris 3e

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : FAFL /

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine

Décès à 48 ans - 30 septembre 1944 - Calais, Pas-de-Calais

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 410655

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 35621

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Acte de naissance

Petit détail de nos jours, c'était un "enfant naturel"



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Jacques Ghémard le samedi 13 février 2016 - Demander un contact

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Extrait matricule FAFL

MENGIN Roger, Emile
Né le 16 novembre 1895 à Paris (3ème)

Enregistré FAFL sous le pseudonyme de MERCIER Roger, pour compter du 19 septembre 1942, avec le grade de sous-lieutenant mécanicien et le matricule 35.067.
Mention marginale : habite le Maroc.

NB : même s’il n’appartenait pas à une unité FAFL lors de sa mort, il aurait du figurer dans le livre « Aviateurs de la Liberté » signé par le colonel Henry LAFONT. Son nom ne fut pas trouvé dans les listes (incomplètes) des FAFL tués en action pendant la guerre et les rédacteurs des notices publiées dans le livre cités ci-dessus ignoraient jusqu’à son existence.

MORIEULT Yves le samedi 13 février 2016

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Pour que les Français retrouvent la mémoire

Merci, merci à jamais à tous ceux, combattants de l'ombre, qui nous ont permis de vivre aujourd'hui libres dans notre si beau pays.

Merci à tous ceux qui aujourd'hui œuvrent pour que la mémoire de ce qui fut un combat pour l'humanité demeure.

Puisse notre pays se souvenir comment est née la barbarie nazie, comment des discours démagogiques, haineux, populistes, de leaders qui n'avaient comme seul but que d'assurer leur domination, se sont traduits dans leurs actes...

Puisse cela ne jamais se reproduire.
Vive l'humanité

Philippe Desmond,
petit-fils du Commandant Roger Mengin

DESMOND le mercredi 01 octobre 2014 - Demander un contact

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"Le tragique destin du commandant Mengin, libérateur de Calais
Le nom du commandant Mengin est connu de tous les Calaisiens par la rue qui porte son nom depuis le 25 avril 1945. On doit cet hommage posthume à Jacques Vendroux, maire de l'époque et ami personnel du héros de la libération de Calais, qui arpenta quelques mois plus tôt cette artère menant à la place Crèvecoeur.
Sur cette place, se déroula sous son égide l'un des épisodes les plus mémorables de l'histoire de la ville. Vingt-quatre heures plus tard, le commandant périssait aux portes de la cité en accomplissant son devoir. Retour sur une figure historique de premier plan.
Sous-lieutenant de l'armée de l'air, Roger Mengin, né à Paris en 1896, est promu commandant dans les FFL après avoir rejoint De Gaulle à Londres en 1942. Officier de liaison dans les armées alliées, il est le premier officier français à pénétrer dans Calais en 1944. Grâce à son précieux concours, des négociations sont menées entre les Alliés et la garnison ennemie qui tient toujours Calais... où sont stationnés 24 000 civils.
Afin d'éviter l'hécatombe, les Allemands acceptent d'accorder un délai de 24 heures pour l'évacuation de la population. Mais comment faire sortir de la ville autant de personnes en si peu de temps ? Comment faire entendre la voix de la raison à des assiégés qui refusent d'obéir aux ordres de l'occupant ? Le commandant Mengin, qui avait déjà supervisé des opérations semblables au Havre et à Boulogne, déclare : « Si j'arrive à parler à la population, je suis sûr qu'elle quittera la ville. » Il monte dans une BMW décapotable aux côtés du capitaine allemand Böttcher et se rend place Crèvecoeur où la foule a été enjointe de se rassembler.
Accueilli aux cris de « Vive de Gaulle ! Vive la France ! », le commandant Mengin harangue les Calaisiens depuis le perron du palais de justice : « Habitants de Calais, l'heure de la délivrance approche. Le commandant canadien a invité le commandant allemand à se rendre. Celui-ci a refusé. Nous allons devoir recourir aux moyens les plus puissants et attaquer la ville que nous allons rayer de la carte. En tant que représentant du général De Gaulle, je vous demande de quitter immédiatement la ville et de n'emmener avec vous que le strict nécessaire. » Un long silence s'ensuit, puis, peu à peu, s'élève La Marseillaise. Nous sommes le 29 septembre 1944. Il est environ 15 heures.
Le commandant Mengin gagne son pari. Ne s'accordant aucun instant de repos, il mène à bien cette incroyable évacuation, gérant admirablement le convoyage des blessés. Lorsque les combats reprennent, environ 20 000 personnes ont quitté la ville saines et sauves. La garnison allemande de Calais, commandée par le colonel Schroëder, ne tarde pas à capituler. Mais alors qu'il chemine en voiture vers le QG en compagnie du capitaine Böttcher et de Jacques Vendroux pour annoncer cette reddition, le commandant Mengin trouve tragiquement la mort. Un obus de dissuasion canadien tiré trop court s'est abattu sur le convoi, parvenu à la sortie de Calais. Actuellement, une stèle, route de Saint-Omer, marque le lieu du drame. Le commandant Mengin, gravement blessé au niveau de l'omoplate, est emmené sur un brancard dans un blockhaus à proximité puis dirigé vers Les Attaques. Arrivé à l'hôpital, le mot France à la bouche, il expire dans les bras de Jacques Vendroux, qui rapportera l'épisode avec beaucoup d'émotion dans ses mémoires.
Le corps du commandant Mengin est inhumé à Ardres, lors d'une cérémonie solennelle, sous les salves des soldats canadiens. Exhumée le 8 octobre 1949, en présence de sa veuve, et transportée dans son pays natal, la dépouille du héros repose désormais à Sainte-Geneviève-des-Bois (Loiret). Mais quelque chose de son âme demeure à jamais en terre calaisienne. • MAGALI DOMAIN (CLP)

Les rédactions de La Voix du Nord
la Voix du Nord"

www.calais.maville.com 

Laurent Laloup le jeudi 10 juillet 2008 - Demander un contact

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"MENGIN commandant

(Paris, 1896-1944, Les Attaques)

Fils d’un général qui participe à la guerre 14-18, Roger Mengin est promu commandant des F.F.L. après avoir rejoint le général de Gaulle à Londres. Officier de liaison dans les armées alliées, il est le premier, en septembre 1944, à pénétrer dans Calais dont il supervise l’évacuation des civils. Blessé accidentellement par un obus canadien, aux côtés de Jacques Vendroux*, il décède à l’hôpital. La rue du commandant Mengin relie le boulevard La Fayette et la place Crévecoeur. (MD) (col RR)"

lesamisduvieuxcalais.com 

Laurent Laloup le jeudi 10 juillet 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 13 février 2016

 

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